Reconversion professionnelle : erreur n°1 à éviter

Reconversion professionnelle : erreur n°1 à éviter

Mary Mann

Se mentir trop longtemps

Une envie de reconversion professionnelle est longtemps comme un sous-marin. On la devine mais on ne l’identifie pas vraiment sous la surface. Notre sonar intérieur fait la sourde oreille. Pas facile de faire attention à nos ressentis et de s’avouer notre mal-être. Le changement fait peur. Mais quel est le risque de faire trop longtemps l’autruche ?

Mes yeux se lèvent sur la pendule du bureau.
15h… Pfffff que c’est long !

Je regarde fébrilement par la fenêtre, les oiseaux qui volent d’arbre en arbre.
« Cette journée ne va-t-elle jamais finir ? J’en ai marre…

Mais je ne peux pas partir. Qu’est-ce que je peux faire d’autre ?
Bon allez, c’est juste un coup de mou, ça va passer faut faire avec… »

Voilà en substance le discours que tu te répètes chaque jour qui passe.

Tu crois miraculeusement que ton mal-être pourrait s’arrêter un jour, sans rien faire.
Le changement fait peur : on préfère l’éviter.
Cependant, tu le sais…

Rien n’avance dans ton travail, tu n’es plus productif car ton esprit est absorbé ailleurs.
Pourtant tu restes là.

Tu fais l’autruche pendant quelques semaines, des mois… depuis des années ?!
Mais je le sais d’expérience, il n’est jamais bon de se mentir trop longtemps.
Pourquoi ?

Tu te souviens du nouvel an comme si c’était hier ?
Regarde comme les mois défilent chaque nouvelle année…
Ta vie, tu sais ? Elle aura une fin.
Tic tac tic tac…
Ce n’est pas la vie qui est courte, c’est la jeunesse !
La vie, c’est looong surtout quand on s’ennuie et qu’on ne se sent pas utile ! 

Mais y’a pas que ça !

Quand on attend trop longtemps pour se reconvertir (alors qu’on sent clairement qu’il nous manque quelque chose pour nous épanouir au travail) :
– on s’épuise et notre énergie pour rebondir aussi
– on devient irritable, aigri, on se renferme
– à la maison ce n’est pas la fête…😕

– On perd confiance en soi
– On déprime et notre sentiment de vide intérieur grandit
– et c’est un cercle vicieux : notre travail devient de plus en plus pénible car le cœur n’y est plus !  

Lorsque tu ressens un profond malaise au travail, qu’il n’a plus de sens pour toi…

Si tu as l’intuition que ta vraie place se trouve ailleurs, il est essentiel de t’écouter attentivement.

Car tu es la seule personne capable de percevoir ces signaux quand ils pointent le bout de leur nez.
Sois honnête envers toi-même et le plus tôt possible.

Car il n’y a que toi qui puisse prendre une décision et agir pour changer ta situation professionnelle.

Entame un bilan de compétences pour réfléchir à une reconversion professionnelle.
Évite de te voiler la face.

Tu gagneras du temps et de l’argent (mais ça on en reparle dans l’erreur N°4 😉)

Le changement et la reconversion peuvent sembler effrayants, mais c’est souvent nécessaire pour retrouver son épanouissement professionnel. Ignorer les signaux de malaise au travail peut conduire sur une voie de mécontentement croissant, affectant la santé, la confiance en soi et la relation avec les autres.

Nouvelle année, nouveau métier ?

Nouvelle année, nouveau métier ?

Les bonnes résolutions fleurissent à la nouvelle année. Notamment de reconversion, de faire un nouveau métier. Mais comment éviter qu’elles ne fusent puis s’évaporent tel un feu d’artifice ?

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Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

-Thérapie brève

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

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Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

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  • Bilan de compétences individuel Orientation & Sens de Vie® : Bilan de compétences spirituel pour reconversion professionnelle en quête de sens et alignée spirituellement (Bilan de Compétences en ligne, à distance)
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Un bilan de compétences pour reprendre son pouvoir

Un bilan de compétences pour reprendre son pouvoir

Mary Mann

Et bim !

Un bilan de compétences classique est souvent décevant. C’est le retour de nombreux clients. Or un bilan avec une vision globale change la donne. Loin d’être un simple bilan de « recyclage professionnel », le bilan de compétences spirituel Orientation & Sens de Vie® leur offre un renouveau, une mise en perspective différente, ainsi que la reprise en main de leur vie.

C’est un beau dimanche ensoleillé, une fin d’après-midi.

Que l’automne est doux ! Un sourire sur le visage, je parcours les km pour rejoindre un groupe d’amis dans un joli domaine breton au sud de Rennes.

Nous allons fêter l’anniversaire de Valérie !

Quand j’arrive, elle m’annonce toute enjouée qu’elle a vu des biches au fond du chemin.

Puis, avec une œillade complice, elle me lance : « Tiens Maryanne, Laetitia sera là !»

Cool ! Laetitia ? Oh super, que devient-elle ?, me dis-je en moi-même.

Il se trouve que je l’ai accompagnée en bilan de compétences Orientation & Sens de Vie® fin 2021-début 2022.

Elle était d’ailleurs venue sur recommandation de Valérie. 🙂

Les minutes défilent tandis que nous installons nos affaires dans les différentes chambres du gîte.

Déballage des victuailles également. Frigo plein à craquer version grotte d’Ali Baba.

La vache, mais y’a trop de bouffe !! oO

On peut tenir un siège sans problème ! LOL

 

Des voitures arrivent les unes après les autres dans la grande cour entourée d’arbres…

Un petit air de musique empli l’air depuis le salon cosy où trône un vieux poêle à bois dont la vitre arbore un teint carotte façon Donald Trump.

Mais il fait le job.

Ambiance « Parenthèse inattendue »

Il ne manque que Frédéric Lopez. 🙂

Laetitia arrive.

Elle descend de sa voiture.

Son joli sourire à fossettes m’a toujours fait penser à celui d’un bébé Nénuco.

Elle est radieuse et reposée.

C’est drôle de se voir pour de vrai quand on a passé 4 mois en zoom tels des bustes de César. 

« Pas trop choquée ? »  lui dis-je en rigolant. Elle joue le jeu : « Non » et rit à son tour.

Les heures s’égrènent. La mayonnaise prend entre les invités.

Les rires fusent entre deux bouchées de petits fours.

Puis la fatigue avance doucement sa couverture… Tapissant la musique, rendant les paroles plus intimes, les échanges devenant des confidences.  

Laetitia me lance : « Ca y est au fait ! J’ai eu ma rupture conventionnelle ! 

J’écarquille les yeux : Ah oui ?! Génial ! Quand ? 

– Fin août, me dit Laetitia avec un grand sourire et les yeux pétillants

– Bien ! Contente pour toi ! »  je lui réponds.

Il faut savoir qu’à l’époque, elle était dans un poste à responsabilité en structure sociale.

Et elle arrivait alors au bout de son expérience de management…

Elle avait gravi les échelons, mais s’interrogeait sur la finalité de tout cela : était-elle vraiment épanouie ?

Est-ce qu’être à un poste de Direction correspondait finalement bien à ses véritables aspirations ?

Beaucoup d’arrêts maladie en raison du Covid avaient fini par enfoncer le clou car elle portait la structure à bout de bras.

Depuis des mois, elle assurait plusieurs postes à elle toute seule avec brio mais au péril de sa santé.

Quand j’avais fait sa connaissance en bilan de compétences Orientation & Sens de Vie, Laetitia était clairement en surmenage, elle n’avait plus de vie personnelle.

Malgré sa surcharge de travail, Laetitia avait tout de même eu la volonté de trouver une solution.

Elle avait décidé de faire un bilan afin de faire le point et de s’en sortir, de trouver une autre voie.

Or ce qu’elle n’avait pas anticipé, c’est que je lui donnerais de bons conseils.

Et surtout que ce bilan de compétences lui donnerait la force d’entamer les démarches vers une rupture conventionnelle.

Car elle n’y avait même pas pensé étant donné sa position.

Bingo !

La Direction avait cédé face à l’évidence de sa détermination.

Echec au Roi.

Depuis cet automne, Laetitia a retrouvé un poste plus serein, en accord avec ses valeurs et respectant sa vie de famille.

Et en plus, tout près de chez elle ! Elle revit.

Elle se repose avant d’entamer la suite de son voyage professionnel…

C’est cette transformation-là qui me porte dans mon travail.

Quand je vois des personnes épuisées, abîmées, confuses et déstabilisées en début de bilan de compétences, qui reprennent des couleurs et de la force progressivement…

Quel bonheur !

Rendez-vous après rendez-vous, un changement d’énergie opère.

Je leur donne de la force pour se redresser dans un ciel qui s’éclaircit.

Le Lion se réveille et rugit au final.

C’est beau à voir et plein de sens pour moi.

🙂 Et vous ? C’est pour quand ?

Quand on se trouve dans une impasse professionnelle, il est important de ne pas attendre trop longtemps. Car plus les mois passent, plus vous vous dévalorisez et plus la confusion augmente. Démarrer un bilan de compétences est salutaire afin d’y voir plus clair et de se remotiver sur un nouveau projet professionnel, de retrouver un élan. De plus, faire un bilan avec une approche plus large et globale (un bilan de compétences spirituel) vous permettra de reprendre votre vie en main.
Nouvelle année, nouveau métier ?

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Bilan de compétences : individuel ou en groupe ?

Bilan de compétences : individuel ou en groupe ?

Mary Mann

Non non non et non

Des tas de publicités fleurissent sur les réseaux sociaux pour faire un bilan de compétences. Des « usines » qui vous promettent un coaching personnalisé (mais entre des sessions d’e-learning)… Histoire d’être un peu suivi quand même, hein ? Certains n’offrent que des ateliers de groupe vantant l’émulation et le « fun » de la formule. Quand ce n’est pas tout bonnement un mélange de tout cela… D’autres enfin, ne font que des bilans en e-learning substituant ainsi par un marketing habile le « débrouillez-vous » par le mot « liberté d’organisation ». Et puis il y a le bilan 100% individuel et présentiel. Comment choisir parmi tout ça ? Quelle formule pour un bilan de compétences qualitatif ?

Quand je vois ce que proposent certains prestataires
ou que je recueille les expériences de mes clients…

J’écarquille les yeux puis ma main vient sur mon front comme dans l’émoji 🤦‍♀

Je repense à mon premier échange téléphonique avec Gaëlle.
Elle avait déjà caressé le projet de faire un bilan de compétences mais dilemme !
En individuel ou en groupe ? Elle voulait y voir plus clair pour choisir.

Euuuuh comment dire ?
En groupe ?
C’est comme parachuter des citadins purs et durs dans la jungle et leur demander de retrouver le chemin vers la ville la plus proche.

A droite ? A gauche ?
Mais non ! répond l’autre, c’est tout droit. 
C’est super, on est ensemble, qu’est-ce qu’on se marre mais on est toujours aussi paumés.
Naviguons vers un naufrage collectif !

oO

Inévitablement, les participants de ce genre d’atelier -tous désorientés individuellement faut-il le rappeler ?- vont finir en binôme.
Ils vont échanger lors des pauses café, calquer leurs filtres et leurs préjugés sur les participants.
Ils vont vouloir asséner leur vérité à l’autre, le convaincre que même s’ils ne savent pas par où commencer pour eux-mêmes, en revanche ils voient clairement ce qui est bien pour l’autre…
« Ah toi je te verrais bien assistante sociale ou infirmière tiens ! »

Chacun va imaginer, extrapoler, fantasmer, projeter.
Au secours !

Comme je l’ai dit à Gaëlle : « Vous allez vous retrouver avec des gens qui ont perdu leur centre et qui vont vous donner leur avis sur vous et vous serez encore plus déstabilisée. » Gaëlle a validé.

NON
Le bilan de compétences est un temps d’introspection (guidé).
Définition d’introspection : observation, analyse de ses sentiments, de ses motivations par le sujet lui-même.
Pas de bibi, pas de Pierre, Paul ou Jacques qui déclame avec la tronche enfarinée : « Eh toi j’te verrais bien faire… »
VLAM ! Claquement de porte.

La qualité de temps que l’on s’accorde dans ce cheminement : c’est important.
Il y a les rdv qui rythment le bilan mais aussi les temps de respiration ENTRE chaque rdv.
Là, le bénéficiaire du bilan de compétences se centre, se questionne, réfléchit, doute, définit, intègre, clarifie…

C’est pourquoi les bilans en groupe ET qui se déroulent sur deux ou trois jours qui se suivent me laissent encore plus songeuse.

Mais il y a aussi ceux qui proposent des « bilans » entièrement en e-learning. Autrement dit, tu discutes seul avec ton ordinateur (lol)

Et tu es censé te motiver tout seul alors que tu en as déjà ras la casquette de ta life ? Que ton cerveau turbine à plein régime avec 3000 idées à la minute…

Euuuh comment dire ? 

que faire ?

Mmmmmmmmmm

Mmmmouais ?

Bah non en fait…

 

Je repense à Marie que j’ai accompagnée récemment.
Elle avait commis l’erreur de choisir un accompagnement de ce style car pas trop cher.
Résultat ?

« J’en suis ressortie aussi paumée qu’au début. J’ai eu vraiment du mal à aller au bout. Et je n’ai pas du tout été convaincue par le résultat. »

Je vais te dire clairement : prendre du recul, faire le point afin de voir plus loin que ce qu’on sait déjà faire et trouver sa voie pour un nouveau départ…

On ne peut PAS le faire seul et on n’est pas censé le faire seul d’ailleurs !!

C’est essentiel de se faire accompagner pour être soutenu et guidé dans sa réflexion et son évolution.
Mais pas avec dix autres personnes aussi perdues que toi !

Sinon cafouillage garanti !

Quand tu songes à une reconversion, tu es dans une phase de fragilité.

Tu es aussi influençable que l’eau en surface d’un lac qui frémit au moindre souffle de vent. Il faut te retrouver dans un cocon de maturation, protecteur, à l’abri pour préserver tes forces, avouer tes fragilités et retrouver ton centre. Car oui, il n’est pas rare de voir des larmes sortir. Et c’est normal. Il faut les accueillir.

C’est pourquoi je ne fais que du bilan de compétences individuel et présentiel (mais en ligne).

Les germes du changement sont déjà en Toi. Ta vérité doit émerger de Toi. Le choix doit venir de Toi.
Telle une fleur qui progressivement déploie un à un ses pétales pour révéler son éclat au monde.

Il est essentiel également de bien choisir avec qui on fait ce chemin.
Question d’affinités mais aussi de compétences.

Je me rappelle une amie d’enfance que j’avais retrouvée à l’occasion de mon propre bilan de compétences quand j’avais 28 ans.

Nous faisions la même démarche et dans le même centre !

Ma conseillère était plutôt sympathique et ouverte d’esprit.
En revanche, pour mon amie, ça n’avait pas du tout « matché » avec la sienne. Et son bilan de compétences s’était avéré catastrophique !

Récemment, une cliente de mon bilan « Orientation & Sens de Vie » m’a avouée avoir fait un coaching une année auparavant avec une coach certifiée.
Elle voulait ressortir avec un plan d’action pour… un projet qu’elle n’arrivait déjà pas à définir en fait. Tout était confus !
Et rien n’était sorti de cet accompagnement qu’elle pensait suffisant au départ et adapté à son besoin.

Il faut savoir une chose :

La flèche qui est tirée sur une cible suit l’intention du tireur.
Pas de cible définie : où viser ?
Pas d’intention : pas de tir

Donc pour commencer, il faut déjà savoir qui on est au fond pour définir un projet en accord avec soi.
Viendra ensuite l’objectif (où l’on veut aller).
Puis il faudra avoir l’intention d’y aller.
Cette volonté naîtra de l’alignement de ce projet avec votre Etre profond et du sentiment de trouver sa place dans le monde.

« Et au fait, toi j’te verrais bien faire… »
Rhooooo… Mais tais-toi donc !

Il existe de multiples formules de bilan de compétences. Certains permettent une meilleure introspection que d’autres. On peut surnager dans le recyclage professionnel ou descendre réellement dans l’Etre comme lors d’un bilan de compétences spirituel. La meilleure solution pour vous dépendra de votre besoin, de votre degré d’exigence et d’autonomie mais également de votre personnalité.

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Comment savoir ce qui est bon pour soi ?

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Savoir faire les bons choix

Comment savoir ce qui est bon pour soi ? La vie n’est qu’une succession de choix. Mais comment être sûr de prendre les bonnes décisions ? Toute crise, comme celle du Covid, redistribue les cartes pour beaucoup et nous destabilise en nous mettant face à l’essentiel. Créant son lot de dilemmes : quitter son travail, quitter son conjoint, changer de vie… Et si je vous disais que faire le bon choix est plus simple qu’il n’y paraît ?

Y’a des années charnières.

Même si dans notre vie, on fait toujours des choix
Ces choix nous définissent à chaque instant, redéfinissant le futur possible.

Dans le meilleur des cas, on est proactif.
Et on choisit ce que l’on veut dans sa vie, on est aux commandes du changement que l’on veut voir se concrétiser

Et puis…
Souvent quand on fait le choix de ne pas en faire
On se terre dans nos habitudes, on se laisse porter, on fait l’autruche…

Et BAM ! Un jour on se prend un mur
D’un coup ! On subit…

Regardez le Covid… (j’aime pas dire LA covid, ça sonne mal)

Combien ont pris en pleine figure l’année 2020 ?
Pensant que tout allait ronronner comme d’hab…

Au menu :
perte d’emploi, chômage, télétravail, enfants H24, conjoint H24, séparation à la clé, pétage de plomb, kilos en trop…

Exacerbation des tensions et déséquilibres déjà existants

Abysse d’anxiété, de déprime et de stress

Soit on ne s’en relève pas.

Soit on rebondit et là… Grave remise en question pour beaucoup :

  • Prise de conscience de son rythme,
  • des besoins nécessaires à son équilibre,
  • des ingrédients de son bonheur (tiens, tiens… il en manque beaucoup !),
  • de ses priorités,
  • qu’on ne supporte plus son conjoint,
  • qu’on a fait des enfants pour les mauvaises raisons ou qu’on ne les voit pas assez,
  • que nos collègues ne nous manquent PAS
  • ou que le travail qu’on fait nous sort par les trous de nez !

 

Bref on se rapproche de sa Vérité et de l’ESSENTIEL !

Mais comme dans toute crise, malgré des évidences, on est en proie aux doutes.

Comment lever le voile et toucher sa vérité face à une situation ?

Comment savoir si ce que l’on vit est bon pour soi ou non ?

Comment décider d’opérer un changement afin de vivre une autre réalité plus satisfaisante ?

 

que faire ?

Que faire ?

La réponse est de savoir si ce que l’on vit est JUSTE.

J’aime la puissance de ce mot.
J’ai découvert que c’était d’ailleurs une notion importante dans le bouddhisme.

Comment sait-on si ce que l’on vit est JUSTE ?

Toute justesse pour soi se décèle grâce à deux indicateurs :

  1. la légèreté du corps
  2. la paix en soi.

Oui

La légèreté est l’absence de tensions physiques.
Et la paix est un état émotionnel serein et stable.

Centrez-vous quelques instants puis demandez-vous :
« Est-ce bon pour moi de continuer à vivre « ceci » ou « cela »,
ou de rester dans telle situation ? »

Et écoutez vos ressentis.

Vous saurez si vous êtes en paix et léger.

Mais j’entends déjà les « rabat-joie » dire : mais non, c’est n’importe quoi ! On est forcément mal devant un choix…

Je vous dis que non.
Ce sont les conséquences fantasmées de ce choix qui vous font éprouver de la peur, de l’angoisse…
Mais quand vous êtes simplement dans l’instant du questionnement et que vous écoutez le feedback immédiat : votre corps sait instantanément la réponse.

C’est léger et en paix OU Non.
Ensuite vous basculez dans la peur avec des projections.

Alors, si ce que vous vivez n’est pas bon ni juste pour vous : osez vous renouveler !

Que ce soit en changeant de travail, de métier ou en changeant de vie
Car un choix est bon quand il est bon pour vous.
Peu importe ce qu’en pensent les autres, qui voient les choses avec leurs filtres et leurs peurs…

Voilà.
Et allez-y franchement. (Pour vaincre les peurs je suis là aussi ;-))

Comme le dit Maître Yoda : « Fais-le ou ne le fais pas, il n’y a pas d’essai ».

Pour moi, l’année 2020 et la « période Covid » ont été charnières.

Non pas dans le sens d’un grand changement mais de la confirmation des choix déjà faits. 🙂
Oui, je suis plutôt de nature proactive. Mes esprits alliés m’y aident bien d’ailleurs…

J’ai créé mon métier il y a plusieurs années et non seulement il me plaît toujours, mais j’ai de plus en plus de clients.
Même pour des choses que je ne faisais pas avant… Mais j’en parlerai peut-être plus tard…

J’avais déjà développé les consultations à distance avant le COVID.
Et aujourd’hui j’enfonce le clou : je ne travaille plus que comme ça !

Ce choix va dans le sens de mon projet de vie et de respect de moi : pouvoir travailler de n’importe où et avec le moins de stress possible.

Et je sens que cette vie et cette manière de travailler est JUSTE pour moi.

Tout cela n’aurait pas été possible si j’étais restée dans la procrastination, l’aveuglement et la peur, si je n’avais pas brisé mes chaines.

Aujourd’hui je me sens plus alignée que jamais :
Avec ma nature, avec mon métier.

Et que c’est bon !

Je vous souhaite le même bonheur.

Ayez l’audace de vos rêves. Libérez vous et chevauchez le dragon !

 

Si en apparence faire un choix semble compliqué, il n’en est rien au fond. La solution est toujours de revenir aux fondamentaux : SOI. Les chamanes disent souvent « mon corps sait ». C’est une sage observation. Ecoutez-vous. Les réponses sont en vous. Et du moment qu’il y a un questionnement, on peut se demander si nous ne savons pas déjà qu’il y a un problème et que quelque chose n’est pas « juste »…

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Quête de sens : signe d’éveil

Quête de sens : signe d’éveil

Mary Mann

De l’Ego à l’Etre

La quête de sens peut frapper à votre porte. Suite à différents événements extérieurs venus chambouler votre vie, des bouleversements intérieurs font émerger le besoin d’arpenter un nouveau chemin, de faire différemment. Cet éveil est plus ou moins rapide mais suit toujours une progression…

L’octuple noble sentier

 

Je ne suis pas adepte du Bouddhisme.

Pourtant, j’ai une affinité avec cette foi.

Récemment, j’ai découvert la notion de « l’octuple noble sentier » avec étonnement…

Ce chemin que l’être humain arpente, qui est le juste milieu entre :
-d’un côté la poursuite de la libération par la domination du corps/souffrance ;
-et de l’autre, la poursuite du bonheur par la recherche du plaisir des sens.

Et vous savez quoi ?

Ce « sentier octuple » ou dit autrement « Les huit droits chemins » fait partie intégrante des 37 éléments de l’Éveil qui sont les qualités/vertus nécessaires à atteindre par les pratiquants afin d’arriver à l’Éveil.

Qui dit « Sentier Octuple », dit 8 éléments.

Les voici dans l’ordre présenté par le Bouddha lui-même :

1. La vision correcte
2. La pensée correcte
3. Les paroles correctes
4. Les actions correctes
5. La profession correcte
6. La persévérance correcte
7. L’attention correcte
8. Le recueillement correct

Oui, vous avez bien lu : la profession correcte ou autrement dit les « moyens d’existence justes » ou la « profession juste ».

Intéressant non ?

Ainsi donc le fait d’exercer la « profession juste », celle qui nous correspond, participe à l’Eveil.

Ce point est vraiment très intéressant.

Car c’est justement suite à une élévation du niveau de conscience que nous sentons le besoin de changer de voie pour mettre plus de sens dans notre vie professionnelle.

Nous avons un appel, ainsi nous nous réveillons…

Nous nous éveillons 🙂

 

Les trois niveaux de conscience

En fait, il y a 3 niveaux de conscience. Les connaissez-vous ?

Ils ont été modélisés par Lucia Inserra (Université de la conscience-Brésil).

Ces 3 états permettent de bien comprendre ce par quoi une personne « endormie » passe soudain quand elle « s’allume » et recherche du sens.

 

1-La conscience altérée : Coincé dans l’Ego, l’Avoir et le Faire

 

L’être humain est dans un vide intérieur. Il se tourne donc vers l’extérieur pour se remplir. Il en est dépendant pour se sentir exister.

Il est toujours dans le FAIRE pour éviter le vide et la solitude. Il doit s’activer en permanence sous peine de se retrouver face à lui-même, son vide intérieur et à ses angoisses dont il ne sait pas quoi faire.

On voit bien ce genre d’individu faire tout le temps du shopping, c’est l’archétype parfait du consommateur compulsif et le rouage idéal du capitalisme.

Il n’a pas d’idéal de vie et erre sans réel objectif à long terme, à part acquérir du matériel et se distraire, se laisser diriger par ce que la société lui dicte.

L’individu n’est pas centré et pas vraiment ancré, sans base. Il est donc facilement déstabilisé.

Il est centré sur lui-même tout en n’écoutant pas ses besoins profonds insatisfaits… Il y a de l’incohérence entre ce qu’il pense, dit et fait.

Seul l’Ego dirige ses actions.

La personne est ballotée par ses émotions, est dans la réaction, la fuite, le jugement… Elle vit principalement dans le passé et dans le futur.

Elle ressent la séparation avec le monde et expérimente la dualité.

En général, ces gens ne prennent pas leurs responsabilités face à leurs actions : ils sont soit victimes ou bourreaux, agissant en vampirisme ou en persécution avec leur entourage.

 

2-La conscience intégrée : le point de bascule de l’Avoir vers l’Etre et du Soi vers le Tout

 

L’individu commence à découvrir son ETRE.

Il cherche ce qu’il y a à l’intérieur de lui-même, il prend conscience du Soi et se demande « Qui suis-je ? ».

On débute une auto observation de ses propres schémas et faiblesses. On hésite moins à demander de l’aide et on se justifie moins.
Un besoin d’intégrité émerge, le désir de ne plus se mentir.

L’individu apprend à s’aimer, à prendre ses responsabilités face aux événements.

Il est instable et peut perdre son centre durant cette transformation, mais son éveil a débuté…

La personne commence à vivre selon qui elle est. Elle s’engage dans sa vie en conscience, en faisant des choix conscients à la fois pour elle et les autres.

Elle vise des objectifs ainsi qu’un idéal de vie à long terme qui apparaît et elle chemine vers lui.

 

3-La conscience amplifiée : l’Etre dans le Tout

 

Arrivée à ce stade, la personne vit un état constant de conscience quelles que soient les situations. Elle vit surtout dans le présent et éprouve une confiance en la vie.

Elle vit l’Unité.

L’Ego se met au service de l’Etre et a le désir de protéger la Vie.

En plus de la conscience intégrée, il y a la conscience du Tout. Les décisions sont prises en fonction de Soi, du collectif et du Tout.

Tous les choix sont faits avec conscience (achats, nourriture…).
Il y a de la cohérence entre ce qu’on pense, dit et fait.

On acquiert la conscience que les autres sont dans leur vie pour évoluer et l’acceptation de « ce qui est » se développe.

On accepte que de situations puissent nous échapper et qu’on fait juste de son mieux à son niveau.

Cette compréhension s’acquiert dans la dimension matérielle ancrée et non dans une fuite éthérée.

La solitude est vécue comme une occasion de dialoguer avec Soi.

L’idéal devient le chemin et la personne se forge à travers son idéal, elle est incarnée et est à l’écoute d’autres plans.

La quête de sens apparaît quand l’être humain s’ouvre à son monde intérieur et au monde extérieur en conscience. Il s’interroge sur la portée de son action, sur le rôle qu’il peut jouer et son impact. C’est un signe d’éveil. Cet éveil peut effrayer d’abord car il crée de la confusion et peut chambouler notre existence. Mais il ne faut pas le craindre… Se faire accompagner (comme lors d’un bilan de compétences spirituel) pour répondre avec pertinence à cet appel, est déterminant. Ainsi, l’individu peut se remettre au centre sereinement afin de faire émerger qui il est véritablement pour aller vers un renouveau salvateur et une vie épanouissante. 

Nouvelle année, nouveau métier ?

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Les bonnes résolutions fleurissent à la nouvelle année. Notamment de reconversion, de faire un nouveau métier. Mais comment éviter qu’elles ne fusent puis s’évaporent tel un feu d’artifice ?

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Maryanne Manneville

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Reconversion pro et famille : oser se réaliser ou se sacrifier ?

Reconversion pro et famille : oser se réaliser ou se sacrifier ?

Mary Mann

Quand l’entourage nous met face à un dilemme

Quand on aspire à changer de vie, il est souvent difficile de faire des choix. D’autant plus quand on n’est pas seul à être impacté. Conjoint, enfants… On peut se sentir vite pris au piège et condamné à poursuivre tête baissée sans rien changer… Pire, on imagine que faire un choix rime forcément avec perdre quelque chose ? Mais n’y a-t-il vraiment aucune autre voie que de se résigner et de voir le pire ? Se choisir ou se sacrifier, comment sortir du dilemme ?

Je me souviens.

C’était après un séminaire de développement personnel que j’avais suivi en Normandie…

Il faisait nuit et j’étais sur l’autoroute pour rentrer chez moi.

Alors que je roulais sous des trombes d’eau qui rendaient ma radio inaudible, mes pensées me ramenaient à Jérôme.

Un des participants.

Un bon gars, sensible, gentil.
Un praticien de santé.

Durant une des pauses entre deux sessions, il s’était mis à me parler de sa souffrance à ne pas trouver sa place professionnelle.

Il aimait son métier mais pas au sein de la structure dans laquelle il l’exerçait.

Au départ, il avait choisi son métier car il voulait soulager la douleur.
Or, là où il travaillait, ce n’est pas ce qu’il faisait…

Il aspirait à faire autre chose.
A retrouver son alignement professionnel en créant une structure dédiée à la douleur.
D’y intégrer le yoga…

Mille idées fusaient alors qu’il avait le regard rêveur, brillant mais humide.

En effet, quelque chose était bloqué en lui.
Il avait une énorme colère… contre lui.

Car il n’osait pas :

  • S’honorer,
  • Faire des choix Bons pour lui,
  • Accéder à son pouvoir et à son énergie créatrice.

Il n’osait pas non plus confier son désarroi à son entourage.

A l’entendre,
Son épouse était heureuse, là où ils habitaient
Lui : non
Son enfant était bien, là où ils habitaient
Lui : non

Lui, il avait envie d’habiter plus près de Paris, vers Rambouillet, sa forêt…
Et il me dit : « Tant qu’on est ensemble avec ma femme, on reste là »

Puis il avait rajouté : « c’est soit, je pars quand je serai tout seul, soit on reste là ensemble ».

(outch ! Ça sent pas bon…)

 

Ainsi, il définissait sa vie en fonction de l’autre et de ce qu’il croyait de la situation.
OUI

Car, il ne semblait pas avoir demandé à sa femme, VRAIMENT, si elle était prête à faire des compromis.

Il ne parlait pas de sa souffrance tapie à l’intérieur de lui.

En fait ! Il apparaissait qu’il n’avait pas essayé d’imaginer « une autre voie » !

Il restait dans des extrêmes manichéennes qui le bloquaient et l’empêchaient d’imaginer autre chose.

Elles l’empêchaient de créer son modèle de bonheur, d’oser formuler un autre projet de vie.

Rien qu’à l’idée d’évoquer son projet, il avait peur de blesser son entourage, de faire du mal à ses proches, qu’ils soient malheureux A CAUSE de lui.

Alors il enfermait toute cette envie dans son cœur.
Il s’empêchait de vivre et d’être heureux.

Des larmes emplissaient ses yeux, rien que d’en parler.

 

Et si une autre voie était possible ?

 

En attendant, c’était à lui qu’il faisait du mal.

En attendant, les années passent.
Et comme le disait Khalil Gibran : la vie ne s’attarde pas avec hier…

Non

Ce qui amène à se poser des questions légitimes :

  • faut-il se sacrifier et renoncer à ses projets A CAUSE de l’autre ?
  • Faut-il baser ses choix entièrement sur ceux de la famille ?
  • Ou tenter de réaliser ce qui nous appelle, même si cela veut dire faire des concessions voire casser quelque chose ?

Le problème est avant tout que les gens s’imaginent toujours PERDRE quelque chose en faisant un choix.

Ils se retiennent d’agir par pure peur de rompre « l’équilibre » de cette vie qu’ils ont mis en place, et qui aujourd’hui les étouffe.

Ils font des hypothèses castratrices sur leur entourage et des conjectures sombres sur l’avenir…

Mais tant qu’ils laisseront la peur diriger leur vie et leur mental leur servir des films catastrophes, ils ne sortiront pas de cette impasse.

Il n’y a qu’une seule solution : en PARLER et se faire aider pour surmonter les peurs fantasmées et les croyances limitantes qui vous brident.

Vous pourrez ainsi gérer vos émotions négatives et délier votre langue avec votre entourage.

En travaillant sur vous, vous serez capable de changer votre vision et de sortir du dilemme. Faire des choix bons pour vous. Vous respecter et oser.

Car tôt ou tard, cette pression et cette fracture intérieure sera insupportable.

En tous cas, il y a une chose que je sais.
C’est qu’on nait seul
Et qu’on meurt seul…

Que la vie passe à une vitesse folle, et la jeunesse encore plus.

A la fin de ta vie, c’est toi, Dieu (ou la source).
Et c’est tout.

Que se dira Jérôme à la fin ?
Tant d’années gâchées, de regrets, à se retenir de vivre et d’écouter son cœur ?

Et TOI, que te diras-tu… A la fin ?

 

Nouvelle année, nouveau métier ?

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Remettre la Vie au centre

Remettre la Vie au centre

Mary Mann

Il serait temps !

Fin février 2020, j’étais à Toulouse.

J’assistais à un symposium de l’INREES « Nature extraordinaire – vers une écologie spirituelle »

Parmi les intervenants, il y avait notamment mon cher formateur en chamanisme, Laurent Huguelit – auteur de « Mère », ainsi que Satish Kumar auteur du livre « Vers une écologie spirituelle ».

Plongée dans le noir, j’observais l’amphithéâtre plein à craquer !

Les lumières bleues, vertes, soigneusement réparties, diffusaient une ambiance intimiste et mystérieuse.

Sur la scène, des végétaux disposés donnaient l’impression de se trouver dans la nature.

Après l’introduction de Stéphane Allix, Laurent Huguelit – premier intervenant – surgit soudain des végétaux sur la droite de la scène.

Il s’installa tranquillement, se déchaussa pour mieux s’ancrer et se mit à parler de son amour pour la Nature et la forêt.

Combien il était important de recontacter le lien avec la Mère nourricière, afin notamment de retrouver notre âme Humaine mais aussi tout simplement de survivre…

L’esprit de la Terre lui avait parlé et nous mettait en garde. 

 

Puis, ce fut le tour de Satish Kumar, un ancien moine octogénaire infatigable 😉

Il débordait de vie, d’énergie et d’agilité intellectuelle. Son dernier ouvrage s’intitulait « Vers une écologie spirituelle ».

Il invitait chacun à s’engager dans une action, un métier au service du collectif et qui préservait la Terre.

Ses paroles fusaient dans l’air, toutes plus pénétrantes les unes que les autres. Son enthousiasme se communiquant à la foule.

Même le fait d’avoir une traductrice n’enlevait rien au dynamisme et à la profondeur de son propos.

Toute l’assemblée buvait les paroles des intervenants, y adhérait et je nous sentais tous unis autour de ces belles valeurs partagées.

Mon cœur était empli de joie, du fait de voir tout ce que je pensais et ressentais, verbalisé sur scène par d’autres.

 

La pandémie de Coronavirus commençait alors à pointer le bout de son nez en Europe.

Mais nombreux étaient ceux qui ne pouvaient imaginer ce qui se profilait (et ce qui est bien présent à l’heure où j’écris ces lignes).

 

Car ça y est nous y sommes : l’effondrement, le grand huit, la grande purge, le crach, le Corona Krach comme s’en amusent les journalistes.

Tout y passe, crise sanitaire, financière, sociétale…

C’est une glissade sans fin…

Même le cours de la Bourse chute à la manière d’une balle de tennis qui descendrait un escalier et rebondirait, encore, et encore… plac… pluc… ploc…

Avant de s’arrêter tout en bas contre le mur.

 

Mes chers lecteurs, nous vivons la fin d’une époque.

Notre système déjà moribond depuis plus de dix ans est aujourd’hui à terre.

Mais au milieu de ce chaos que je contemple, quelque chose en moi ne peut s’empêcher de se réjouir…

Oui, car dans tout effondrement, il y a une promesse.

La promesse d’une transformation, d’un renouveau.

Nous sommes aujourd’hui brutalement remis face à l’essentiel. Même notre Président l’a dit !

Ouh lala ! Aurait-il eu une épiphanie ?

 

Nous sommes remis face à ce qui aurait dû être notre seule préoccupation depuis toujours et qui aurait dû être mis au centre de notre système sociétal : LA Vie.

Il ne s’agit pas simplement de vie humaine.
Je parle du principe de Vie qui englobe la vie sous toutes ses formes.

Depuis le début de mon activité entrepreneuriale, fatiguée par la « folie » de ce monde, j’ai eu à cœur de remettre la Vie au centre.

A commencer par MA vie. Ma santé. 

Puis la Vie, au travers du sens de mon action pour la société.

J’ai voulu que Tout soit en cohérence, aligné et au service de la Vie.

 

Bien sûr, tout n’est pas parfait, mais je fais de mon mieux chaque jour pour suivre ces 3 principes :
• Respecter la Vie,
• Nourrir la Vie,
• et s’Abandonner à la Vie,

Afin de remettre la Vie au centre dans ce monde, je vous invite à faire de même dans chacune de vos actions.

 

Respecter la Vie

Qu’est-ce que cela veut dire ?

Tout d’abord, posez-vous la question : où sommes-nous ? Sur Terre.

Qu’est-ce qui est apparu sur la Terre ? La Vie.

Qui sommes-nous ? Des êtres humains. Des êtres vivants faisant partie de la Nature.

Et de quoi dépend notre vie ? De la bonne santé de cette Terre et du maintien de la Vie à sa surface.

Nous sommes en train de découvrir brutalement que respecter la Terre et son écosystème est essentiel si nous voulons survivre.

Car c’est d’elle que provient :

  • TOUT ce qui est dans notre assiette
  • et TOUT ce que nous consommons,

 

La Vie a des règles. Elle a un début et une fin. Elle est aussi synonyme de diversité.

L’humain a trop tendance à se croire supérieur ou extérieur à elle.

Il ne peut pas s’en extraire, ni la dompter sous prétexte d’améliorer son profit, sans en payer les conséquences.

Non, nous pouvons seulement y adhérer, y participer tout en respectant les règles du jeu.

Car une goutte d’eau dans une rivière ne va pas dicter ses règles au fleuve…

 

S’il tient à survivre, l’Humain ne peut pas non plus tuer sa mère.

A moins de se comporter comme une tumeur cancéreuse qui finit par tuer son hôte – mais elle aussi y passe, au bout du compte.

On dit bien de ne pas mordre la main qui nous nourrit…

Ou comme me l’a dit un jour un Anglais avec beaucoup de franchise et d’humour (attention aux oreilles sensibles) : « Don’t shit in your own backyard ! »

Traduction : « Ne chiez pas dans votre propre arrière-cour » ;-/

Ou nous finirons emportés avec l’eau du bain… Et par manger nos déchets (c’est déjà le cas… plastique, pesticides, radioactivité dans l’eau, produits chimiques, etc.)

 

Car oui, la Vie sur Terre se joue dans un gigantesque circuit fermé où tout nous revient en boomerang un jour.

L’eau que nous buvons est tombée du ciel des milliards de fois, a été bue par les dinosaures, des hommes…, qui l’ont éliminée, puis elle a été absorbée et filtrée par le sol, bue puis évaporée par les arbres… again and again. A l’infini.

Aujourd’hui, le circuit fermé infini continue, mais avec des petits cadeaux en plus généreusement distribués par l’Homme ! 🙂

  • Hummm, c’est quoi ce goût ?
  • Tiens les poissons deviennent hermaphrodites ?
  • L’infertilité humaine augmente ?…
  • oO

Respecter la Vie signifie également être en harmonie avec le vivant de tout bord : animaux, insectes, flore, humains.

L’Homme fait partie de la Vie, de la Nature. Il n’a aucune supériorité.

Chaque espèce a droit à un espace pour vivre en harmonie avec les autres. Au lieu de cela, nous assistons à l’atrophie des espaces naturels. La faune souffre et nous nous mettons nous-mêmes en danger en étant de ce fait, au contact de virus dangereux et en détruisant l’écosystème.

 

Respecter la Vie veut dire aussi de mettre de la conscience dans nos actions.

Par exemple, quand on mange de la viande.

Faut-il diaboliser les mangeurs de viande ? Malgré mon amour pour les animaux, je ne le pense pas car tout le monde ne peut pas être végétarien (parlez-en à un médecin ayurvhédique ou chinois…).

Mais respecter la Vie veut dire que si on mange de la viande, il est louable de d’abord :

  • en manger raisonnablement,
  • choisir quelle viande on mange (mode d’élevage et d’abattage),
  • de remercier la Nature pour ses bienfaits,
  • puis d’avoir du respect pour l’animal de qui on prend la vie,
  • remercier en conscience tous les intermédiaires qui ont permis que cette viande arrive dans notre assiette
  • et enfin d’honorer la viande.

Il en va de même pour les vêtements à base de cuir comme nos chaussures. Remercions en conscience l’animal et la Terre d’où ils proviennent.

L’Homme se doit de faire le maximum pour respecter la Vie au cœur de ses actions quotidiennes.

Je vous invite donc à vous poser ces questions :
• Que puis-je faire pour respecter la Vie d’avantage dans mon existence ?
• Par mes décisions, par mes actions, au quotidien : que puis-je faire pour respecter la Vie qui est en moi et la Vie autour de moi d’avantage ?

 

Il peut s’agir de votre santé : en prenez-vous suffisamment soin ? Ecoutez-vous ce que vous dit votre corps souvent malmené ?

Ou vous croyez-vous supérieur dans votre tête au point de penser qu’il va pouvoir continuer tel un robot sans sourciller ou telle une bourrique qu’on cravache, tout droit vers le burn-out ?

Vous pouvez acheter votre viande directement à un éleveur qui fait de l’élevage à petite échelle, écologique, avec des animaux heureux et bien traités.

Ou je vous invite encore à ne pas tirer toute la couverture à vous.

Ainsi, vous pouvez respecter la Vie des autres formes de vie autour de vous en acceptant de partager.

Dans une certaine mesure, faites des offrandes aux animaux, nourrissez les oiseaux, les hérissons… au lieu de vouloir à tout prix punir et tuer celui qui a mangé des fruits et légumes dans votre potager… Une taupe a fait des monticules sur votre pelouse ? Et alors, ça va vous tuer ?

Pour reprendre la déclaration limpide d’un maraîcher biologique vu à la TV : « Dans la Nature, chacun prend sa part, sans nuire à l’ensemble ».

Or les indiens d’Amérique, dégoûtés par le pillage/saccage des ressources de Terre-mère par les Hommes Blancs et leur individualisme, n’ont-ils pas fini par les appeler ceux qui prennent ?

Alors donnez mes amis ! L’Homme n’est pas le seul à avoir le droit de vivre !

 

 

Redonnez à la Vie un peu de ce qu’elle vous donne gratuitement chaque jour. En Amérique du Sud, la première gorgée de chicha n’est-elle pas offerte avec déférence à la Pachamama ?

Mais vous pouvez également commencer par honorer votre nourriture. Ce sera déjà bien !

Loin des bondieuseries du bénédicité, il est intéressant de retrouver le respect du travail de tous ceux qui ont contribué à ce que vous puissiez manger votre nourriture, à commencer par la Nature qui donne sans compter. Et d’honorer la vie de l’animal dont vous mangez peut-être la chair.

Je vous invite donc à retrouver le sens de la gratitude et du respect !

Cela est valable aussi pour le monde professionnel. Chaque manager, chaque collaborateur… Mais aussi chaque entreprise devrait s’interroger à tous les niveaux de ses process de production pour savoir si elle respecte la Vie ? Depuis sa raison d’être jusqu’aux sites d’extraction, de production, de commercialisation…

 

Nourrir la Vie…

… D’abord en soi

Nourrir la Vie de joie, de santé, d’amour, de choses positives…

En ayant des relations sociales de qualité, en prenant soin de sa santé physique et psychique, en s’aimant assez pour se donner du bon et se faire du bien, en refusant ce qui nous détruit.

On nourrit aussi la Vie quand on garde le lien avec la Nature et que l’on vit en harmonie avec elle.

En chamanisme, l’harmonie et l’équilibre en l’Homme mais aussi entre l’Homme et son environnement sont des principes clés.

Malheureusement, la jeune génération est souvent déracinée et a perdu le lien avec la Nature, sa mère.

Combien de Smombies marchent les yeux rivés sur leur téléphone portable au point d’en avoir des accidents ? Combien s’abrutissent sur des jeux vidéo… ?

Beaucoup de travailleurs deviennent malades car enfermés dans un bureau toute la journée ou en usine en 3×8 , travaillent de nuit…

Or, il est prouvé que la Nature joue un rôle essentiel dans la santé psychique et physique, ne l’oublions pas.

Alors cessons de vivre et de travailler en abîmant notre santé, en ne respectant pas le biorythme de l’Homme ou en grandissant hors sol.

 

… Autour de soi

Nourrir la Vie s’incarne aussi dans le fait d’accomplir quelque chose qui a du sens et qui nous comble de joie.

Comme le dit Satish Kumar : le sens de la Vie est de trouver la joie.

Comment ?

Selon lui, notre activité professionnelle doit avant tout préserver la Nature, puis nourrir notre âme, et enfin être au service du monde.

Pour ma part, j’irais plus loin justement en remplaçant le terme de Nature par celui de la Vie.

Alors, nourrissez la VIE dans vos choix, à commencer par vos choix de consommation.

 

Devenez un consom’acteur :
• Qu’est-ce que j’achète ?
• D’où cela vient ?
• Qui je soutiens et quel choix de société est-ce que je cautionne en achetant tel produit ?

Par exemple, saviez-vous que la population des éléphants asiatiques du Laos ne dépasse pas les 1000 individus et qu’ils ne reproduisent plus ? Autrefois, le Laos était appelé le pays au million d’éléphants… En plus d’être isolés à cause de l’invasion et du morcelage de leur milieu de vie par l’Homme, les éléphants sont épuisés. Ils servent de bête de somme à l’industrie du bois exotique comme le Teck, qu’ils sont forcés d’aller chercher sur des terrains toujours plus dangereux. Ils n’arrivent plus à se reproduire…

Je vous pose la question : cela vaut-il le coup d’acheter des couverts ou des meubles en teck, au prix de cette destruction et de cette souffrance ? Sans parler des milliers de kilomètres parcourus pour arriver jusqu’à nous ? N’y a-t-il pas assez de bois dans notre pays ?

Pour nourrir la Vie autour de vous, vous pouvez aussi contribuer à des associations qui soutiennent des causes importantes à vos yeux.

Et par pitié, pensez aux animaux ! Ils sont trop souvent oubliés au profit d’actions exclusives pour les humains…

 

Alors pour nourrir la Vie autour de vous, je vous invite à vous poser ces questions :
• Que puis-je faire pour trouver la joie dans ma vie et ainsi nourrir la Vie ?
• Est-ce que je nourris la Vie en moi par mon travail et mon mode de vie ? Ou bien mon travail me rend-il malade ?
• Et est-ce que je nourris la Vie autour de moi par mes actions, par mon travail : détruit-il la Vie autour de moi ?
• Est-ce que la Vie pourrait se passer de mon travail ? Si mon travail disparaissait, quelles en seraient les conséquences ?
• La Vie est-elle au cœur de mon action ? En quoi suis-je au service de la Vie ?

Ces questions sont intéressantes à se poser, que vous soyez simple citoyen, mais aussi entrepreneur ou gérant de société, dirigeant aux commandes de l’Etat.

Car si notre société veut s’en sortir, elle doit remettre la VIE au centre et donc remettre le Sens du travail humain et le Sens de la vie au premier plan.

 

Managers, entrepreneurs, dirigeants, salariés… Tous doivent remettre la Vie au centre.

Car à quoi rime de continuer à voir l’être humain comme un simple outil de production dans un système libéral dont la seule finalité n’est que de maximiser le profit ??

Le travail n’est pas une finalité, il n’est qu’un moyen. Mais pour produire quoi ? Posez-vous la question !

Si vous réfléchissez et que vous remontez à la source de toute action humaine : seul ce qui est en lien avec la Vie est important.

Tout ce qui est vraiment utile à ce monde, les métiers essentiels, sont ceux qui nous permettent de continuer à vivre, ceux qui nourrissent la Vie finalement.

 

 

Cette société moderne a perdu depuis longtemps le lien à la Vie.

Elle a sacrifié l’intérêt suprême sur l’autel productiviste et libéral au point de mettre en péril sa propre survie !

A commencer par la gestion des hôpitaux et de la filière de santé. Quelle belle débâcle durant la crise du Covid-19 !

Comment peut-on décider de gérer des établissements de santé selon des critères de rentabilité et en flux tendu, que l’on applique dans des magasins ?

Comment peut-on soigner des malades en leur donnant de la nourriture « morte », sur-cuite et avec pesticides inside, au nom des fameuses normes d’hygiène ? Cette même nourriture qui finit souvent à la poubelle car elle n’a pas de goût… Tout le monde connaît la réputation de la nourriture d’hôpital !

Que dire de toute la chaîne de production des biens industriels ?  De l’obsolescence programmée ?

Et comment, quand on est sain d’esprit, peut-on concevoir un produit avec des composants qui ont été produits en polluant, qui pour la plupart abîment notre santé et ne sont pas recyclables au final ?

Nucléaire, plastique, mélaminé, couche-culottes, pesticides, sable bitumeux, pillage du sable des plages pour faire du béton, des aliments qui font des milliers de km au nom du sacro saint « moins cher »…

Les gens croient-ils que leurs déchets se vaporisent une fois à la déchetterie alors qu’au final la plupart sont enterrés ?

La folie s’est emparée de l’Etre humain « civilisé ».

Depuis quand Homo detritus nourrit-il la Vie ?

 

S’abandonner à la Vie

Combien d’entre nous ne vivent que dans la peur, parfois inconsciemment ?

Peur de perdre son travail, Peur de manquer d’argent, Peur de mourir, Peur de vivre… ?

Tous vos choix sont-ils dictés par un « Non », « Et si ? », « Oh mon Dieu !»

Quand vous observez cela en vous, vous vous rendez compte qu’il n’y a que deux attitudes possibles et qui sont à la source de toute décision : l’amour ou la peur.

Et s’il était temps de se rappeler que le principe de la Vie, c’est le changement et l’évolution ?

Et s’il était temps d’arrêter de souffrir en résistant de toutes ses forces à un saut inévitable au bout du compte ?

Et s’il ne suffisait que d’accueillir le changement pour embrasser la vie enfin ?

 

 

Chaque période de crise (comme celle du confinement) nous met toujours face à nos dilemmes, nos questionnements, nos luttes intérieures que nous avons repoussées jusque-là, ne sachant trop qu’en faire…

Et à l’issue de ces moments critiques, se trouve toujours une transformation, un repositionnement, des choix nouveaux.

Alors, quels changements votre âme appelle-t-elle de ses vœux ?

 

Je vous invite à vous poser ces questions :
• Qu’est-ce qui m’empêche de m’abandonner à la Vie ?
• Qu’est-ce que je ne veux plus, que je veux lâcher pour m’abandonner à la Vie ?
• De quelles peurs ou quelles croyances dois-je me libérer pour suivre le courant de la Vie, suivre l’appel de mon âme et de mon cœur, apporter ma pierre à l’édifice ?

 

En un sens, réjouissez-vous du changement qui s’annonce, de l’effondrement de ce système à bout de souffle et inhumain.

Comme Rémi, cet ancien informaticien qui a quitté son emploi et s’est mis au vert dans le Cantal.

Il est collapsologue. Cela signifie qu’il est convaincu de l’effondrement imminent de notre civilisation. Au micro de France 2, il déclare :

« On va passer une période qui ne sera certainement pas drôle, mais c’est passionnant de se dire qu’on va peut-être participer à la reconstruction d’une nouvelle civilisation… Notre société nous a déconnectés de la Terre. Et là, on est en train de se rendre compte qu’on a atteint les limites, donc on va devoir se reconnecter à la Terre… Ça c’est forcément quelque chose d’intéressant et on va reconstruire… Donc c’est quand même passionnant ! »

Alors sautez dans la piscine mes amis !

 

Engagez-vous dans quelque chose qui a du sens, qui nourrit la Vie et vous comble de Joie.

Repensez vos actions, votre activité professionnelle, vos choix.

Interrogez-vous sur ces trois axes :

Respecter la Vie – Nourrir la Vie – S’abandonner à la Vie

 

Ne vous inquiétez pas, l’existence humaine n’est qu’un jeu cosmique. Vous pouvez expérimenter.

Non, vous n’allez pas mourir si vous tentez quelque chose de nouveau, si vous changez et allez vers l’inconnu. Un inconnu riche de renouveau.

Comme le dit Patricia Darré : « N’ayez pas peur de la vie » !

Il vous appartient de poser des actions pour devenir celui que vous voulez être au service du monde. Et cela peut déjà être dans l’engagement associatif ou dans un nouveau métier, voire les deux.

Vous pouvez changer car cela est dans l’ordre des choses… La Vie le veut !

 

Nous sommes à l’aube d’un changement majeur de société.

Nous avons tout un modèle sociétal à repenser et à rebâtir, en mettant la Vie au centre.

Jacques Attali l’appelle « l’industrie de la vie », au service de la seule et meilleure société possible : une société altruiste et empathique, qui placerait la Vie, la culture, la santé, l’environnement… avant le profit.

Nous sommes à un carrefour : soit nous prenons la tangente pour s’engager dans un nouveau modèle de développement, soit nous retournons à nos errements consuméristes à tout va… Soit nous revoyons notre échelle de valeurs, soit nous continuons à danser sur le pont du Titanic.

Quoique l’Homme décide, le monde ne sera assurément plus le même après la crise du Covid-19.

Pourtant, nombreux sont ceux qui ne mesurent pas encore la portée de cet événement. Ceux qui font encore des vidéos potaches sur FB et s’amusent tels des enfants découvrant l’école buissonnière, risquent fort de se réveiller avec la gueule de bois.

Oui, l’arrêt brutal de l’économie aura des conséquences graves…

Mais peut-être provoquera-t-il aussi un sursaut plus que nécessaire ?

Conjugué au confinement obligatoire, il va être immanquablement pour beaucoup, l’occasion d’une remise en question profonde de leur vie et priorités.

Il va être aussi le théâtre de prises de conscience salutaires. Et de cette introspection forcée pourra naître un désir de transformation viscéral.

Il appartiendra alors à chacun de privilégier l’essentiel, de monter dans le train à son niveau et de lui faire éviter le mur, au lieu d’attendre un miracle face à l’inévitable.

J’entends souvent dire : « Il faut sauver la planète ! »

Hélas ou plutôt heureusement : non !

La planète en a vu des vertes et des pas mûres. Elle nous survivra TOUS, même avec une petite indigestion nucléaire et chimique.

C’est surtout la Vie à sa surface que nous devons sauver, nous inclus !

Chaque crise est une merveilleuse occasion de croissance et donc de transformation.

Suivez la Vie en vous. Suivez son appel. 

Il est temps.

Car nourrir la Vie et la suivre débouche forcément sur de la Joie.

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Ennui au travail, une histoire de famille ?

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Mary Mann

Fidélité familiale, quand tu nous tiens !

S’ennuyer au travail. N’est-ce pas un comble ? Comment peut-on accepter de s’ennuyer dans une activité qui nous occupe une bonne partie de notre vie ? Pourtant en 2019, six Français sur dix déclaraient s’ennuyer au travail. Et parmi eux, un tiers ne trouvaient vraiment aucun intérêt à leur travail. Erreur de casting ? Erreur d’orientation ? Bullshit job ? Quand certains se sont trompé de voie, d’autres se laissent simplement porter par la vie et finissent par échouer au hasard quelque part… par opportunisme. Mais d’autres se plient carrément à la pression familiale…

Laissez-moi vous compter l’histoire du mystérieux Modigliani barbu

 

L’aut’jour, j’ai regardé TébéSud

– Tébé Quoi ?! Vous voulez dire Teubé ?

Mais non ! 😄 La chaîne bretonne locale ! Sur le canal 33 !

Elle s’appelle TébéSud.

Je suis sûre que ça vous arrive aussi dans des moments d’égarement télévisuels… De finir sur des chaines improbables et locales 😳

Où on tombe sur des reportages du terroir, avec des présentateurs au charisme d’un hareng mort.

Et des sujets de reportages qui stimulent notre curiosité autant que notre appétit le serait par du poisson froid cuit de la veille et qui attend dans le frigo !

 

Hier, c’était un de ces moments-là… Juste après la 27, infos en continue… Oups, trop loin ! Mon doigt a ripé

Et je suis tombée sur un reportage sur la DNCS de Lorient, là où on fabrique des navires…

  D’habitude je re-zappe direct mais là, inexplicablement, quelque chose a piqué soudain ma curiosité.

 J’étais aimantée !

  C’était dans l’atelier de l’usine. Machines énormes en arrière plan. Chalumeaux et tout. Un ouvrier mécanicien était interviewé.

  Il respirait la joie de vivre.

 

Il ressemblait à un Modigliani barbu. Genre « sans vie »… Son visage morne me captivait.

 

Muf ?

 

Et malgré moi, je me suis mise à écouter en bruit de fond ce qui se disait…

Le journaliste : « Ton père travaillait ici ?

Ouvrier Modigliani : Oui, il travaillait ici

Le journaliste : Et est-ce que tu savais concrètement ce qu’il faisait à l’usine ?

Ouvrier Modigliani : Ah oui, oui – petits hochements de tête sans conviction – Il me racontait ce qu’il faisait.. Baaaaah, ça m’a plu… (je ne mets même pas de point d’exclamation tant c’était enthousiaste !) Suite à ça, j’ai voulu suivre un peu la même branche dans la mécanique navale, quoi. (regard morne)

 

Un ange passe et soudain, c’est plus fort que lui, il rajoute : Faut pas décevoir la famille.

Le journaliste : Ah ? La famille ?… – il cherche des précisions

Ouvrier Modigliani : Parce qu’il n’y a pas eu que mon père ici. Il y a eu mon frère et y’a actuellement mon cousin. C’est une histoire familiale.

Le journaliste : Donc il faut être à la hauteur alors ?

Ouvrier Modigliani : Alors… P’têt pas que j’irais jusque-là. Mais euh, c’est une suite logique quoi. Montrer qui on est…

(Moi : oO)

Le journaliste : Euh d’accord… – il a l’air dubitatif quand même, il cherche à poursuivre – Donc vous êtes une lignée d’ouvriers quoi ?

Ouvrier Modigliani : Oui, oui on peut dire ça. C’est toujours bien de suivre un peu ce qu’ont fait nos parents, quoi. Et de continuer… Même lui mon père, je pense qu’il est fier de moi…

Le journaliste : Ah oui ?

Ouvrier Modigliani : Oui, oui… Il ne le dit pas mais je pense qu’il est fier.

Le journaliste : Il te demande de raconter ce qu’il se passe justement ?

Ouvrier Modigliani : … Ah ? Comment ça se passe ? (il comprend la question à retardement) Oui – petits hochements de tête – Oui, oui. Il me demande comment qu’c’est, avec ses anciens collègues de boulot. Un p’tit résumé toutes les semaines, quoi… (non non, toujours pas de point d’exclamation !)

Le journaliste : Ah oui, quand mêêême… dit-il en ralentissant la voix

Ouvrier Modigliani : Et puis moi aussi, je suis fier de lui raconter, comment ça va l’chantier…

Un ange passe. Suspension du temps fugace.

Et LÀ… La question qui tue !!!

Le journaliste qui est sûr d’avoir ENFIN percé le secret de ce Modigliani barbu, se lance tout sourire et la voix vibrante :

Le journaliste : « T’es heureux tous les matins quand tu vas bosser ? »

Le couperet tombe

Ouvrier Modigliani : « Heureux ? Nan… Je viens travailler en fait. Voilà. Je viens juste toucher mon salaire« 

Fin de l’interview du Modigliani barbu.

 

Et bam ! 😳 La mâchoire m’en est tombée.

Je crois que si vous aviez vu mon visage, vous auriez ri !

Les yeux écarquillés et la moue de De Niro : Gloups !

Nan, mais sérieux ?

La phrase qui glace le sang : « Faut pas décevoir la famille »

 

Et vous ? Vous avez choisi votre métier comment ?

Pour pas décevoir la famille ? Pour faire plaisir aux parents ? Pour échapper au chômage ? Ou pour contribuer au monde en utilisant vos talents ?

Nouvelle année, nouveau métier ?

Nouvelle année, nouveau métier ?

Les bonnes résolutions fleurissent à la nouvelle année. Notamment de reconversion, de faire un nouveau métier. Mais comment éviter qu’elles ne fusent puis s’évaporent tel un feu d’artifice ?

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Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

-Thérapie brève

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

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Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

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Peur de changer de travail : ce qu’elle cache vraiment et qui vous empêche de partir

Peur de changer de travail : ce qu’elle cache vraiment et qui vous empêche de partir

Mary Mann

Vous en avez marre de votre travail. Vous ruminez depuis des lustres. Vous aimeriez trouver le courage de partir et d’amener un changement. Mais rien n’y fait, vous n’arrivez pas à trancher, ni même à faire un bilan. Tout freine en vous et les années passent… Vous êtes bloqué. Vous n’êtes pas seul à vivre cette situation pénible. Or, la peur n’est qu’une conséquence émotionnelle qui découle d’autre chose. Découvrez ce qui ce cache derrière votre peur, la VRAIE raison qui vous empêche de partir et comment sortir de cette impasse, en vidéo !

Transcription

« Salut, salut ! C’est Mary Mann.

Aujourd’hui, je vais vous parler de la vraie raison qui fait que vous n’arrivez pas à quitter votre travail.

Même si votre job, vous en avez ras la casquette, que vous ne pouvez plus le voir en peinture, que vous vous ennuyez, que vous avez juste envie de partir en courant…

Et pourtant, vous y restez !

Et comme ça en fait, vous pouvez être dans ce marasme intérieur et ce questionnement éternel « je pars, je pars pas » pendant des années.

Et ça peut même durer toute une vie !

Donc la vraie raison qui fait que vous ne passez pas à l’action : qu’est-ce que c’est ?

Vous allez tout de suite me dire : c’est l’argent !

Eh bien, laissez-moi vous dire que non, ce n’est pas l’argent.

Parce qu’en fait, quand on se penche vraiment sur la question, il y a surtout en France, tout un tas de possibilités de quitter son travail.

C’est de plus en plus facile et accessible. On n’est pas pieds et poings liés comme avant.

Il y a la rupture conventionnelle qui a énormément fluidifié les départs. Et qui permet d’avoir accès aux droits au chômage qui sont quand même assez avantageux en France, qui permettent de créer un projet entrepreneurial ou de rebondir vers autre chose.

En tous cas, on n’est pas tout de suite sous les ponts !

Parce qu’en fait, c’est ça qui se passe. Vous avez peur au premier abord, vous vous dites : « Ben oui ! J’ai peur de le quitter mon travail ! Elle ne m’apprend rien Maryanne ! »

Mais en fait, pourquoi vous avez peur ?

C’est pas la vraie raison. La peur n’est qu’une émotion, c’est une conséquence, une émotion c’est une réaction émotionnelle à quelque chose qui se passe ou que vous pensez qu’il se passe.

Donc la peur, c’est juste la façon que vous avez de réagir à ce que vous pensez être la réalité.

Et la réalité, elle n’est pas dictée par un manque d’argent ou quoique ce soit. Elle dépend de :

  • votre conception de la vie et du monde
  • votre conception de vous-même
  • votre conception de vos capacités à trouver des solutions, à rebondir, à être capable d’aller vers un autre projet professionnel

Et tout ça, c’est lié à VOTRE HISTOIRE.

Le fait que vous puissiez changer de travail d’un claquement de doigt, que vous puissiez dire « Oh allez je me casse ! Hop, j’ai des crédits, et alors ? »

C’est que vous avez vraiment une confiance en la vie et une confiance dans vos capacités à rebondir.

Et c’est ça la vraie raison qui fait que vous n’y arrivez pas, que vous tournez en rond depuis des mois voire des années, à vous dire « Oh lala,  Pfff qu’est-ce que j’en ai marre ! » et au final, vous ne faites rien…

Vous n’arrivez pas à embrayer comme me l’a dit une cliente, vous n’arrivez pas à passer à l’action pour créer autre chose, et prendre des décisions importantes.

La vraie raison qui fait que vous n’y arrivez pas, ce n’est pas la PEUR mais :

  • votre conception de la vie
  • votre conception de vous-même
  • et du monde

C’est ce que vous croyez être vrai

 

Je précise mon propos

 

Si vous avez grandi dans une famille où on vous a donné confiance en vous. Où vos parents étaient des gens extrêmement fluides dans leurs décisions, qui n’avaient pas peur de l’avenir, qui étaient vraiment dans une LIBERTÉ D’ÊTRE.

Eh bien, vous avez naturellement ces comportements là. Parce qu’ils ont été un modèle, vous vous êtes imprégné de cette réalité-là.

Par contre, si vous avez vécu dans la peur, si vous avez toujours vécu avec des parents qui ont connu des galères, qui répétaient toujours que :

  • le travail – de toute façon –  c’était pas une partie de plaisir.
  • qu’on devait en baver,
  • et que c’est fait pour être pénible,
  • qu’on n’a aucun plaisir à aller au travail.

Eh bien, il y a de fortes chances pour que ce soit votre réalité aussi. Et que vous preniez cela comme acquis et comme une vérité indéboulonnable.

Donc forcément, vous allez être dans une souffrance au travail car vous allez prendre ça comme un « boulot », un boulot alimentaire.

Voilà, et que pour vous, la vie ce sera « ailleurs » que dans le travail. Malheureusement, le travail on y passe beaucoup de temps !

Et je pense que vous n’aurez pas une vie très épanouissante si vous restez dans cette croyance que le travail doit être pénible et laborieux (le terme est bien choisi).

C’est comme quand vous avez grandi dans une famille qui vous a inculqué que vous étiez nul, que de toute façon, vous n’arriveriez à rien, que vous n’aviez pas du tout d’intelligence, de capacités particulières…

Eh bien, vous allez aussi vivre dans votre petite boîte étriquée qui représente ce que vous croyez sur vous et ce que vous vous croyez capable de faire.

Donc tant que vous n’aurez pas éclaté ça. Votre réalité sera conforme à ce qu’on vous a appris ou ce que vous avez cru sur vous-même et sur le monde.

La vraie raison qui fait que vous n’arrivez pas à passer à l’action, elle est là. Que ce soit pour passer à un autre projet professionnel ou même tenter, oser quelque chose…

C’est quelque chose que j’ai vécu moi-même.

C’est grâce à un travail sur moi, alors que j’étais malheureuse dans ma carrière, dans ma vie professionnelle, que finalement à un moment donné j’ai pu changer de vie et de métier.

Alors que je me lamentais dans ma vie professionnelle. Je n’étais absolument pas à ma place !

Je sentais que rien n’allait. Que TOUT justement me poussait à changer.

Et je freinais des quatre fers parce que pour moi, c’était inconcevable de ne pas être dans la norme, de ne pas avoir un travail :

  • salarié,
  • standard,
  • stable,
  • de ne pas être comme tout le monde ! 

Tout me faisait penser que je n’étais pas à ma place. Et pourtant je voulais absolument essayer d’y rentrer !

C’est un peu comme le jeu pour enfants avec les formes et il faut les faire rentrer les bons trous, vous voyez ?

C’est une image que je prends souvent avec mes clients pour leur faire comprendre (Lol)

 Résultat de recherche d'images pour "jeu enfant cubes formes"C’est-à-dire que vous avez un rond, une étoile, un carré peu importe…  Vous avez un petit rond et un énorme carré.

Et vous essayez de le faire rentrer dedans.

 Et puis, ben ça ne rentre pas !

 Parce que ça ne peut pas !!! LOL

Donc c’était un peu ça.

 

Et il y a beaucoup de gens qui essaient malheureusement de rentrer dans un truc qui n’est absolument pas pour eux.

Et qui essaient malgré tout car « c’est comme ça », il faut y arriver, et ils ont extrêmement peur de faire autre chose…

Parce qu’en fait, dans leur conception, c’est impossible de faire autre chose et d’aller vers ce qui leur fait vraiment envie !

Bien souvent, ils mettent tout ça sous le tapis, ils l’oublient, pour ne pas souffrir  -en tous cas, ils le croient-  pour le garder en arrière plan et ne pas l’avoir trop dans la conscience.

 

Voilà, je voulais vous partager cela, car c’est véritablement votre conception, de vous, du monde, de la vie, de ce qui est possible, toutes vos croyances limitantes sur vous-même et sur le monde…

Qui vont faire qu’au final, vous n’allez pas passer à l’action pour vous reconvertir et changer de travail.

C’est uniquement ça.

 

Et puis aussi sur l’ argent.

Ce point va de paire avec votre conception du monde. Vous allez « manquer ».

Vous allez vous retrouver à la rue, dans la dèche, au secours catholique, au populaire, aux restos du cœur…

Tout ça, c’est des histoires !

Que votre MENTAL vous raconte.

 

Votre mental préfère l’immobilisme

 

Votre mental, si vous le laissez aux commandes, il va faire ce qui lui convient.

Et ce qui lui convient, c’est que rien ne bouge, que rien ne change.

Parce que votre mental, il a pour mission de vous maintenir en vie.

Depuis l’enfance, c’est son job : vous maintenir en vie, vous faire fonctionner (soutenu par le cerveau reptilien pour les fonctions vitales comme manger, dormir…), survivre, s’adapter, ne pas s’exposer au danger…

Bref, avoir une vie « plan plan », tran-quilleu (avec l’accent marseillais).

 

Ce que les Egyptiens disaient…

Alors, je suis professeur de mudras par ailleurs et en fait, il faut savoir que ces derniers viennent de l’ancienne Egypte.

Ce qui est très intéressant, c’est que les anciens Egyptiens parlaient déjà  -mais avec d’autres termes-  du mental et de l’âme. Je crois qu’ils parlaient aussi de l’esprit.

Et ils disaient bien que le rôle du mental, était de nous maintenir en vie et de nous amener à l’âge adulte.

Qu’à la naissance, notre incarnation, l’âme était là, mais en retrait.

Et une fois qu’on arrive à l’âge adulte, qu’on est sain sauf, ils disaient que le rôle de l’être humain, c’était de se rendre compte de son fonctionnement et de faire revenir son âme au premier plan.

D’honorer son âme et de la laisser le guider. Et que le mental soit relégué (bien sûr, il nous aide toujours à fonctionner au quotidien) en arrière-plan.

Et c’était ça grandir, et devenir un adulte, et un Etre qui grandit en conscience.

Et ça c’est super intéressant.

Parce que c’est exactement la leçon de la vie.

Grandir en conscience.

Et qu’on trouve le chemin de notre cœur, qu’on se connecte à notre âme, que finalement on comprenne que tout le reste, ce n’est que des histoires et des constructions mentales…

On peut faire ce qu’on se croit capable de faire.

Donc il faut pouvoir déconstruire tout ce qui n’est pas à nous, qui n’est pas la réalité que l’on croit.

Voilà, j’espère que je suis claire.

Tout ce qu’on a à faire, c’est :

  • grandir,
  • laisser notre âme nous guider
  • et se connecter à elle.

Pour cela, il faut déconstruire tous nos schémas, toutes nos constructions mentales, et ne pas laisser le Mental aux commandes.

Par ce que si vous laissez le mental aux commandes, il fera ce qui est bon pour lui !

C’est-à-dire qu’il ne bougera pas.

Le mental, ce scénariste catastrophe

 

Et il va vous projeter sur son écran de cinéma :

« Haaann Mon Dieu ! Mais si tu quittes ton travail, tu vas finir sous les ponts !! »

Direct, hein !?

Qu’on démissionne ou même en rupture conventionnelle, avec deux ans de chômage…

Mais non, non ! On ne voit pas ça !

On voit : démission  –>> sous les ponts !!!

Direct !

Ah, le meilleur scénariste de films catastrophes, c’est votre MENTAL !

Vous pouvez l’embaucher à Hollywood, y’a pas de problème.

Lui, il va vous faire des lumières, des warnings, des lumières qui clignotent, en disant : « Mon Dieu,  haaannn tu vas mouriiir là, si tu fais ça !! »

Mais le problème, c’est que vous le croyez !!

Elle est là la petite subtilité à comprendre et à voir. Voir ce jeu-là que votre votre mental vous fait et vous en dissocier.

Les histoires qu’il vous raconte. Les bêtises qu’il vous raconte. Les films d’horreur, catastrophes qu’il vous projette.

Il est là votre job : de le voir !

Et de lui dire STOP.

Pour que vous puissiez enfin, accéder à ce que vous voulez vraiment et à ce que votre cœur vous amène à faire et qu’il veut.

Du moment que vous allez arrêter ce jeu de dupe, que vous allez voir ça.

Vous allez pouvoir agir pour enlever les manettes des mains du mental.

Lui dire : « Non, non, toi tu arrêtes maintenant. Tu te tais. Ton blabla, tu te tais. Tu peux dire ce que tu veux. Mais ce n’est pas la vérité. Et je décide de ne pas te croire. Et de me faire confiance. »

Et pour arriver à faire ça, je vous invite sincèrement à bosser sur vous, pour déconstruire tout ça. Toute cette boîte à outils dans votre tête, de croyances sur vous, sur la vie, sur le monde…

Vous allez voir les choses autrement du moment que vous aurez fait ce travail.  

Moi, je vois ça tous les jours chez mes clients.

Dès qu’ils commencent à bosser sur eux. Parce qu’ils sont empêtrés dans leurs trucs et :

  • ils n’en sortent pas…
  • Ils n’arrivent pas à prendre de décision.
  • Ils fonctionnent toujours pareil

Parce qu’ils laissent leur mental leur resservir la même soupe tous les jours.

Eh bien dès qu’on commence à attaquer le noyau dur, la coque…

C’est comme un staphylocoque, le mental est très très dur et se rigidifie avec l’âge (en plus).

Et plus on attend et plus c’est costaud. Il a une armure mais du moment qu’on crée des brèches…

A un moment donné, il y a des choses qui volent en éclat.

Et après, il n’a plus autant le pouvoir.

Plus on le travaille, plus on le dépossède de ce pouvoir de nous raconter des âneries et de nous faire des projections catastrophes.

C’est la seule voie, que j’ai expérimentée pour moi et pour des clients, si vous êtes dans ce schéma de peur viscérale, d’anxiété permanente :

« Oh lala mais j’peux pas, je vais me retrouver à la rue ! C’est trop dur, je ne vais plus avoir d’argent »

Tout ça c’est du blabla. Voilà.

J’espère que ça vous a intéressé.

J’espère que j’ai été claire – Lol – car il est un peu tard – et je voulais vous faire un petit topo là-dessus.

Belle journée et à plus tard » 

 

Ainsi, nous avons tendance à oublier que notre principal ennemi, c’est nous-même. Travailler sur nous-même et nos conditionnements est le premier levier vers le changement. Notre brouhaha mental crée un brouillard qui empêche d’accéder à notre vérité. Les peurs que nous éprouvons face à tout défi ou nouveauté ne sont que le reflet de nos propres limites. Ne serait-il pas temps de les dépasser pour enfin entendre l’appel de notre âme ?

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Maryanne Manneville

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Pourquoi trouver sa mission de vie ne permet pas de trouver sa voie

Pourquoi trouver sa mission de vie ne permet pas de trouver sa voie

Mary Mann

Mission de vie, mission de vie ! Vous entendez parler de ce concept à tout bout de champ pour trouver ce que vous faites sur Terre… Mais de quoi s’agit-il vraiment ? Et puis d’abord, quel intérêt de se pencher sur ça quand on veut se reconvertir ? Serait-ce une donnée un peu fumeuse pour réorienter sa vie professionnelle ? Est-ce réellement suffisant ? Et l’âme dans tout ça ? Découvrez en vidéo ce qu’il en est et tout l’intérêt de connaître surtout sa mission d’âme, quand on aspire à trouver sa voie et sa vocation afin de retrouver du sens dans la vie.

Transcription

« Bonjour, Bonjour ! C’est Mary Mann.

Aujourd’hui, je vais vous parler de la mission de vie, de la mission d’âme.

Pour vous expliquer ce que c’est, de mon point de vue. La différence importante qu’il y a entre les deux.

Et surtout quel est l’intérêt de connaître ça ? De s’intéresser à ça quand on a un besoin de reconversion professionnelle ?

Quand on a besoin de quête de sens et de trouver sa place dans le monde.

C’est une question qu’on me pose souvent : « Quelle est la différence entre la mission de vie et la mission d’âme ? », puisque c’est vrai que c’est un peu galvaudé…

Beaucoup de gens, de coachs utilisent « mission de vie, mission de vie » mais…

Pour moi, c’est trop réducteur, et il y a besoin de comprendre les choses plus en finesse !

 

-Présentation Mary Mann-

 

La mission de vie

Bien, je vais vous parler de la mission de vie en premier.

La principale différence entre la mission de vie et d’âme, c’est que la mission de vie – telle que je la conçois dans mon approche – a une forte connotation individuelle. Ça ne veut pas dire individualiste !

Individuelle : (en gros, je résume vraiment de manière schématique) c’est ce qu’il vous faut à VOUS, dans VOTRE chemin de vie personnel et d’évolution. Le but qu’il vous faut accomplir, quelque chose où vous devez progresser.

Donc c’est véritablement un but plus individuel.

Mais ce n’est pas forcément individualiste !

Je prends un exemple au hasard. J’ai vu ça chez une cliente : elle n’avait pas fondé de foyer, de famille, et il se trouvait justement que cela faisait partie de sa mission de vie. De certainement passer à une sphère familiale, avoir des enfants. C’est quelque chose dont elle avait envie en plus, mais c’était justement une difficulté dans sa vie personnelle.

Donc il se trouve que cela faisait partie de sa mission de vie, en tant qu’individu, pour son chemin d’évolution personnelle, de passer probablement à cette étape-là.

D’où le fait que ce n’est pas forcément individualiste puisque quand vous avez des enfants, vous allez vous occuper d’autres êtres vivants. Vous allez faire des choses pour les autres.

Voilà.

La mission de vie, je la détermine par l’astrologie ésotérique principalement. Pour voir au niveau du thème natal avec quoi vous partez, quels sont vos acquis karmiques, vos challenges individuels, vos prédispositions, votre personnalité de fond… Des indications aussi déjà du domaine professionnel.

Après, en discutant avec moi, lors de mon accompagnement à la reconversion professionnelle Orientation & Sens de Vie®, il y a bien sûr tout ce que vous voulez accomplir… C’est bien d’en prendre conscience tôt.

Vous savez, le plus grand enseignant dans la vie, c’est la mort.

Alors je suis désolée de plomber l’ambiance…

Mais la mort, c’est vraiment le MAÎTRE spirituel par excellence.

J’ai rencontré quelqu’un récemment dans un stage, qui m’a dit ça : « Mais comment on fait pour « se botter le cul », pour sortir de ce « rien », de ce blocage ? ».  Il était visiblement bloqué dans une problématique d’évolution dans son métier, dans sa vie…

Et il ne pouvait pas en sortir. Il était complètement paralysé face à un changement important.

Et bon, je lui ai parlé de diverses choses, mais c’est vrai que je réponds souvent aussi : « Allez faire un tour au cimetière ».

Ça peut paraître bête. Mais je vous assure que… Allez voir au cimetière. Tant que vous n’avez pas compris intrinsèquement que…

Vous êtes des Êtres qui allez mourir

 

Vous êtes en train de mourir chaque jour ! C’est vraiment pas « Youpi la vie ! » ce que je vous dis. Mais c’est hyper fort !

Si vous prenez conscience de ça en vous : que tous les jours, c’est un jour de plus, un jour de moins.

Comme me l’avait raconté un ancien collègue quand j’étais salariée…

C’était un Espagnol. Il était allé en vacances en été et il avait croisé un vieillard sur un pas de porte…

Et à chaque fois, ils se saluaient « Ah ! Comment ça va ? »

Et à chaque fois, le vieil homme lui disait : « Un día mas, un día menos ».

 

Un jour de plus, un jour de moins

Eh bien, c’est ça.

Comprenez que le temps s’égrène et qu’à un moment donné, vous allez arriver à la fin…

Et il ne faut pas croire que cette fin va venir à 80-90 ans ! Et puis vous ne savez même pas dans quel état vous serez à 90 ans…

Mais il faut savoir que ça peut venir n’importe quand !

Comme je dis souvent : des jeunes qui se croyaient immortels, y’en a plein le cimetière.

Donc comprenez que la vie est très fragile et qu’on est des créatures éphémères à l’échelle du temps, la vie passe tellement vite, la jeunesse encore plus !

Donc si on tient à se réaliser et à accomplir quelque chose qui a réellement de la valeur à nos yeux, il faut y aller. Pour qu’à la fin, on n’ait pas de regrets. Je marche beaucoup avec ça aussi.

Qu’est-ce que vous vous direz à la fin ?

Donc la mission de vie, elle est vraiment importante pour vous, au niveau de ce que vous cherchez à accomplir à titre individuel.

La mission d’âme

Ce que je viens de vous dire est valable aussi : se confronter à la mort et tout ça… Ça donne de la perspective.

Vous savez, quand on met tout en perspective, c’est comme un tableau.

Un tableau qui est plat, qui est en une dimension, y’a aucun intérêt. Par contre, dès qu’on met des arrière-plans, des fondus…

A un moment donné, vous voyez des choses avec une autre vision.

Donc la mission d’âme, c’est la raison pour laquelle vous êtes incarné. Et pour moi, elle a une dimension collective.

La mission d’âme, c’est vraiment la sphère « large » de votre incarnation. C’est pourquoi vous vous êtes incarné, pour œuvrer à quelle cause ?

Et quel impact ça va avoir sur le monde, au service de quoi vous allez agir.

Voilà, la mission d’âme, c’est ça.

Et ça vous portera toute votre vie.

Vous avez la mission d’âme, la mission de vie qui est en dessous pour moi, puis ensuite la transcription de ça en métier, en activités professionnelles.

Vous pouvez avoir différentes activités professionnelles. Mais il faut qu’elles résonnent avec cette mission d’âme qui est en haut, qui chapeaute le tout.

C’est comme un gâteau. Vous avez la génoise, le nappage…

Eh bien, la mission d’âme, c’est le nappage, la plus belle couche, celle qui donne vraiment la touche finale au gâteau. Et ensuite vous descendez, vous avez d’autres strates et le cœur du gâteau…

Mais c’est le nappage qui va donner une harmonie et une cohérence à l’ensemble, en fait.

Et la mission d’âme, je la détermine… Déjà par intuition. En discutant aussi, vous touchez du doigt quelque chose avec moi.

Je travaille beaucoup avec les états de conscience modifiés, je vous amène dans votre propre cheminement intérieur, une introspection durant quatre mois (bilan Orientation & Sens de Vie®).

Vous touchez le cœur de vous-même.

Je vous amène là-dedans et vous touchez des trucs hyper subtils, hyper fins… Qui font que ça fait « Paf »!

Y’a quelque chose qui se passe, vous saisissez quelque chose de beau, qui est vraiment brillant.

C’est comme une étincelle d’étoile.

Le nom de lumière et les familles d’âme

Et puis parfois, ça m’arrive d’avoir le nom de lumière.

C’est encore une autre donnée.

Je n’en parle pas car justement je ne l’ai pas forcément. Je ne l’atteins pas toujours.

Mais souvent je l’ai.

Le nom de lumière, c’est votre nom d’âme.

Il peut donner une indication de la famille d’âme à laquelle vous appartenez.

Il y a plusieurs familles d’âmes. Elles ont un rôle, des tendances de fond.

Et quand on a le nom de lumière, vous avez déjà une indication forte de votre tendance.

Après, ça se sent aussi, hein…

Une famille d’âmes que je connais très bien (car j’en fait partie) ce sont les gardiens.

Donc les gardiens ont des traits généraux de personnalité, d’intérêts, de domaines qui leurs tiennent à cœur. Un profil particulier au niveau des gardiens.

Mais il y a d’autres familles. Je ne vais pas en parler là.

En tous cas, c’est une donnée très intéressante. D’avoir ce nom de lumière – quand il vient – et d’en avoir une idée.

Car ça vient compléter (pour reprendre mon image du gâteau), c’est comme une petite cerise sur le nappage.

Voilà ce que je voulais vous dire sur la mission de vie, la mission d’âme.

Bien, je pense avoir répondu à la question.

Je vous souhaite une belle journée et je vous dis à bientôt.

L’expression « mission de vie » est trop galvaudée et sa signification souvent déformée. Appréhender notre part spirituelle apporte un bien meilleur éclairage pour se repositionner professionnellement et trouver sa voie. Ensuite, couplée à la mission de vie, elle permet une compréhension bien plus large et complète de soi. Nous pourrons alors Etre en totale cohérence et exprimer notre nature profonde, trouver notre vocation au service du monde.

Nouvelle année, nouveau métier ?

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Les bonnes résolutions fleurissent à la nouvelle année. Notamment de reconversion, de faire un nouveau métier. Mais comment éviter qu’elles ne fusent puis s’évaporent tel un feu d’artifice ?

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Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

-Thérapie brève

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

Vannes FR-56 Morbihan

Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

mm[@]marymann.fr 

  • Bilan de compétences individuel Orientation & Sens de Vie® : Bilan de compétences spirituel pour reconversion professionnelle en quête de sens et alignée spirituellement (Bilan de Compétences en ligne, à distance)
VANNES - MORBIHAN - BRETAGNE - FRANCE
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