3 – J’aurais aimé avoir le courage d’exprimer mes sentiments
« Beaucoup de gens refoulent leurs sentiments afin de maintenir l’entente et la paix avec les autres.
En conséquence, ils se sont installés dans une existence médiocre et n’ont jamais pu devenir ce qu’ils auraient aimé être.
Beaucoup de maladies sont développées ou entretenues par l’amertume qui habite les patients ».
Laisser filer un amour de peur d’être ridicule ou rejeté…, ce genre de regret peut vous hanter plus tard.
Mais en dehors de cette situation amoureuse, être vrai avec soi-même en prêtant attention à nos ressentis pour les exprimer dans le respect des autres, nous permet de vivre plus intensément et d’avoir des relations plus satisfaisantes et riches.
4 – J’aurais aimé rester en contact avec mes amis
Souvent, ils se rendent compte trop tard qu’ils auraient pu profiter du soutien de leurs vieux amis dans les dernières semaines avant leur mort, mais il n’est jamais facile de les retrouver.
Les gens sont tellement absorbés par leur propre vie qu’ils mettent de côté au fil des années des amitiés précieuses.
Beaucoup regrettent de ne pas avoir fait assez d’effort et passé assez de temps pour les préserver. Les patients pensent souvent à leurs amis lorsqu’ils sont en train de mourir ».
L’être humain est fait pour vivre avec d’autres êtres et a besoin de contact, qu’ils soient physiques ou verbaux.
Aimer, résonner avec les autres. Notre immunité se renforce quand nous éprouvons de l’amour, de l’amitié, des moments de qualité avec d’autres personnes.
Ce sont ces qualités de relations qui resteront en mémoire à la fin de notre vie.
De nos jours, il n’a jamais été aussi facile de rester en contact avec ses amis !
Seul le temps peut vous en empêcher… sauf si vous décidez de le prendre !
5 – J’aurais aimé chercher à être plus heureux
« C’est un regret surprenant qu’ils avaient presque tous en commun.
Beaucoup d’entre eux ne s’étaient pas rendus compte que le bonheur peut-être un choix.
Ils sont restés coincés dans de vieux schémas et habitudes.
Le soi-disant « confort » dans lequel ils étaient installés les a empêchés d’envisager les choses autrement, « tétanisés dans leurs vies par la peur du changement ».
Faire des choix pour progressivement tracer les contours de sa vie, la vie n’est faite que de cela.
Et s’il le faut, affronter nos peurs et blocages afin de s’émanciper du regard d’autrui et de nos conditionnements.
Bien sûr, il y a des épreuves, mais à nous de décider de ce que l’on en fait, une fois l’orage passé. Se laisser abattre ou se relever riche d’un enseignement ?
Aller vers le bonheur est un état d’esprit : rester bloqué ? Ou agir et évoluer ?
Prendre et garder ce qui nous nourrit, et non ce qui nous vampirise et nous épuise : c’est là que le bonheur réside.
La réalisation de soi se trouve dans cette présence constante à soi-même, la pleine conscience de ce qui est bon pour nous, et dans la réponse apportée aux besoins qui surgissent de cette écoute.
Alors qu’est-ce qui vous rend vraiment heureux ?
Que vous direz-vous à la fin de votre vie ?