Peur de changer de travail : ce qu’elle cache vraiment et qui vous empêche de partir

Peur de changer de travail : ce qu’elle cache vraiment et qui vous empêche de partir

Mary Mann

Vous en avez marre de votre travail. Vous ruminez depuis des lustres. Vous aimeriez trouver le courage de partir et d’amener un changement. Mais rien n’y fait, vous n’arrivez pas à trancher, ni même à faire un bilan. Tout freine en vous et les années passent… Vous êtes bloqué. Vous n’êtes pas seul à vivre cette situation pénible. Or, la peur n’est qu’une conséquence émotionnelle qui découle d’autre chose. Découvrez ce qui ce cache derrière votre peur, la VRAIE raison qui vous empêche de partir et comment sortir de cette impasse, en vidéo !

Transcription

« Salut, salut ! C’est Mary Mann.

Aujourd’hui, je vais vous parler de la vraie raison qui fait que vous n’arrivez pas à quitter votre travail.

Même si votre job, vous en avez ras la casquette, que vous ne pouvez plus le voir en peinture, que vous vous ennuyez, que vous avez juste envie de partir en courant…

Et pourtant, vous y restez !

Et comme ça en fait, vous pouvez être dans ce marasme intérieur et ce questionnement éternel « je pars, je pars pas » pendant des années.

Et ça peut même durer toute une vie !

Donc la vraie raison qui fait que vous ne passez pas à l’action : qu’est-ce que c’est ?

Vous allez tout de suite me dire : c’est l’argent !

Eh bien, laissez-moi vous dire que non, ce n’est pas l’argent.

Parce qu’en fait, quand on se penche vraiment sur la question, il y a surtout en France, tout un tas de possibilités de quitter son travail.

C’est de plus en plus facile et accessible. On n’est pas pieds et poings liés comme avant.

Il y a la rupture conventionnelle qui a énormément fluidifié les départs. Et qui permet d’avoir accès aux droits au chômage qui sont quand même assez avantageux en France, qui permettent de créer un projet entrepreneurial ou de rebondir vers autre chose.

En tous cas, on n’est pas tout de suite sous les ponts !

Parce qu’en fait, c’est ça qui se passe. Vous avez peur au premier abord, vous vous dites : « Ben oui ! J’ai peur de le quitter mon travail ! Elle ne m’apprend rien Maryanne ! »

Mais en fait, pourquoi vous avez peur ?

C’est pas la vraie raison. La peur n’est qu’une émotion, c’est une conséquence, une émotion c’est une réaction émotionnelle à quelque chose qui se passe ou que vous pensez qu’il se passe.

Donc la peur, c’est juste la façon que vous avez de réagir à ce que vous pensez être la réalité.

Et la réalité, elle n’est pas dictée par un manque d’argent ou quoique ce soit. Elle dépend de :

  • votre conception de la vie et du monde
  • votre conception de vous-même
  • votre conception de vos capacités à trouver des solutions, à rebondir, à être capable d’aller vers un autre projet professionnel

Et tout ça, c’est lié à VOTRE HISTOIRE.

Le fait que vous puissiez changer de travail d’un claquement de doigt, que vous puissiez dire « Oh allez je me casse ! Hop, j’ai des crédits, et alors ? »

C’est que vous avez vraiment une confiance en la vie et une confiance dans vos capacités à rebondir.

Et c’est ça la vraie raison qui fait que vous n’y arrivez pas, que vous tournez en rond depuis des mois voire des années, à vous dire « Oh lala,  Pfff qu’est-ce que j’en ai marre ! » et au final, vous ne faites rien…

Vous n’arrivez pas à embrayer comme me l’a dit une cliente, vous n’arrivez pas à passer à l’action pour créer autre chose, et prendre des décisions importantes.

La vraie raison qui fait que vous n’y arrivez pas, ce n’est pas la PEUR mais :

  • votre conception de la vie
  • votre conception de vous-même
  • et du monde

C’est ce que vous croyez être vrai

 

Je précise mon propos

 

Si vous avez grandi dans une famille où on vous a donné confiance en vous. Où vos parents étaient des gens extrêmement fluides dans leurs décisions, qui n’avaient pas peur de l’avenir, qui étaient vraiment dans une LIBERTÉ D’ÊTRE.

Eh bien, vous avez naturellement ces comportements là. Parce qu’ils ont été un modèle, vous vous êtes imprégné de cette réalité-là.

Par contre, si vous avez vécu dans la peur, si vous avez toujours vécu avec des parents qui ont connu des galères, qui répétaient toujours que :

  • le travail – de toute façon –  c’était pas une partie de plaisir.
  • qu’on devait en baver,
  • et que c’est fait pour être pénible,
  • qu’on n’a aucun plaisir à aller au travail.

Eh bien, il y a de fortes chances pour que ce soit votre réalité aussi. Et que vous preniez cela comme acquis et comme une vérité indéboulonnable.

Donc forcément, vous allez être dans une souffrance au travail car vous allez prendre ça comme un « boulot », un boulot alimentaire.

Voilà, et que pour vous, la vie ce sera « ailleurs » que dans le travail. Malheureusement, le travail on y passe beaucoup de temps !

Et je pense que vous n’aurez pas une vie très épanouissante si vous restez dans cette croyance que le travail doit être pénible et laborieux (le terme est bien choisi).

C’est comme quand vous avez grandi dans une famille qui vous a inculqué que vous étiez nul, que de toute façon, vous n’arriveriez à rien, que vous n’aviez pas du tout d’intelligence, de capacités particulières…

Eh bien, vous allez aussi vivre dans votre petite boîte étriquée qui représente ce que vous croyez sur vous et ce que vous vous croyez capable de faire.

Donc tant que vous n’aurez pas éclaté ça. Votre réalité sera conforme à ce qu’on vous a appris ou ce que vous avez cru sur vous-même et sur le monde.

La vraie raison qui fait que vous n’arrivez pas à passer à l’action, elle est là. Que ce soit pour passer à un autre projet professionnel ou même tenter, oser quelque chose…

C’est quelque chose que j’ai vécu moi-même.

C’est grâce à un travail sur moi, alors que j’étais malheureuse dans ma carrière, dans ma vie professionnelle, que finalement à un moment donné j’ai pu changer de vie et de métier.

Alors que je me lamentais dans ma vie professionnelle. Je n’étais absolument pas à ma place !

Je sentais que rien n’allait. Que TOUT justement me poussait à changer.

Et je freinais des quatre fers parce que pour moi, c’était inconcevable de ne pas être dans la norme, de ne pas avoir un travail :

  • salarié,
  • standard,
  • stable,
  • de ne pas être comme tout le monde ! 

Tout me faisait penser que je n’étais pas à ma place. Et pourtant je voulais absolument essayer d’y rentrer !

C’est un peu comme le jeu pour enfants avec les formes et il faut les faire rentrer les bons trous, vous voyez ?

C’est une image que je prends souvent avec mes clients pour leur faire comprendre (Lol)

 Résultat de recherche d'images pour "jeu enfant cubes formes"C’est-à-dire que vous avez un rond, une étoile, un carré peu importe…  Vous avez un petit rond et un énorme carré.

Et vous essayez de le faire rentrer dedans.

 Et puis, ben ça ne rentre pas !

 Parce que ça ne peut pas !!! LOL

Donc c’était un peu ça.

 

Et il y a beaucoup de gens qui essaient malheureusement de rentrer dans un truc qui n’est absolument pas pour eux.

Et qui essaient malgré tout car « c’est comme ça », il faut y arriver, et ils ont extrêmement peur de faire autre chose…

Parce qu’en fait, dans leur conception, c’est impossible de faire autre chose et d’aller vers ce qui leur fait vraiment envie !

Bien souvent, ils mettent tout ça sous le tapis, ils l’oublient, pour ne pas souffrir  -en tous cas, ils le croient-  pour le garder en arrière plan et ne pas l’avoir trop dans la conscience.

 

Voilà, je voulais vous partager cela, car c’est véritablement votre conception, de vous, du monde, de la vie, de ce qui est possible, toutes vos croyances limitantes sur vous-même et sur le monde…

Qui vont faire qu’au final, vous n’allez pas passer à l’action pour vous reconvertir et changer de travail.

C’est uniquement ça.

 

Et puis aussi sur l’ argent.

Ce point va de paire avec votre conception du monde. Vous allez « manquer ».

Vous allez vous retrouver à la rue, dans la dèche, au secours catholique, au populaire, aux restos du cœur…

Tout ça, c’est des histoires !

Que votre MENTAL vous raconte.

 

Votre mental préfère l’immobilisme

 

Votre mental, si vous le laissez aux commandes, il va faire ce qui lui convient.

Et ce qui lui convient, c’est que rien ne bouge, que rien ne change.

Parce que votre mental, il a pour mission de vous maintenir en vie.

Depuis l’enfance, c’est son job : vous maintenir en vie, vous faire fonctionner (soutenu par le cerveau reptilien pour les fonctions vitales comme manger, dormir…), survivre, s’adapter, ne pas s’exposer au danger…

Bref, avoir une vie « plan plan », tran-quilleu (avec l’accent marseillais).

 

Ce que les Egyptiens disaient…

Alors, je suis professeur de mudras par ailleurs et en fait, il faut savoir que ces derniers viennent de l’ancienne Egypte.

Ce qui est très intéressant, c’est que les anciens Egyptiens parlaient déjà  -mais avec d’autres termes-  du mental et de l’âme. Je crois qu’ils parlaient aussi de l’esprit.

Et ils disaient bien que le rôle du mental, était de nous maintenir en vie et de nous amener à l’âge adulte.

Qu’à la naissance, notre incarnation, l’âme était là, mais en retrait.

Et une fois qu’on arrive à l’âge adulte, qu’on est sain sauf, ils disaient que le rôle de l’être humain, c’était de se rendre compte de son fonctionnement et de faire revenir son âme au premier plan.

D’honorer son âme et de la laisser le guider. Et que le mental soit relégué (bien sûr, il nous aide toujours à fonctionner au quotidien) en arrière-plan.

Et c’était ça grandir, et devenir un adulte, et un Etre qui grandit en conscience.

Et ça c’est super intéressant.

Parce que c’est exactement la leçon de la vie.

Grandir en conscience.

Et qu’on trouve le chemin de notre cœur, qu’on se connecte à notre âme, que finalement on comprenne que tout le reste, ce n’est que des histoires et des constructions mentales…

On peut faire ce qu’on se croit capable de faire.

Donc il faut pouvoir déconstruire tout ce qui n’est pas à nous, qui n’est pas la réalité que l’on croit.

Voilà, j’espère que je suis claire.

Tout ce qu’on a à faire, c’est :

  • grandir,
  • laisser notre âme nous guider
  • et se connecter à elle.

Pour cela, il faut déconstruire tous nos schémas, toutes nos constructions mentales, et ne pas laisser le Mental aux commandes.

Par ce que si vous laissez le mental aux commandes, il fera ce qui est bon pour lui !

C’est-à-dire qu’il ne bougera pas.

Le mental, ce scénariste catastrophe

 

Et il va vous projeter sur son écran de cinéma :

« Haaann Mon Dieu ! Mais si tu quittes ton travail, tu vas finir sous les ponts !! »

Direct, hein !?

Qu’on démissionne ou même en rupture conventionnelle, avec deux ans de chômage…

Mais non, non ! On ne voit pas ça !

On voit : démission  –>> sous les ponts !!!

Direct !

Ah, le meilleur scénariste de films catastrophes, c’est votre MENTAL !

Vous pouvez l’embaucher à Hollywood, y’a pas de problème.

Lui, il va vous faire des lumières, des warnings, des lumières qui clignotent, en disant : « Mon Dieu,  haaannn tu vas mouriiir là, si tu fais ça !! »

Mais le problème, c’est que vous le croyez !!

Elle est là la petite subtilité à comprendre et à voir. Voir ce jeu-là que votre votre mental vous fait et vous en dissocier.

Les histoires qu’il vous raconte. Les bêtises qu’il vous raconte. Les films d’horreur, catastrophes qu’il vous projette.

Il est là votre job : de le voir !

Et de lui dire STOP.

Pour que vous puissiez enfin, accéder à ce que vous voulez vraiment et à ce que votre cœur vous amène à faire et qu’il veut.

Du moment que vous allez arrêter ce jeu de dupe, que vous allez voir ça.

Vous allez pouvoir agir pour enlever les manettes des mains du mental.

Lui dire : « Non, non, toi tu arrêtes maintenant. Tu te tais. Ton blabla, tu te tais. Tu peux dire ce que tu veux. Mais ce n’est pas la vérité. Et je décide de ne pas te croire. Et de me faire confiance. »

Et pour arriver à faire ça, je vous invite sincèrement à bosser sur vous, pour déconstruire tout ça. Toute cette boîte à outils dans votre tête, de croyances sur vous, sur la vie, sur le monde…

Vous allez voir les choses autrement du moment que vous aurez fait ce travail.  

Moi, je vois ça tous les jours chez mes clients.

Dès qu’ils commencent à bosser sur eux. Parce qu’ils sont empêtrés dans leurs trucs et :

  • ils n’en sortent pas…
  • Ils n’arrivent pas à prendre de décision.
  • Ils fonctionnent toujours pareil

Parce qu’ils laissent leur mental leur resservir la même soupe tous les jours.

Eh bien dès qu’on commence à attaquer le noyau dur, la coque…

C’est comme un staphylocoque, le mental est très très dur et se rigidifie avec l’âge (en plus).

Et plus on attend et plus c’est costaud. Il a une armure mais du moment qu’on crée des brèches…

A un moment donné, il y a des choses qui volent en éclat.

Et après, il n’a plus autant le pouvoir.

Plus on le travaille, plus on le dépossède de ce pouvoir de nous raconter des âneries et de nous faire des projections catastrophes.

C’est la seule voie, que j’ai expérimentée pour moi et pour des clients, si vous êtes dans ce schéma de peur viscérale, d’anxiété permanente :

« Oh lala mais j’peux pas, je vais me retrouver à la rue ! C’est trop dur, je ne vais plus avoir d’argent »

Tout ça c’est du blabla. Voilà.

J’espère que ça vous a intéressé.

J’espère que j’ai été claire – Lol – car il est un peu tard – et je voulais vous faire un petit topo là-dessus.

Belle journée et à plus tard » 

 

Ainsi, nous avons tendance à oublier que notre principal ennemi, c’est nous-même. Travailler sur nous-même et nos conditionnements est le premier levier vers le changement. Notre brouhaha mental crée un brouillard qui empêche d’accéder à notre vérité. Les peurs que nous éprouvons face à tout défi ou nouveauté ne sont que le reflet de nos propres limites. Ne serait-il pas temps de les dépasser pour enfin entendre l’appel de notre âme ?

 


 

Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

-Thérapie brève

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

Vannes FR-56 Morbihan

Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

mm[@]marymann.fr 

  • Bilan de compétences individuel Orientation & Sens de Vie® : Bilan de compétences spirituel pour reconversion professionnelle en quête de sens et alignée spirituellement (Bilan de Compétences en ligne, à distance)
VANNES - MORBIHAN - BRETAGNE - FRANCE
  PAR SKYPE & ZOOM

Le délicieux basculement

Le délicieux basculement

Mary Mann

ou Le jour J du réalignement

Il est souvent difficile de sauter dans l’inconnu quand un basculement s’opère. C’est vrai. Or quand on arrive finalement à le faire, on se demande « My God, mais pourquoi ne l’ai-je pas fait plus tôt ?! » Le temps que l’on peut perdre à avoir peur de vivre est sidérant… Nous perdons déjà 1/3 de notre vie à dormir alors n’en rajoutons pas ! 😉 Le plus important est de ressentir cet appel de nos tripes et de l’écouter. Laissez-moi vous conter mon jour de « basculement délicieux » sur le plan professionnel.

Allez je prends mes clics et mes clacs et je me casse !

Je me souviens de ce délicieux basculement… Le jour J.

De ce jour où j’ai dit STOP à une vie professionnelle qui ne me convenait pas. De ce jour où j’ai posé un acte fort pour moi. Pour me dire « oui ». Enfin !
Ce jour où j’ai eu l’envie très forte de savoir ce que j’avais dans les tripes pour cesser de n’être qu’une pâle copie de moi-même. De sortir du bois.

Quand ce jour arrive il est à la fois terrifiant mais excitant. On le sent venir parfois pendant des mois voire des années… On le sent nous frôler, jouer au séducteur que l’on veut attirer puis qu’on repousse au dernier instant, pris d’une panique fiévreuse, n’osant trop répondre à notre pulsion première. « Mais non, je me trompe, personne ne fait ça, c’est dangereux, on ne m’a pas appris, que vont dire les autres ? C’est pas normal ça ! etc ».

Mais il revient à la charge et petit à petit on comprend que nous le voulons au fond de nous. VRAIMENT.

Oui, nous voulons aller vers cet inconnu qui nous inquiète autant qu’il éveille notre curiosité et excitation.

Une évidence apparaît. Mais nous n’osions pas nous l’avouer.

Cela faisait trop peur. Bien souvent la liberté fait peur. Mais nous avons également peur de nous tromper, de lâcher ce travail qui paie les factures, peur du regard des autres, du jugement, de faire une « folie », de mourir oO ???… Notre mental, affublé de son scénariste catastrophe préféré, s’emballe…

Quand le doute s’efface…

C’est par là !

Mais à l’instant où on prend la décision de répondre à cet appel, on ne doute plus.

Déclic. Rubik’s cube. Les choses se mettent en place.

Bien sûr, on doute en surface, des tourbillons sont là, écumant la mer de nos émotions. C’est dans la nature humaine et ce ne sont que des émotions…

Nous sommes tout à la fois inquiets et grisés. Mais tout au fond de nous, l’océan est immobile, constant, dense et solide. Imperturbable.

Il sait notre Vérité. Nous sommes en connexion directe avec notre noyau dur, notre âme.

Et la magie opère, une sorte d’éruption se produit, une ouverture d’énergie puissante, un flot intarissable qui nous propulse vers un lendemain stimulant. Et nous savons que quels que soient les obstacles nous les franchirons, quelles que soient les difficultés nous les accepterons…

Car à l’instant même du délicieux basculement nous avons fait ce choix de nous réaligner quoiqu’il en coûte, car nous avons décidé de nous aimer avant tout, pour le meilleur et pour le pire. Même escarpé et parfois déstabilisant, ce chemin est pour la joie.

Nous disons « oui » à l’aventure de la vie, qui se réinvente sans cesse pour être toujours à sa meilleure version. La Vie qui s’adapte et change pour mieux fonctionner, rayonner et offrir le meilleur au monde.

Oh oui ! Je me souviens avec tendresse de ce jour où j’ai décidé que cette chienlit professionnelle suffisait et que j’ai décidé de faire un pas. Je ne parle pas d’écrire tout le chemin à l’avance, c’est impossible, mais de faire le premier pas tout en décidant d’une direction, d’un objectif et de laisser la vie répondre à mes choix initiaux.

Que c’est bon !

Que c’est bon d’oser dire « non » à ce qu’on ne veut plus et de dire « oui » à ce qui est bon pour nous. Que c’est bon de se sentir reprendre le pouvoir sur sa vie, d’être maître à bord. Que c’est bon de dire « oui » à la vie et d’accueillir des cadeaux de synchronicités…

Quand je repense à ce jour, je souris et je suis fière de moi.

Ecouter ce qui souffre en soi

Prendre le large et se renouveler

Un jour, j’ai décidé d’écouter ce qui souffrait à l’intérieur de moi. J’ai décidé de me former à la méthode PEAT sans trop savoir où cela allait me mener mais je sentais cet appel, cette urgence d’apprendre quelque chose pour nourrir mon âme, quelque chose d’utile et d’intéressant pour moi. Mon premier pas duquel tout a découlé…

6 mois plus tard, après un travail et un temps d’introspection intenses, je prenais mon téléphone et je demandais un rdv à mon supérieur. Le jour de l’entrevue, je lui ai annoncé que je souhaitais partir en rupture conventionnelle. Un rdv fixé rapidement, une signature et j’étais libre !

Accordé.

Soulagement. Liberté. Sourire.

« Oui » à la vie. « Oui » à moi !

 

Les semaines qui ont suivi ont été pure folie dans le bon sens du terme. Un enchaînement de formations, de stages qui ont débloqué des choses fortes en moi, des réponses à des questions, des synchronicités de folie

Résultat de recherche d'images pour "avalanche livres"C’était comme si une bibliothèque s’effondrait sur moi, telle une avalanche de connaissances et de cadeaux alors qu’au départ, je ne voulais saisir qu’UN livre, juste UN ! Ce-lui-qui-é-tait tout-en-haut-de-l’é-ta-gère… AAAAAAAaaaaaaaahhhhhhh !

J’ai même dû demander à l’univers de se calmer car cela allait trop vite (normal héhéhé, il voulait rattraper le temps perdu…). Il a levé le pied mais il m’a quand même amené les mudrâs un an plus tard afin de me faire devenir la 1ère professeur de mudrâs et mudrâ-thérapeute certifiée en France.

Aujourd’hui, quand je regarde en arrière et que je revois la femme apeurée que j’étais il y a à peine quelques années, cette femme qui a franchi tant d’obstacles, qui a construit tant de choses, qui a appris tant de connaissances, qui a connu tant de victoires sur elle-même… Cela n’a pas toujours été simple. Mais je ne regrette rien.

Oh non ! Et l’avenir me réjouit car la forme de mon activité professionnelle si atypique, évolue, s’affine, s’enrichit pour mon grand plaisir, comme un diamant brut que l’on taillerait jusqu’à en révéler le plus bel éclat et que sa forme corresponde au plus juste à ce que je suis.

« Rien ne se perd, rien ne se crée tout se transforme »- Lavoisier

J’apprends de nouveaux outils thérapeutiques, j’ai enrichi mon bilan de compétences Orientation & Sens de Vie® avec un abord encore plus spirituel grâce à l’astrologie ésotérique afin de préciser la mission d’âme et de vie.

Les choses se transforment et se mettent en place avec le temps.

Mon activité professionnelle change en fonction de ma propre évolution mais toujours autour du même axe.

Et c’est cool ! Tout change et se recrée à chaque instant, c’est ainsi que l’univers fonctionne.

Buddha a dit :

« La seule chose qui est permanente, c’est l’impermanence »- Buddha

Rien de plus vrai. Il faut juste l’accepter et surfer sur la vague de l’appel de la vie en enfermant nos peurs au placard le temps de nous jeter à l’eau.

Après, on apprend à nager ! Et que c’est vivifiant cette eau fraîche !

Vous aussi, vous pouvez décider à chaque instant de ce délicieux basculement, de mettre en route une transformation pour vous aligner. Soit par un tout petit pas, soit par un choix ou un acte.

Vous pouvez décider de faire un bilan de compétences spirituel « Orientation & Sens de Vie® » afin de mieux comprendre qui vous êtes et ce que vous faites sur Terre, si la quête de sens vous obsède.

Ou bien, si vous sentez que vous n’êtes pas dans votre pouvoir personnel, vous pouvez choisir de débuter un travail sur vous-même afin de vous libérer de vos peurs et mal-êtres car ils vous retiennent en arrière et vous empêchent d’être qui vous voulez ou d’aller vers ce que vous voulez.

Vous pouvez décider de vous faire accompagner pour mieux vivre pleinement votre vie.

 

 

La liberté d’agir pour ne plus subir vous appartient

 

Growing wings Leap of faith de Lara Fabian (Les ailes qui poussent – Saut de la foi)

As-tu déjà fait face à l’océan
Sans avoir la moindre idée
De comment nager, mais tu as quand même sauté ?

As-tu déjà embrassé un amour
En sachant que son cœur était brisé
Mais tu l’as tout de même étreint ?

Saut de la foi
Les ailes se déploient
Alors que tu tombes
Avant que tu ne heurtes le sol…

As-tu déjà erré dans le désert
Alors que les sables changeaient sans cesse
Tout en étant guidé par les vents ?

As-tu déjà parlé une langue
Que tu n’as jamais entendue auparavant
Mais qui t’es familière et que tu comprends malgré tout ?

Saut de la foi
Les ailes se déploient
Alors que tu tombes
Avant que tu ne heurtes le sol…

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

lire plus

 


 

Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

-Thérapie brève

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

Vannes FR-56 Morbihan

Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

mm[@]marymann.fr 

  • Bilan de compétences individuel Orientation & Sens de Vie® : Bilan de compétences spirituel pour reconversion professionnelle en quête de sens et alignée spirituellement (Bilan de Compétences en ligne, à distance)
VANNES - MORBIHAN - BRETAGNE - FRANCE
  PAR SKYPE & ZOOM

Comment réussir à lâcher le travail qui vous fait vivre ?

Comment réussir à lâcher le travail qui vous fait vivre ?

Mary Mann

Arrêter de se faire des films pour briser ses chaines

Le marché du travail va mal. Pas seulement à cause du chômage. Depuis que la rupture conventionnelle existe, les demandes ont explosé ! Or, tandis que certains osent, beaucoup ne font que rêver à autre chose et ne passent jamais à l’acte. Pourquoi ? Car la peur les paralyse et leur auto-saboteur leur fait imaginer le pire, avant même d’avoir réfléchi calmement à leur projet. Cette simple introspection qui n’engage pourtant à rien, est une étape clé, parmi d’autres… Mais quelle est donc la marche à suivre pour réussir à lâcher le travail qui vous fait vivre ?

En 2013, 70% des 18-35 ans ne se retrouvaient pas dans leur job.

En 2014, 48% des français souhaitaient se reconvertir professionnellement. Néanmoins, beaucoup n’en restent qu’à l’étape du rêve… ou plutôt du cauchemar.

1-Pause… arrêtez le film !

Bien des gens rêvent d’une autre vie… Mais ne passent jamais à l’acte.

D’ailleurs, leurs croyances : « C’est impossible, de toute façon !» ou « Je n’y arriverai jamais !» sont si ancrées qu’ils ne passent même pas à la phase d’étude.

Pourtant quel risque y a-t-il ?

Serait-ce comme embrasser c’est tromper ? Est-ce que le fait d’échanger un baiser avec un flirt d’un soir un peu arrosé, va vous faire quitter foyer et conjoint sur-le-champ puis vous marier avec un autre, et tout ça dans les 2 jours ?

Ridicule.

Avant de changer de voie, pourquoi ne pouvez-vous pas tout simplement rêver,

puis réfléchir, bien avant de tester pour voir ?

 

Dans un désir de reconversion, nombreux sont ceux qui s’emballent.

C’est comme si le simple fait de penser et étudier une alternative allait les projeter instantanément dans une nouvelle existence aux antipodes de la précédente !

La simple évocation d’un changement, leur fait l’effet d’un saut en parachute… SANS parachute !

Ils se retrouvent alors face à leurs peurs les plus intenses ! Ils font soudain le Bernard-l’hermite.

« Oh mon Dieu ! Et si j’admettais ainsi clairement que je ne veux plus de cette vie-là ?

Si je découvrais qu’autre chose était possible ?!

Ou pire : Je vais finir sous les ponts ! »

Et à peine la pensée est émise que soudain : les violons, Fantine, Jean Valjean et Cosette arrivent…

Pour enterrer des rêves en bonne et due forme lors d’un plan séquence catastrophique et misérabiliste débouchant forcément sur le pire…

Vite, vite ! Pris de panique, ils remettent le couvercle sur leurs émotions, se déconnectent encore un peu plus d’eux-mêmes, jusqu’à la prochaine bouffée de ras-le-bol.

Pourtant le magma bout à l’intérieur ! Et d’expérience, il risque de devenir incontrôlable et voudra sortir un jour !

 

Mais, dites-moi…

Avez-vous déjà été projeté instantanément dans un supermarché à la simple idée d’acheter de la mayonnaise alors que vous faisiez votre liste de courses ?

Moi non.

Par contre, on a la possibilité de rêver un moment aux différentes recettes de mayonnaise et à leurs goûts : au citron, à la moutarde, avec des œufs frais…(Hummm avec des frites) sans rien acheter.

Pour autant, au moment de choisir, vous aurez déjà une bonne idée de pourquoi vous préférez celle à la moutarde et serez plus sûr de votre choix.

Tout ça sans rien faire d’autre que de réfléchir. Vous n’aurez même pas pris votre voiture. 🙂

2-Faire le point

 

interrogation photoQuoiqu’il en soit, vous l’avez certainement déjà observé :

l’envie de changer de travail démarre toujours par une crise, un mal-être et auquel on ne sait pas apporter de solution.

Car souvent, on a la tête dans le guidon, embourbé dans nos peurs et nos croyances limitantes.

C’est pourquoi il vaut mieux se poser et prendre le temps de réfléchir (faire un bilan de compétences) :

  • Où en suis-je dans ma vie ?
  • Qu’est-ce que je ne veux plus ?
  • Quels sont mes besoins essentiels auxquels je ne veux plus renoncer ?
  • Mes valeurs motrices dans ma vie ?
  • Et surtout mes priorités, mes gros cailloux que je veux mettre en premier dans mon seau pour être heureux ?

Il est important de se faire accompagner dans cette introspection pour nourrir notre réflexion au lieu de repousser toujours plus notre mal-être en croyant le faire taire.

D’expérience, on repousse ce que nous ne sommes pas prêts à affronter.

Or ce à quoi je résiste, persiste !

Dès que nous avons conscience que quelque chose ne va pas, c’est comme la pilule rouge dans Matrix : vous SAVEZ.

Nul retour en arrière possible ! Vous avez beau repousser l’échéance, votre mal-être reviendra toquer à la porte de votre cœur et tordre vos boyaux.

Et tôt ou tard, il faudra se pencher sur la question sous peine d’être malheureux encore longtemps… Avant d’atteindre le seuil critique qui nous fera passer à l’action… Mais dans la douleur et la confusion, ou qu’un événement extérieur (accident, maladie, décès…) nous fasse un électrochoc et provoque le même résultat. :-/

« Je ne te dis pas que ce sera facile, je te dis que ça en vaudra la peine. » (Art Williams)

Grâce à votre réflexion, vous saurez quel est votre Pourquoi et pourrez approcher votre Comment (la profession qui vous permettra de poursuivre ce But supérieur).

Vous aurez pris conscience de votre INTENTION dans cette vie au service de l’ensemble. Ainsi, vous aurez les éléments pour trouver votre porte de sortie, construire une projet cohérent avec vous.

Pas à pas, vous vous sentirez plus confiant car vous ne naviguerez plus à vue !

Vous aurez une idée claire de votre étoile polaire (celle qui vous guidera toute votre vie), pour vous diriger dans votre existence toujours en cohérence avec vous-même. Au lieu d’errer…

Alors, quand ça ne va pas dans votre vie, vous n’avez qu’un seul effort à faire : celui de prendre votre responsabilité vis-à-vis de vous-même puis de décider de vous faire aider pour aller vers plus de joie, de vie et une renaissance afin de vous honorer !

« Quelqu’un pourrait-il rallumer la lumière svp ? »

3-Voir et concevoir ce que vous ne voyez pas

 

Quand on a grandi dans un certain milieu, celui-ci influence notre mode de pensée.

Notre esprit se formate sur ce qui est admis dans notre milieu familial. Et cela n’épargne pas la catégorie socio-professionnelle ou le type de métier.

Moi-même, aucun de mes parents n’était entrepreneur, et longtemps, je n’ai même pas considéré cela possible pour moi.

Pourquoi ? Car cela ne correspondait pas à mon éducation et à mon « champ des possibles » à Moi.

Aujourd’hui, 92 % des emplois sont dans le salariat mais un rééquilibrage est en train de se produire, lentement mais sûrement.

 

 

Mais vous pouvez tout à fait vous former à un autre métier et rester dans le salariat.

Tout ça pour dire que parfois, des solutions sont à notre portée mais que souvent, inconsciemment nous les mettons de côté sans même y réfléchir.

Car elles ne correspondent pas à nos croyances.

Bien des croyances bloquent les gens, tandis que tout leur Etre appelle un changement.

Et beaucoup choisissent d’écouter ces croyances inconscientes pour rester dans le même schéma pourtant insatisfaisant et délétère.

Cette attitude les amène d’ailleurs souvent à à rester aveugle aux solutions et aux différentes portes de sortie… Pourtant à portée de mains.

peurAinsi, ils donnent à manger à leur auto-saboteur, qui s’exclame une fois repus : « Super ! Rien ne va changer ! Ouf, qu’est-ce que j’ai eu peur…! »

Croyez-moi, il y a des solutions que vous ne considérerez même pas tant elles sont inconcevables dans votre schéma de pensée et pourtant elles existent.

Mais elles sont simplement dans votre angle mort.

 

 

4-Démasquer vos peurs sous les excuses

 

Il n’est pas rare d’entendre comme argument : « J’aimerais bien quitter ce job si je n’avais pas des enfants à charge. »

Voici ce que Christian Junod, l’auteur de Ce que l’argent dit de vous, en dit : « Encore une autre prison… Un comble de faire des enfants pour en être prisonnier !

Au moment de mon départ, deux de mes enfants étaient encore étudiants et cela n’a pas été un problème car j’étais prêt à affronter l’inconnu du statut d’indépendant.

Plusieurs années auparavant, alors que je m’ennuyais déjà au travail, je n’avais pas été capable de partir, de changer de métier car je n’étais pas prêt intérieurement.

Mes enfants n’y étaient pour rien. C’est ainsi que bien souvent, les excuses que nous nous trouvons cachent une raison bien plus inavouable : notre peur. »

Prêt ? On ne l’est jamais vraiment ! On a juste peur !

Christian Junod poursuit : « Il n’y a pas de honte à avoir peur, ce n’est pas un problème. Ne pas se l’avouer en est un, car je ne peux pas transformer une peur non dite et c’est elle qui restera le moteur de mes décisions. »

Bien sûr, afin d’être prêt (mais on ne l’est jamais vraiment ! On a juste peur !), c’est mieux de préparer votre plan suffisamment.

Si vous passez du salariat à l’entrepreneuriat, il est possible d’avoir une bascule progressive si vous avez vraiment besoin d’une transition douce et rassurante.

Mais dans ce cas, assurez-vous d’avoir une énergie et une discipline d’enfer pour vous consacrer aux deux en même temps !

Si vous voulez changer de job en restant salarié, libre à vous de faire une formation de reconversion en dehors de votre temps de travail (idem pour l’énergie et la discipline).

Vous pouvez également souhaiter mettre un max d’argent de côté avant de faire le saut… D’ailleurs, peut-être vous faudrait-il travailler votre peur du manque et votre relation à l’argent pour vous aider à sauter ?

Mais parfois, il se peut aussi que vous soyez arrivé au bout du bout (ça arrive) ! Et que vous décidiez de partir grâce à une rupture conventionnelle car de toute façon vous sentez, tout au fond de vous, que 6 mois de plus sont tout bonnement IM-PEN-SA-BLES ! Vous pourrez tout à fait réaliser ce travail de réflexion après avoir appuyé sur le bouton du siège éjectable.

 

Tout est une question de choix et de priorités.
Quels sont les vôtres ?

5-Déterminer ce qui est vraiment important

 

Préférez-vous continuer à privilégier l’AVOIR : gagner autant pour pouvoir continuer à partir aux vacances à la neige et à la mer ou à l’autre bout du monde, histoire de supporter votre quotidien ?

Continuer à acheter toutes ces choses futiles pour vous occuper ou encore la dernière BMW ou le dernier portable à la mode pour montrer que vous avez réussi votre vie ?

Ou envisager de réduire votre train de vie et GAGNER en bonheur intérieur ?

Voulez-vous encore continuer à rentrer irascible et exténué, absent psychologiquement car vous avez fait le grand écart toute la journée entre :

  • vouloir partir en courant et rester là à faire des choses qui ne vous rendent pas heureux ?
  • Ou être vraiment présent à ce que vous faites et passer plus de temps avec vos proches ?

Avez-vous envie de continuer à vous morfondre et à dépérir ? Ou de vous lever chaque jour avec le sourire, et de sentir un feu à l’intérieur de vous ?

Ce feu qui vous porte et vous amène à vous surpasser avec bonheur… Au point que vous « oubliez » vos vacances à la neige et en Thaïlande…

Car finalement vous n’en avez plus autant besoin qu’avant puisque vous n’avez plus besoin de vous échapper de votre boulot ennuyeux qui vous occupait 300 jours/an ?

C’est une question existentielle qui mérite réflexion…

Alors, si vous prenez finalement la décision d’écouter votre cœur et de le suivre, mais que vous avez l’impression d’appuyer sur le frein et l’accélérateur en même temps…

Faites-vous accompagner pour passer ce cap et vous propulser vers de nouveaux horizons !

Vous pourrez y trouver votre Pourquoi et dessiner un nouvel avenir professionnel, afin d’être aligné professionnellement.

Et que diriez-vous de faire sauter vos barrières grâce à la méthode P.E.A.T. ? En travaillant votre peur de l’insécurité, votre tétanie face à l’inconnu ou encore votre manque de confiance en vos capacités ?

 

Mais un conseil : n’abandonnez pas avant même d’avoir commencé !

En conclusion, si quitter un emploi n’est pas facile, nul besoin d’en rajouter. En effet, beaucoup de personnes n’osent même pas y réfléchir de peur de conséquences fantasmées. La meilleure manière d’y parvenir est d’abord de vous accorder du temps pour faire le point. Puis d’explorer de nouvelles idées, de démasquer les peurs qui vous sabotent pour mieux les désactiver. Et enfin de déterminer ce qui est le plus important dans votre vie afin de passer à l’action !

 

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

lire plus

 


 

Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

-Thérapie brève

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

Vannes FR-56 Morbihan

Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

mm[@]marymann.fr 

  • Bilan de compétences individuel Orientation & Sens de Vie® : Bilan de compétences spirituel pour reconversion professionnelle en quête de sens et alignée spirituellement (Bilan de Compétences en ligne, à distance)
VANNES - MORBIHAN - BRETAGNE - FRANCE
  PAR SKYPE & ZOOM

Comment danser avec la vie ?

Comment danser avec la vie ?

Mary Mann

Ou l’art de se transformer pour mieux renaître !

Buddha l’a dit : la vie c’est l’impermanence. Pourtant, notre société n’a jamais autant érigé la stabilité qu’elle soit professionnelle ou personnelle, en but suprême de la vie. L’instabilité et le changement font peur… Tout en étant insatisfait par la routine souvent délétère. Mais… Et si la clé était de comprendre que nous ne sommes que de passage sur Terre et que rien ne dure ? Que la vie n’est que transformation perpétuelle ? Que vie et mort sont indissociables ? Cette conscience de l’éphémère ne serait-elle pas le meilleur moyen de nous pousser à réaliser nos rêves ? Pourquoi résister au changement alors que cela est aussi vain que de retenir sa respiration ? N’est-il pas temps d’apprendre à danser avec la vie ?

La Mort/La Vie : une danse éternelle

 

La conception de la mort est très culturelle.

En Orient, le contraire de la mort n’est pas la vie mais la naissance.

Effectivement, on conçoit qu’il y a un Après et que notre existence n’est qu’une expérience dans une destinée plus vaste…

En Occident, on oppose la mort à la vie.

On est dans la dualité : soit on est mort, soit on est en vie !

En dehors de ce raisonnement, point de salut ! Ce qui fait que beaucoup de gens ont peur de mourir.

D’ailleurs, rien que l’idée d’en parler les terrorise (c’est comme pour Voldemort dans Harry Potter, chuuuuttt !!! Celui dont on ne dit pas le nom…).

 

surprise

 

Eh bien désolée, non !

Ça ne marche pas comme ça : la mort fait partie de la vie !

Et la mort, qu’elle soit symbolique physique, n’est pas une fin en soi. Elle fait partie d’un cycle immuable de transformation naturelle.

Partout où nous marchons, il y a eu des humains, des animaux, qui sont morts…

Nous marchons « sur eux » et notre nourriture pousse dans une terre alimentée par nos ancêtres…

« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » disait Lavoisier. C’est vrai pour la matière mais cette loi vaut aussi pour notre vie.

Nous devons tous mourir à nous-mêmes plusieurs fois dans une vie, nous transformer pour évoluer et mieux renaître.

La vie n’en est que plus savoureuse !

Nos multiples morts symboliques ne sont que des étapes de transformation qu’il convient d’accueillir pour évoluer.

Ne dit-on pas que toute chose qui se termine contient en elle les germes de la suivante ?

 

Contempler sa mort pour vivre pleinement

 

étonnéeMais quelle que soit notre croyance sur l’après-vie, le constat est là :

on a peur de mourir physiquement que si on n’a pas assez vécu

ou si on n’a pas vécu comme on l’aurait voulu.

Françoise Dolto a dit : « Avoir peur de la mort, finalement c’est avoir peur de vivre ».

Bingo ! C’est souvent ce à quoi les gens ont peur de se confronter.

J’ai souvent ce genre de personnes en thérapie. Peur de la mort, peur de la maladie… Peur d’oser changer de métier ou de travail !

Quelle belle victoire quand ils acceptent de traverser leurs ombres et de laisser leur ancien « Moi » mourir… afin de renaître.

Ils osent ensuite de nouvelles choses tout bonnement impossible avant !

A l’image de Solène, qui a sorti spontanément à son mari alors qu’il était réticent à sa reconversion : « Maintenant, je veux viiivre !!! » 

Mais le chemin est parfois long avant de s’avouer nos tourments. Pas vrai ?

D’ailleurs, beaucoup de gens s’affairent partout, tout le temps. Pour fuir leurs démons.

Ils s’occupent à d’innombrables activités, mettant la radio, la TV en bruit de fond pour fuir la solitude, leur vide intérieur, mais surtout leur vérité intérieure…

On ne sait jamais, des fois qu’ils se retrouvent seuls avec eux-mêmes !

Ça pourrait ficher les j’tons que des questions existentielles surgissent d’un coup, au détour d’un couloir :

« Qui suis-je ? »
– Hein ? Quelqu’un m’a parlé ?
Où vais-je ?
– Quoi ? Mais qui parle ?
Quel est le sens de ma vie ?
– Mais ça suffit à la fin !
Qu’est-ce que j’fous là ?
– Bon y’en a marre j’vais mettre la télé pour le bruit de fond !
-… »

Même Bouddha rigole !

Beaucoup de gens se remettent en question à des âges charnières, 30, 40, 50 ans.

Voyant que le temps file à toute vitesse, ils prennent conscience de certaines choses, de leurs regrets.

Mais d’autres évitent le sujet de leur propre fin, toute leur vie et font un bilan existentiel seulement une fois au pied du mur… (Top 5 des regrets des mourants).

C’est souvent la vie, par le biais de la confrontation à la mort, qui nous amène à faire notre bilan existentiel : un proche décède brutalement ou encore, on est soudain confronté à une maladie grave pour soi-même ou dans son entourage…

Cela nous amène souvent à nous remettre en question d’un coup, à penser à notre place dans l’univers, à regarder notre vie dans son ensemble.

Puis à poser des actes forts pour changer des choses qui ne nous conviennent pas et vivre d’avantage en cohérence !

« Ne prenez pas la vie trop au sérieux, de toute façon, vous n’en sortirez pas vivant» – Bernard Le Bovier de Fontenelle. »

Avouer ses failles, ses faiblesses n’est pas facile.

De même qu’accepter sa propre mort et y faire face. Néanmoins, cette prise de conscience arrive tôt ou tard pour chacun d’entre nous.

Comme le dit Alan Watts dans Eloge de l’insécurité : « Abandonner toute tentative pour se soustraire à la finitude et à la mortalité est une étape régulière et normale sur la route de l’esprit. »

Mais cela demande du courage et de l’honnêteté.

Néanmoins, c’est une occasion de croissance formidable qu’il nous appartient de saisir…

Bouddha est-il mort… de rire ?

La mort : dernière étape de croissance

 

C’est le titre d’un livre d’Elisabeth Kübler-Ross, la célèbre thanatologue qui a accompagné des centaines de gens en fin de vie.

Elle parlait de la mort physique mais cela est aussi valable pour la mort symbolique.

Mourir à soi-même est une occasion formidable de renaissance.

La vie est un changement perpétuel, nul ne peut rester dans le même état pour la vie.

Cette vision n’est pas nouvelle : le bouddhisme dit bien que « la seule chose qui soit permanente, c’est l’impermanence ».

Intégrer cela, en notre chair, nous permet de vivre plus intensément dans l’instant ET en connexion plus forte avec le monde.

 

femme lotus-slide1

 

Dans Le livre tibétain de la vie et de la mort, Sogyal Rinpoché a écrit :

« Avez-vous réellement compris et réalisé, la vérité de l’impermanence ?

L’avez-vous si parfaitement intégré dans chacune de vos pensées, chacune de vos respirations, chacun de vos mouvements, que votre existence en a été transformée ? Posez-vous ces deux questions : est-ce que je me souviens à chaque instant que je suis en train de mourir ainsi que toute personne et toute chose et est-ce que je traite en conséquence tous les êtres, à tout moment, avec compassion ?

Ma compréhension de la mort et de l’impermanence est-elle devenue si vive et si aiguë que je consacre chaque seconde de mon existence à la poursuite de l’éveil ? Si vous pouvez répondre par l’affirmative à ces deux questions, alors oui, vous avez réellement compris l’impermanence ».

Mourir à soi-même pour renaître

 

Nous mourons tous à nous-mêmes constamment. Mais toujours afin de continuer notre route vers l’épanouissement, d’évoluer et grandir !

Alors, pourquoi ne pas laisser la transformation se produire quand elle vous appelle ?

Ne freinez pas des quatre fers à cause de la peur !

Au contraire, accompagnez le mouvement, soignez à l’initiative du changement et servez-vous de son énergie pour instaurer du renouveau dans votre vie !

 

Je rencontre parfois ce genre de client en thérapie.

Ceux qui ont trop peur. Qui sont d’éternelles « victimes » de la vie. Calimero.

Ils sont tellement accrochés à leur identité victimaire qu’ils ne peuvent se résoudre à la lâcher.

Chaque progrès suite aux séances, les pousse dans leurs retranchements.

Mais quand ils se rendent compte que toute leur vie a été construite sur ce schéma de la peur de vivre, et de la plainte.

Et donc que tous les choix de vie faits en fonction, pourraient être remis en question ! 

Diantre ! Ça tangue fort !

Quelques-uns font soudainement marche arrière comme un Bernard-L’Hermite rentrant dans sa coquille…

Ils arrêtent la thérapie. La perspective d’un réel changement les a effrayés. Ils étaient pourtant si près du but…

Ils ne comprennent pas que le seul moyen de renaître est celui-ci : traverser ses ombres et laisser se produire une sorte d’effondrement intérieur. Accompagné bien sûr !

Parce que ce moment est celui de l’écroulement, il est aussi celui de l’espérance.

Après le temps de la nuit viendra le temps de l’éveil et de la Lumière…

Résister à la transformation équivaut à ne pas être en vie et à mourir à petit feu !

Quand on est malheureux dans une période de sa vie et qu’on aspire à autre chose, plus on attend et on résiste, et plus c’est dur !

Notre étincelle de vie est malmenée : l’ego et le mental prennent le dessus et nous enferment dans des peurs, une cage…

se cacherVos autosaboteurs, qui sont vos programmes internes pour maintenir le statu quo, tournent à plein régime pour que vous restiez exac-te-ment dans la même situation par peur de l’inconnu.

On s’invente des excuses pour éviter de passer à l’action.

On se berce d’illusions pour maintenir la situation « mais si, ça ne va pas si mal, oh et puis je ne suis pas si malheureux quand je vois les autres, y’a pire que moi… » etc.

D’expérience, je sais que c’est reculer pour mieux sauter. Car un jour la souffrance deviendra insupportable !

Mais comme le dit l’acteur Jean-Baptiste Lucien dans son film Dieumerci ! inspiré de son propre passage à l’acte :

« Pourquoi est-ce qu’on attend d’être dans les emmerdes, d’avoir rien à perdre, pour déterrer ses rêves de gosse ? » – Jean-Baptiste Lucien (film Dieu-Merci !)

C’est ce qu’Antoine Filissiadis, animateur de stages et auteur, dit a sa manière :

Le premier déclic : « On commence à se demander : est-ce que cette vie me plait ? Des gens entrent alors dans une souffrance et sont tristes.

Quand cette tristesse devient insoutenable cela les fait bouger car ils se disent : « je ne peux pas continuer à vieillir et mourir en continuant à faire ce qui ne me plait pas. Cela ne m’enrichit pas au contraire, cela m’amène vers le bas.
La plupart des gens vivent sans être connectés à eux car on n’est plus en contact avec son cœur. On a tous quelque chose à faire sur cette Terre… ce n’est pas forcément quelque chose d’extraordinaire !…
A un certain moment on prend conscience qu’on est prêt à « payer le prix » (souffrance, peurs…) : on veut sortir de soi et se réaliser.

Alors la vie vous offre des choses extraordinaires qui vous enrichissent bien plus que ce que vous avez cru devoir payer et finalement on ne « paie » pas. Mais avec le fait de ne pas avancer parce qu’on a peur, on reste dans la souffrance et on paie au final un prix énorme car on n’a pas réalisé ses rêves. »

Alors, Etes-vous prêt à danser avec la vie ? Prêt à renaître ?

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

lire plus

 


 

Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

-Thérapie brève

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

Vannes FR-56 Morbihan

Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

mm[@]marymann.fr 

  • Bilan de compétences individuel Orientation & Sens de Vie® : Bilan de compétences spirituel pour reconversion professionnelle en quête de sens et alignée spirituellement (Bilan de Compétences en ligne, à distance)
VANNES - MORBIHAN - BRETAGNE - FRANCE
  PAR SKYPE & ZOOM

Changer de vie : Comment transformer le « risque » en chance ?

Changer de vie : Comment transformer le « risque » en chance ?

Mary Mann

Et si le risque n’était pas là où vous le pensez ?

Votre travail vous saoule, votre vie manque de ce « quelque chose » qui la rendrait savoureuse… Vos pensées s’évadent régulièrement vers d’autres projets, d’autres paysages mais inlassablement la voix de la raison vous rappelle à l’ordre et vous tremblez à l’idée de prendre des risques, de perdre « vos acquis » en suivant vos envies. Vous sentez que cette situation bloquée, inextricable, vous rend malheureux. Vous voudriez que ça s’arrête, trouver une issue mais la peur de l’inconnu vous paralyse ! Alors, comment renverser votre vision des choses et transformer le risque en chance ?

La peur comme saboteur

Vous n’en pouvez plus !   Il y a tous ces signes qu’il faut partir.

Vous brûlez d’ouvrir la porte pour changer d’air, d’agir pour sortir de cette impasse.

Mais comment dire…

C’est comme si un hypnotiseur vous avait convaincu que la poignée était brûlante et que derrière, il y avait même un trou abyssal qui allait vous engloutir… Et plus vous pensez à ce qu’il pourrait y avoir derrière la porte, et plus vous imaginez des monstres, des tireurs d’élites embusqués qui ne vous louperont pas, un Alien ? Pourquoi pas après tout, quand notre imagination s’emballe…

Dans votre esprit cette peur se traduit en panique.

« Et si je fais ça ? Qu’est-ce que je vais devenir ?…. »

« Oh mon Dieu, je ne peux pas faire ça, c’est trop risqué ! »

 

On finit ainsi par s’auto-convaincre de surtout ne rien changer. Même si la situation est terriblement inconfortable.

Car on ne sait pas comment lâcher ce boulot qu’on ne peut plus voir en peinture…

Alors, on se dit que quitter son travail est trop risqué même si on est malheureux comme les pierres !

Or le « risque » n’est-il pas de rester dans cette vision des choses et de voir les semaines, les mois, les années filer sans que rien ne change et que votre mal être augmente proportionnellement ?

Le risque n’est-il pas d’avoir des regrets à la fin de sa vie ?

 

La vie n’est que changement et transformation

Faut-il le rappeler ?

A chaque instant vos cellules changent, certaines meurent, d’autres naissent. Votre ADN légué par vos ancêtres est le fruit d’une suite de mutations et adaptations aux phénomènes climatiques et aux dangers rencontrés sur des milliers d’années.

Avoir peur du changement n’est qu’une illusion puisque vous le vivez à chaque seconde et que seule l’impermanence existe.

Le seul moment où plus rien ne bouge : c’est dans la mort ! Et c’est justement là que les humains s’ennuient ! Car ce n’est pas la vie. La vie est une danse.

Alors, soit vous surfez sur la vague, soit vous freinez des quatre fers pour résister au changement.

Mais plus vous résistez, plus ça va être dur !

Votre Ego (mental) vous joue des tours ! Il est chargé de votre protection depuis votre naissance et est très créatif dès qu’il s’agit de vous empêcher de changer quoique ce soit.

Un conseil : ne l’écoutez pas trop ! 😉

L’ outil radical pour vous faire passer à l’action

Je vous présente ainsi un outil radical pour changer votre point de vue et briser votre plafond de verre.

Mon outil, c’est aussi celui de Cyrille de Lasteyrie. Il a en effet tout compris.

Et il l’explique avec beaucoup de brio et d’humour.

Son truc à lui pour relativiser un « risque » à prendre : penser à sa propre mort !

 

Quand j’ai visionné ce TEDxParis, j’ai trop adoré !

C’est exactement ce qui m’a fait passer à l’acte pour changer de vie et reprendre la main.

Et c’est totalement l’état d’esprit de mon accompagnement à la reconversion professionnelle bilan Orientation & Sens de Vie®. Il vous permet de contacter votre quête existentielle, votre vocation et de mettre ce qui vous importe le plus au centre de votre vie.

Alors, quand vous n’en pouvez plus de votre situation, arrêtez d’alimenter le « mulot » dans votre tête avec des scénarios catastrophes et des excuses stériles : regardez objectivement les faits et dépassez vos peurs : vous n’avez pas grand chose à perdre !

D’ailleurs, la vie c’est déjà risqué : la preuve on meurt à la fin ! 😉

 

Changez votre état d’esprit et le risque devient une chance

Ainsi, le risque ne se trouve pas toujours là où on le croit. L’humain a toujours tendance à vouloir maîtriser ses peurs en confondant l’immobilisme avec la sécurité et en cherchant à avoir des certitudes. Or comme le dit Alan Watts, la peur n’est maîtrisée que dans l’incertitude acceptée. Car la vie n’est que changement. Tout se modifie à chaque instant et l’existence n’échappe pas à cette règle de mutation et d’évolution qui guide le processus de vie depuis des milliards d’années. Même s’il peut être difficile de relativiser les risques liés à un changement de vie, prendre conscience que la vie n’est qu’un « jeu cosmique » où il nous appartient de faire des choix et de nous transformer en suivant le courant à chaque instant, semble être un bon début afin de se renouveler.

 

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

lire plus

 


 

Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

-Thérapie brève

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

Vannes FR-56 Morbihan

Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

mm[@]marymann.fr 

  • Bilan de compétences individuel Orientation & Sens de Vie® : Bilan de compétences spirituel pour reconversion professionnelle en quête de sens et alignée spirituellement (Bilan de Compétences en ligne, à distance)
VANNES - MORBIHAN - BRETAGNE - FRANCE
  PAR SKYPE & ZOOM

Réinitialiser le mot de passe
Veuillez entrer votre email. Vous allez recevoir votre nouveau mot de passe par email.