Le délicieux basculement

Le délicieux basculement

Mary Mann

ou Le jour J du réalignement

Il est souvent difficile de sauter dans l’inconnu quand un basculement s’opère. C’est vrai. Or quand on arrive finalement à le faire, on se demande « My God, mais pourquoi ne l’ai-je pas fait plus tôt ?! » Le temps que l’on peut perdre à avoir peur de vivre est sidérant… Nous perdons déjà 1/3 de notre vie à dormir alors n’en rajoutons pas ! 😉 Le plus important est de ressentir cet appel de nos tripes et de l’écouter. Laissez-moi vous conter mon jour de « basculement délicieux » sur le plan professionnel.

Allez je prends mes clics et mes clacs et je me casse !

Je me souviens de ce délicieux basculement… Le jour J.

De ce jour où j’ai dit STOP à une vie professionnelle qui ne me convenait pas. De ce jour où j’ai posé un acte fort pour moi. Pour me dire « oui ». Enfin !
Ce jour où j’ai eu l’envie très forte de savoir ce que j’avais dans les tripes pour cesser de n’être qu’une pâle copie de moi-même. De sortir du bois.

Quand ce jour arrive il est à la fois terrifiant mais excitant. On le sent venir parfois pendant des mois voire des années… On le sent nous frôler, jouer au séducteur que l’on veut attirer puis qu’on repousse au dernier instant, pris d’une panique fiévreuse, n’osant trop répondre à notre pulsion première. « Mais non, je me trompe, personne ne fait ça, c’est dangereux, on ne m’a pas appris, que vont dire les autres ? C’est pas normal ça ! etc ».

Mais il revient à la charge et petit à petit on comprend que nous le voulons au fond de nous. VRAIMENT.

Oui, nous voulons aller vers cet inconnu qui nous inquiète autant qu’il éveille notre curiosité et excitation.

Une évidence apparaît. Mais nous n’osions pas nous l’avouer.

Cela faisait trop peur. Bien souvent la liberté fait peur. Mais nous avons également peur de nous tromper, de lâcher ce travail qui paie les factures, peur du regard des autres, du jugement, de faire une « folie », de mourir oO ???… Notre mental, affublé de son scénariste catastrophe préféré, s’emballe…

Quand le doute s’efface…

C’est par là !

Mais à l’instant où on prend la décision de répondre à cet appel, on ne doute plus.

Déclic. Rubik’s cube. Les choses se mettent en place.

Bien sûr, on doute en surface, des tourbillons sont là, écumant la mer de nos émotions. C’est dans la nature humaine et ce ne sont que des émotions…

Nous sommes tout à la fois inquiets et grisés. Mais tout au fond de nous, l’océan est immobile, constant, dense et solide. Imperturbable.

Il sait notre Vérité. Nous sommes en connexion directe avec notre noyau dur, notre âme.

Et la magie opère, une sorte d’éruption se produit, une ouverture d’énergie puissante, un flot intarissable qui nous propulse vers un lendemain stimulant. Et nous savons que quels que soient les obstacles nous les franchirons, quelles que soient les difficultés nous les accepterons…

Car à l’instant même du délicieux basculement nous avons fait ce choix de nous réaligner quoiqu’il en coûte, car nous avons décidé de nous aimer avant tout, pour le meilleur et pour le pire. Même escarpé et parfois déstabilisant, ce chemin est pour la joie.

Nous disons « oui » à l’aventure de la vie, qui se réinvente sans cesse pour être toujours à sa meilleure version. La Vie qui s’adapte et change pour mieux fonctionner, rayonner et offrir le meilleur au monde.

Oh oui ! Je me souviens avec tendresse de ce jour où j’ai décidé que cette chienlit professionnelle suffisait et que j’ai décidé de faire un pas. Je ne parle pas d’écrire tout le chemin à l’avance, c’est impossible, mais de faire le premier pas tout en décidant d’une direction, d’un objectif et de laisser la vie répondre à mes choix initiaux.

Que c’est bon !

Que c’est bon d’oser dire « non » à ce qu’on ne veut plus et de dire « oui » à ce qui est bon pour nous. Que c’est bon de se sentir reprendre le pouvoir sur sa vie, d’être maître à bord. Que c’est bon de dire « oui » à la vie et d’accueillir des cadeaux de synchronicités…

Quand je repense à ce jour, je souris et je suis fière de moi.

Ecouter ce qui souffre en soi

Prendre le large et se renouveler

Un jour, j’ai décidé d’écouter ce qui souffrait à l’intérieur de moi. J’ai décidé de me former à la méthode PEAT sans trop savoir où cela allait me mener mais je sentais cet appel, cette urgence d’apprendre quelque chose pour nourrir mon âme, quelque chose d’utile et d’intéressant pour moi. Mon premier pas duquel tout a découlé…

6 mois plus tard, après un travail et un temps d’introspection intenses, je prenais mon téléphone et je demandais un rdv à mon supérieur. Le jour de l’entrevue, je lui ai annoncé que je souhaitais partir en rupture conventionnelle. Un rdv fixé rapidement, une signature et j’étais libre !

Accordé.

Soulagement. Liberté. Sourire.

« Oui » à la vie. « Oui » à moi !

 

Les semaines qui ont suivi ont été pure folie dans le bon sens du terme. Un enchaînement de formations, de stages qui ont débloqué des choses fortes en moi, des réponses à des questions, des synchronicités de folie

Résultat de recherche d'images pour "avalanche livres"C’était comme si une bibliothèque s’effondrait sur moi, telle une avalanche de connaissances et de cadeaux alors qu’au départ, je ne voulais saisir qu’UN livre, juste UN ! Ce-lui-qui-é-tait tout-en-haut-de-l’é-ta-gère… AAAAAAAaaaaaaaahhhhhhh !

J’ai même dû demander à l’univers de se calmer car cela allait trop vite (normal héhéhé, il voulait rattraper le temps perdu…). Il a levé le pied mais il m’a quand même amené les mudrâs un an plus tard afin de me faire devenir la 1ère professeur de mudrâs et mudrâ-thérapeute certifiée en France.

Aujourd’hui, quand je regarde en arrière et que je revois la femme apeurée que j’étais il y a à peine quelques années, cette femme qui a franchi tant d’obstacles, qui a construit tant de choses, qui a appris tant de connaissances, qui a connu tant de victoires sur elle-même… Cela n’a pas toujours été simple. Mais je ne regrette rien.

Oh non ! Et l’avenir me réjouit car la forme de mon activité professionnelle si atypique, évolue, s’affine, s’enrichit pour mon grand plaisir, comme un diamant brut que l’on taillerait jusqu’à en révéler le plus bel éclat et que sa forme corresponde au plus juste à ce que je suis.

« Rien ne se perd, rien ne se crée tout se transforme »- Lavoisier

J’apprends de nouveaux outils thérapeutiques, j’ai enrichi mon bilan de compétences Orientation & Sens de Vie® avec un abord encore plus spirituel grâce à l’astrologie ésotérique afin de préciser la mission d’âme et de vie.

Les choses se transforment et se mettent en place avec le temps.

Mon activité professionnelle change en fonction de ma propre évolution mais toujours autour du même axe.

Et c’est cool ! Tout change et se recrée à chaque instant, c’est ainsi que l’univers fonctionne.

Buddha a dit :

« La seule chose qui est permanente, c’est l’impermanence »- Buddha

Rien de plus vrai. Il faut juste l’accepter et surfer sur la vague de l’appel de la vie en enfermant nos peurs au placard le temps de nous jeter à l’eau.

Après, on apprend à nager ! Et que c’est vivifiant cette eau fraîche !

Vous aussi, vous pouvez décider à chaque instant de ce délicieux basculement, de mettre en route une transformation pour vous aligner. Soit par un tout petit pas, soit par un choix ou un acte.

Vous pouvez décider de faire un bilan de compétences spirituel « Orientation & Sens de Vie® » afin de mieux comprendre qui vous êtes et ce que vous faites sur Terre, si la quête de sens vous obsède.

Ou bien, si vous sentez que vous n’êtes pas dans votre pouvoir personnel, vous pouvez choisir de débuter un travail sur vous-même afin de vous libérer de vos peurs et mal-êtres car ils vous retiennent en arrière et vous empêchent d’être qui vous voulez ou d’aller vers ce que vous voulez.

Vous pouvez décider de vous faire accompagner pour mieux vivre pleinement votre vie.

 

 

La liberté d’agir pour ne plus subir vous appartient

 

Growing wings Leap of faith de Lara Fabian (Les ailes qui poussent – Saut de la foi)

As-tu déjà fait face à l’océan
Sans avoir la moindre idée
De comment nager, mais tu as quand même sauté ?

As-tu déjà embrassé un amour
En sachant que son cœur était brisé
Mais tu l’as tout de même étreint ?

Saut de la foi
Les ailes se déploient
Alors que tu tombes
Avant que tu ne heurtes le sol…

As-tu déjà erré dans le désert
Alors que les sables changeaient sans cesse
Tout en étant guidé par les vents ?

As-tu déjà parlé une langue
Que tu n’as jamais entendue auparavant
Mais qui t’es familière et que tu comprends malgré tout ?

Saut de la foi
Les ailes se déploient
Alors que tu tombes
Avant que tu ne heurtes le sol…

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

lire plus

 


 

Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

-Thérapie brève

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

Vannes FR-56 Morbihan

Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

mm[@]marymann.fr 

  • Bilan de compétences individuel Orientation & Sens de Vie® : Bilan de compétences spirituel pour reconversion professionnelle en quête de sens et alignée spirituellement (Bilan de Compétences en ligne, à distance)
VANNES - MORBIHAN - BRETAGNE - FRANCE
  PAR SKYPE & ZOOM

Comment trouver une bonne idée de business ?

Comment trouver une bonne idée de business ?

Mary Mann

Et l’inscrire dans le temps

Quand on se morfond dans son bureau, qu’on a des ailes qui nous poussent dans le dos, qu’on veut s’évader de notre cage à Hamster où on meurt à petit feu, on pense souvent « Vite, vite, il faut que je trouve une idée business bien juteuse pour vivre les doigts de pieds en éventail à l’autre bout du monde et si possible sans rien faire ! » Et on se jette sur les pdf des bonnes idées business bankable dispensés partout. Mais… Etes-vous fait pour l’entrepreneuriat ? C’est quoi une idée de business qui marche ? Et sur quoi vous baser pour inscrire votre activité dans le temps ?

Elles fleurissent, elles envahissent la toile, les réseaux sociaux… Ces fameuses bonnes idées de business où l’argent va pleuvoir illico tout en restant dans sa piscine à Bali… Non mais sérieux ? Vous avez essayé de travailler avec votre portable au bord de la piscine avec les mains tout droit sorties de l’eau ? Le meilleur moyen de le foutre en l’air !

1-Avez-vous vraiment l’âme d’un entrepreneur opportuniste prêt à tout ?

Et pis d’abord… C’est bien la première question à vous poser.

Etes-vous bien celui qu’on essaie de vous vendre sur ces publicités racoleuses ?

Celui qu’on vient chercher avec les ficelles les plus vénales en vous faisant rêver à une vie de rentier au commerce tout automatisé sur le web qui bosse maxi 2 h par jour et qui fait fortune du jour au lendemain ? Oui ?

Ah, mince, on ne vous a pas dit que le Père Noël n’existait pas ? Ou que c’était ennuyeux à la longue ?

Ou au contraire, avez-vous envie d’être un entrepreneur qui fait une vraie différence dans le monde ?

Avez-vous envie d’avoir une activité qui résonne avec votre vie, votre âme ?

Vous avez répondu oui à cette dernière question ? Bien, alors à présent, il faut déjà vous demander si vous avez les ressources et les qualités pour être un bon entrepreneur. Et ça, vous pouvez en avoir une très bonne idée grâce à un bilan Orientation & Sens de Vie®.

Ben oui ! Ne demandez pas à un cheval de voler au dessus d’un ravin, il se plantera c’est sûr à moins qu’il s’appelle Pégase.

Notamment, dans les qualités nécessaires, il faut être très,très, très, très (euh?… L’ai-je dit assez ?) persévérant, pour continuer d’y croire, pour rebondir, être créatif…

Grâce à Orientation & Sens de Vie® vous pourrez aussi comprendre ce qui vous pousse à agir dans la vie et vous porte à vous engager pour telle ou telle cause, activité… Et donc déjà esquisser les contours de votre business !

2-Qu’est-ce qui fait un bon business ?

S’il y a un marché, c’est bien. On peut aussi opter pour une franchise qui permet de ne pas sauter dans l’aventure tout seul et en s’appropriant un concept qui a déjà fait ses preuves.

Mais parfois, on crée son marché car on a une bonne idée en pressentant les prémices d’un changement qui se balade dans l’air… Autrement dit, on a du flair…

D’ailleurs, quand on voyage, cela arrive souvent. Je me rappelle avoir vu émerger plusieurs trucs à l’étranger bien avant que ça n’arrive en France, comme par exemple la folie des Smoothies en 2000 au Portugal… ou encore comme les colis beauté auxquels on s’abonne : la fondatrice de Birchbox en a eu l’idée en suivant des blogueuses des USA.

Pensez aussi à faire une veille du marché pour repérer les idées qui ont du succès et les grandes tendances internationales.

Si vous projetez de vendre sur internet par exemple, de créer un site en ligne, je vous donne un super conseil : allez dans les foires professionnelles, les salons internationaux pour repérer les nouveaux produits, les nouveaux concepts, vous inspirer…

Observez les choses en vous posant des questions telles que :

  • Y a-t-il trop de concurrence ?
  • Feriez-vous les choses précisément comme cela existe déjà ?
  • Est-ce que vous pourriez perfectionner un concept existant ?

Cela vaut le coup de s’interroger.

Mais au-delà de cette veille, une bonne idée de business, c’est premièrement une idée qui rencontrera vos centres d’intérêts et qui vous permettra de vivre en accord avec vos valeurs, qui sera alignée avec votre âme afin que vous ayez envie de persister dans cette voie.

Puis, elle devra être rentable et répondre à un besoin existant ou émergent !

En dernier lieu, il ne faut pas oublier la bonne fortune et surtout l’intuition.

Car même si on ne peut pas tout maîtriser, on peut néanmoins cultiver la chance et les synchronicités.

Oui !

Se mettre à la méditation et pleine conscience, (qui offre des moments euréka !  en ouvrant les portes de notre subconscient) permet de saisir plus aisément les opportunités, faire des choix avisés en étant centré, de sentir le sens du vent ou d’avoir des réponses intuitives…

Pas négligeable tout de même ?

 

3-La vraie bonne idée de business qui marche

Des idées business, il y en a plein. Ce qu’il faut, c’est trouver celle qui sera une extension parfaite de votre personnalité, qui collera à votre mission de vie. Et vous permettra de ne faire qu’UN dans votre vie et dans votre business. Car c’est comme ça qu’on est heureux ! Quand on est aligné professionnellement avec son âme et uni en soi, que nos pieds avancent dans la même direction au service d’un projet qui nous porte !

Avez-vous les qualités propres à telle ou telle activité ? Non ? Alors laissez tomber, même si elle figure dans le Top 10 de Mister Bidule qui vous le jure sur la tête de sa mère « ça crache le pognon ! » en tenant son cocktail dans la main et en arborant un sourire dentifrice sous les tropiques.

Est-ce que ce domaine d’activité vous intéresse ? Non ? Alors, oubliez-le. Car passé l’effet Lune de miel euphorisant, vous finirez comme la mission challenger : à peine décollé, aussitôt crashé. En effet, dans un business, il faut durer et si on n’y trouve aucun intérêt, autant ne pas commencer !

Je repense à ce créateur de start-up dont j’avais lu l’histoire sur son blog. Tellement limpide… Il avait créé une « appli » (comme tout bon diplômé de grande école de commerce qui se respecte) en vue de monter un business lucratif et de surfer sur le marché des smartphones…

Résultat : il s’était retrouvé à créer une appli dont tout le monde se fichait, à commencer par lui !

Il faisait des conférences pour faire découvrir son « appli révolutionnaire » avec la force de conviction d’un lézard endormi au soleil. Mais il ne s’est rendu compte de tout ça… qu’au bout de 1 ou 2 ans après avoir fait un burn-out en bonne et due forme… Et aujourd’hui, il met en garde les aspirants « appli » ou « business » juste dans un but lucratif.

Il a raison : comment voulez-vous que les clients pensent que votre produit est le meilleur, le plus efficace et le plus beau du marché si vous n’y croyez pas vous-même ? S’il n’a pas d’âme ?!

 

« Si vous êtes convaincu, vous serez convaincant ! »

Une bonne idée de business, elle vient de votre cœur. Elle parle de vous car elle diffuse votre histoire entre les lignes, votre vision de la vie, votre essence. Elle répond fréquemment à un besoin que vous avez souvent côtoyé dans votre vie. Sans cela, il n’y a pas vraiment d’âme et vous laisserez vite tomber…

Se lancer dans un business juste parce qu’un autre y a réussit ne garantit absolument pas que vous réussirez aussi ! Il vaut mieux croire un minimum à ce que l’on fait pour non seulement être convaincant mais surtout pour durer !

Suivez également le bon conseil de Matthieu Ricard : « Avant de faire quelque chose je me demande toujours si c’est utile aux autres. Si la réponse est non, je ne le fais pas. »

Pour marcher, un business doit faire écho à votre histoire, avoir une âme

Et n’oubliez pas : La différence entre une idée qui a réussi et une idée qui a échoué, c’est la persévérance.

C’est grâce à la persévérance qu’on améliore une idée en se relevant de ses échecs, et qu’on tient dans le temps quand d’autres abandonnent !

Ainsi, trouver une bonne idée de business dans un marché de plus en plus concurrentiel ne parait pas évident de prime abord. Néanmoins, il est important de vous mettre en action, d’ouvrir votre esprit vers le monde extérieur pour sentir l’air du temps mais aussi de vous reconnecter profondément à votre âme. Cela vous donnera déjà des premières clés pour créer une activité porteuse et qui vous ressemble. En effet, l’idée de business faite pour vous sera forcément une rencontre entre ces deux sphères. Créer une activité solide demande beaucoup d’énergie et de volonté. Mais si vous êtes objectif, que vous écoutez votre cœur, que vous vous mettez au service du monde et que vous vous en donnez les moyens, ce que vous créerez sera beau et en vaudra la peine.

 

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

lire plus

 


 

Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

-Thérapie brève

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

Vannes FR-56 Morbihan

Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

mm[@]marymann.fr 

  • Bilan de compétences individuel Orientation & Sens de Vie® : Bilan de compétences spirituel pour reconversion professionnelle en quête de sens et alignée spirituellement (Bilan de Compétences en ligne, à distance)
VANNES - MORBIHAN - BRETAGNE - FRANCE
  PAR SKYPE & ZOOM

Quel métier ? Et si le problème c’était de choisir ?

Quel métier ? Et si le problème c’était de choisir ?

Mary Mann

Que faire ou ne pas faire : that is the question !

Vous ne savez pas quel métier choisir ? Tiraillé par de multiples intérêts et face au schéma d’hyperspécialisation du marché du travail, vous vous retrouvez face à un dilemme… Le choix du salariat ou de l’indépendance vous interpelle peut-être aussi, alors que le salariat prévaut et que l’entrepreneuriat est souvent décrié. Mais que choisir ? Et faut-il choisir ? Avoir de multiples intérêts est-il un problème inconciliable avec le monde professionnel ? Le salariat a-t-il toujours été la norme ? Voyons cela en détails…

Si vous n’êtes pas sûr de vouloir faire le même job ou d’être salarié pour le reste de votre vie, rassurez-vous, vous n’êtes pas seul !

À l’occasion d’un discours illuminant, l’écrivain et artiste Emilie Wapnick décrit le type de personnes qu’elle appelle « multi-potentialistes » : ceux qui exploitent toute une palette d’intérêts et de métiers pendant leur vie, et qui ne veulent surtout pas se limiter !

En êtes-vous un ?

Pour en avoir une idée, regardez cette vidéo. Pour choisir la langue du sous-titrage : cliquer sur la bulle rouge avec les 3 petits points qui se trouve en bas à droite de la vidéo.

Pourquoi choisir au fait ?

Selon une étude réalisée pour le salon des microentreprises (SME), en 2016, en France, 16 % des actifs entre 18 et 65 ans étaient des slasheurs, des travailleurs qui pratiquaient plusieurs activités en même temps.

Parmi eux, 77 % exerçaient leur deuxième métier dans un secteur complètement différent.

Est-ce de la dilettante ? Est-ce une obligation économique ? Ou plutôt une sorte de pied de nez aux codes éculés qui veulent que l’on se spécialise dans un seul métier pendant toute une existence ?

À la Renaissance, ceux qui cumulaient plusieurs expertises forçaient l’admiration et étaient souvent à l’origine de grandes avancées intellectuelles. On les appelait polymathes. Parmi eux, se trouvaient Descartes, Copernic, Léonard de Vinci ou encore Michel Ange…

Mais qu’en est-il de nos jours ? Les polymathes du 21e siècle sont-ils aussi encensés que leurs aînés ? Ou au contraire, subissent-ils des blocages qui les empêchent de slasher comme ils veulent ?

 

Quel métier faire dans la vie ?

Dans son discours, Emilie Wapnick nous rappelle la fameuse question qu’on nous posait à tout bout de champ dès le plus jeune âge :

« Qu’est-ce que tu veux faire quand tu seras grand ? ».

Hélas, cette question source de tant d’anxiété, a coupé les ailes à plus d’un rêveur.

Elle sous-entendrait qu’on devrait se résigner à ne choisir qu’un seul métier à VIE. C’est paralysant lorsqu’on a envie par exemple d’être à la fois pompier, pilote d’hélicoptère et vétérinaire…

À l’âge adulte, une fois les présentations faites, cette question devient :

« Qu’est-ce que tu fais dans la vie ? ».

Idem, cette tournure conduit à penser que seul un métier nous définit et qu’on ne peut en exercer qu’un seul dans la vie.

Pire.

Qu’il n’est pas normal de papillonner ou de vouloir changer de voie professionnelle ! On ressent alors la même angoisse que quand on était enfant. Et on se sent enfermé dans une boîte avec une étiquette sur le front.

Mais depuis quand un individu se réduit-il à une étiquette professionnelle alors qu’il possède plusieurs facettes et que sa curiosité intellectuelle le pousse à s’intéresser à de multiples sujets et activités, qu’ils soient aux antipodes ou complémentaires ?

Vous pouvez aimer et maîtriser plusieurs disciplines.

Mus par l’hyperactivité, certains polymathes sont des touche-à-tout invétérés. Ils exercent ces activités séparément pour éviter la routine.

Mais la plupart sont habités par une quête existentielle. Elle les pousse à s’intéresser à de nombreux sujets connexes pour trouver des réponses ou pour parfaire leur savoir-faire en l’abordant sous toutes les coutures.

Cette compréhension de but suprême est essentielle pour saisir le moteur de leur action. Car qu’on soit polymathe ou pas, ce qui compte pour être heureux professionnellement, c’est de comprendre sa motivation ultime afin de rester cohérent dans tout ce qu’on entreprend.

L’Homme de Vitruve, parmi les notes de Léonard de Vinci (fin du XVe siècle)

Léonard de Vinci par exemple, était boulimique de connaissances. Car le but qu’il poursuivait et ce qui sous-tendait toutes ses actions était de percer le principe de la Vie, et la loi à la fois de la nature et de l’univers qui régissait tout le vivant. De même, Descartes a poursuivi la Vérité et voulait révéler une science universelle. Aristote semblait avoir la même quête que De Vinci. Ces hommes possédaient de multiples compétences au service d’un but supérieur.

Aujourd’hui, on médiatise surtout des polymathes dans les arts : une personne qui est à la fois acteur, metteur en scène, scénariste et auteur par exemple.

Il en existe aussi dans les milieux scientifiques, comme M. Bobola : d’abord Docteur en Physique & Chimie, puis Biologiste, Psychanalyste, Anthropologue… Il explique que cette boulimie de connaissances était motivée par un besoin de comprendre la nature humaine dans tous ses aspects.

Il faut bien reconnaître qu’avoir un tel spectre d’intérêts stimule la créativité !

Mais la difficulté pour ces surdoués est qu’ils sont souvent des esprits libres. Ils remettent en cause des dogmes et inventent de nouvelles façons de faire. Ce qui ne fait pas toujours bon ménage au sein d’une entreprise et attire les jalousies. Ils ne trouvent donc généralement leur salut qu’en quittant le salariat.

 

Salariat ou entrepreneuriat ?

Le salariat : une norme ? Pas dans le passé…

Historiquement parlant, le salariat n’a pas toujours été la norme et son hégémonie est très récente.

Voyons d’abord l’origine du mot salariat : « ration de sel de soldat », « personne à la solde ou à gage », « personne engagée qui renonce provisoirement à sa liberté pour satisfaire une mission ».

Au XIXe siècle, le salariat était connoté péjorativement, on parlait même d’« indigne salariat » !

Ce n’est qu’à partir de 1890 que le droit du travail a progressé et que l’expression contrat de travail est apparue en 1901.

Avant, les métiers « dignes » des gens de métier (professions libérales, hommes de loi, médecins, charpentiers…) étaient régis par des corporations tandis que les gens de peine (journaliers, domestiques, manœuvres) n’avaient aucun statut ni protection.

Les premiers salariés de l’histoire n’avaient donc ni métier ni qualification. Au XIXe siècle, les ouvriers travaillaient dans des conditions déplorables, six jours par semaine et entre 12 et 15 heures par jour. Ils étaient néanmoins très peu payés.

Leurs lieux de travail n’étaient pas sécurisés et il y avait toujours des accidents. Olivier Marchand explique tout ceci avec une perspective historique dans son ouvrage « Salariat et non-salariat ».

Jusqu’au XIXe siècle, les salariés représentaient une classe minoritaire, souvent misérable et avec un statut très incertain : les gens louaient leurs services ponctuellement et les ancêtres des intérimaires s’appelaient journaliers (on louait leurs services à la journée.).

Pour beaucoup, les revenus irréguliers étaient une misère et permettaient tout juste de subsister, s’approchant plutôt de la corvée féodale. Au début du XIXe siècle, la France était d’ailleurs un pays majoritairement rural où artisans, paysans et petits commerçants formaient le gros de la population active.

En guise d’illustration, en 1851, sur l’ensemble des actifs, les salariés représentaient 48,3 % contre 89,2 % en 1997 ! C’est avec la révolution industrielle que le salariat a pris son essor notamment poussé par un besoin important d’ouvriers, et le statut a fini de se généraliser après la seconde guerre mondiale.

 

… et le salariat ne sera probablement plus la norme demain !

Or, l’avez-vous remarqué ? Le monde du travail est en pleine mutation.

laptop-900646_1920Au début du XXe siècle, la révolution industrielle a transformé les hommes en machines mono tâche et a conduit à l’hyperspécialisation.

Mais la révolution numérique et la complexité du monde moderne exigent une plus grande polyvalence, ce qui incite à nouveau à développer des connaissances généralistes.

Enfin, le chômage de masse et le désenchantement du monde professionnel ont finalement poussé nombre de travailleurs à étendre leur champ de compétences, voire à changer de métier. Et dans certains cas, plusieurs fois !

Forts de ces savoir-faire, beaucoup franchissent le pas de l’entrepreneuriat.

Aujourd’hui, les analyses le confirment : une révolution est en marche et le monde du travail de demain ne sera plus le même.

Le travail indépendant et l’entrepreneuriat progressent déjà et ont un bel avenir devant eux (surtout chez la génération Z pour qui la hiérarchie pyramidale ne résonne plus). Il y aura de plus en plus de travailleurs indépendants répondant à des tâches isolées et le travail sera lui aussi multiple et changeant.

D’où l’idée de ne pas mettre ses œufs dans le même panier en devenant slasher.

D’autre part, l’avenir appartiendra aux créatifs, aux artistes, car les tâches de production de masse, logiques ou physiques, seront de plus en plus effectuées par les robots. Or, jusqu’à preuve du contraire, les robots ne pourront jamais imaginer ou éprouver comme des humains.

Dernier point, je pense sincèrement qu’il va y avoir un retour à la terre et à une production locale. C’est déjà en marche (fermes d’avenir, boom de l’artisanat…) et cela est souhaitable éthiquement et écologiquement parlant ! 🙂

Alors pourquoi pas entrepreneur ?

Mais oui, après tout ?

Si vous ne trouvez pas votre place dans le salariat, pourquoi ne pas inventer votre emploi ou une nouvelle forme de travail, celle qui vous correspond et qui vous permettrait de rester pleinement vous-même ?

entrepreneur-1103719_1280Dans ce contexte économique qui impose toujours plus de « souplesse » et d’abus en tout genre, mais de moins en moins de rémunération ou de place pour les jeunes, pourquoi devriez-vous choisir une seule voie ?

Pourquoi ne pourriez-vous pas exprimer tout ce que vous êtes au travers de plusieurs talents, de manière isolée ou sous forme de synergie pour créer alors un service original et innovant ?

Et devenir votre propre patron !  Demain tous patrons ? Chiche !

C’est ainsi que Jacques Attali, dans son livre « Devenir Soi », voit la société et le monde du travail de demain : « N’attendez plus rien des dirigeants et créez votre activité ».

C’est également ainsi que Satish Kumar, auteur de « Tu es donc je suis », encourage ses étudiants chaque fois qu’ils lui demandent son avis à propos d’un choix de carrière : « Create your own business ! » leur répond-il.

L’économiste Jean-Marc Daniel, professeur à l’école de commerce ESCP Europe, confie que dans 50 ans, 50 % des travailleurs seront indépendants et qu’à l’avenir, il sera plus facile de trouver un client qu’un emploi !

Pascal Terrasse, Député de l’Ardèche, n’en pense pas moins. Interviewé en 2016, il mentionnait que le concept du travail avait bien changé depuis les Trente Glorieuses. En effet, la génération précédente (qui a connu un marché de l’emploi fluide) visait un « emploi à vie » dans une même entreprise. Tandis que celle des années 80 se préoccupait déjà de flexibilité et d’adaptabilité, afin de convenir à plusieurs employeurs et de faire face aux aléas de la vie.

Quant aux générations suivantes, selon lui, leurs aspirations ont sensiblement évolué.

Il déclarait : « La génération actuelle est plus en quête de sens, s’imagine plus indépendante, loin du salariat traditionnel, et se projette dans le concept du self-emploi […]

Le système économique n’érige désormais plus le salariat comme la norme et de nouvelles formes d’emplois apparaissent : auto-entrepreneurs, «crowdsourcing» rémunéré, indépendants, «slashers». Non seulement le mythe de l’entrepreneur – sorti de son garage – se démocratise dans la société, mais la nouvelle génération aspire à créer de la valeur différemment : social et solidaire, collaboratif, coopératif».

Une nouvelle relation au travail et de nouvelles formes d’emplois font donc leur apparition.

 

Nouvelle époque, nouvelle génération, nouvelles envies !

C’est vraiment un mouvement de fond…

quote-791953_1920Comme le dit Axelle Tessandier (manager faisant partie de la génération Y) lors d’une conférence Vitaelia 2015 : « L’entreprise pour ma génération ne fait plus rêver […]

Regardez autour de vous. Il y a un mouvement actuel “Do it yourself” (“Faites-le vous-même” : créez votre job). En fait, je pense qu’à l’avenir, il faudra créer son travail, et même le créer en entreprise quand vous êtes malheureux du cadre qu’on vous a donné : sortez du cadre et prouvez qu’il y a autre chose à faire […] J’ai des amis qui sont très heureux en entreprise, mais qui ont créé leur “cadre” à côté. L’entrepreneuriat n’est pas un rêve ni une liberté et il faut gérer l’incertain, donc ce n’est pas fait pour tout le monde. Il faut être prêt, être obsédé par un sens de liberté pour devenir entrepreneur ».

Aujourd’hui en France, le statut d’autoentrepreneur a changé le rapport à la création d’entreprise. Il y associe la notion de liberté, mais surtout de légèreté.

Alors, pourquoi ne pas essayer quelque chose qui vous ressemble ? Observez le monde, ce qui vous interpelle, ce qui vous attire, là où vous excellez, les besoins qui émergent et vous aurez peut-être une idée géniale !

Et comme le dit Emilie Wapnick, c’est souvent à l’intersection de deux univers apparemment étrangers que se créent parfois, de nouveaux concepts surprenants et intéressants.

Pour des idées inspirantes, regardez plutôt ici : https://www.konbini.com/fr/inspiration-2/ces-jeunes-qui-reinventent-leur-job/

Pourquoi pas déjà pendant les études ?

Créer son entreprise tout en poursuivant ses études est une vraie chance. Vous avez là l’occasion de développer votre projet et de faire l’apprentissage de l’indépendance dans un environnement sécurisé.

computer-1185626_1280Lancé à cet effet en 2014, le statut national d’étudiant entrepreneur (SNEE) est malheureusement peu connu et n’a été adopté que par un petit nombre d’étudiants (en savoir plus sur Le Monde Campus).

Principales qualités nécessaires pour devenir entrepreneur : être combatif, déterminé et optimiste. Mais il faut aussi ne pas avoir de problème avec l’argent !

Cet état d’esprit est indispensable pour mener de front cursus académique et responsabilités inhérentes à la gestion d’une start-up. Pourtant apprécié, le dispositif manque de visibilité : 4 étudiants sur 10 disent n’en avoir jamais entendu parler. Mais dès qu’ils en ont connaissance, plus de 30 % sont intéressés ! (Pour plus d’infos, voir mon onglet des liens utiles).

Si vous avez moins de 26 ans et que vous êtes étudiant porteur de projets et/ou entrepreneur, vous pouvez tenter votre chance pour gagner jusqu’à 10 000 € auprès de Innovons ensemble – Moovjee.

Pour les moins de 23 ans, si vous parlez anglais couramment et que vous vouliez arrêter vos études pour vous dédier corps et âme à votre projet de création d’entreprise, vous pouvez postuler à la fondation Thiel pour une bourse de 100 000 $ !

Ainsi, vous avez pu constater qu’avoir plusieurs centres d’intérêt professionnels n’était pas une tare et pouvait au contraire devenir un atout voire une spécificité. À condition de l’assumer. Vous pouvez choisir de rester dans le salariat et construire autre chose en dehors. Mais vous pouvez tout aussi bien opter pour l’entrepreneuriat exclusivement si vous sortez trop du cadre et que le monde de l’entreprise vous étouffe. Quoiqu’il en soit, que vous choisissiez le salariat ou l’entrepreneuriat, se décider pour un métier et pour sa forme d’exercice n’est jamais simple. C’est pourquoi il est toujours mieux de se faire aider pour trouver sa place et son axe de vie en menant une réflexion aboutie sur qui vous êtes et sur vos aspirations. Cela vous permettra d’articuler vos dons et vos compétences autour d’un métier ou d’activités qui prendront alors forme dans un profond alignement.

 

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

lire plus

 


 

Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

-Thérapie brève

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

Vannes FR-56 Morbihan

Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

mm[@]marymann.fr 

  • Bilan de compétences individuel Orientation & Sens de Vie® : Bilan de compétences spirituel pour reconversion professionnelle en quête de sens et alignée spirituellement (Bilan de Compétences en ligne, à distance)
VANNES - MORBIHAN - BRETAGNE - FRANCE
  PAR SKYPE & ZOOM

Réinitialiser le mot de passe
Veuillez entrer votre email. Vous allez recevoir votre nouveau mot de passe par email.