Mal être au travail et Reconversion : et si la vérité était ailleurs ?

Mal être au travail et Reconversion : et si la vérité était ailleurs ?

Mary Mann

Au-delà du Boulot, les maux

Souvent, la reconversion professionnelle ou changer d’emploi semblent être une réponse évidente au mal-être au travail. Pourtant, plongeons ensemble dans cette vérité souvent occultée : le véritable malaise peut se nicher bien au-delà du bureau. Explorons les origines profondes du mal-être et les clés pour un changement de vie authentique.

Il est temps de dévoiler une autre réalité : la cause du malaise n’est pas toujours professionnelle, mais souvent personnelle.

T’es pas bien au boulot, tout te saoule… Et tu te dis que ton problème c’est ton JOB ?

Mais tu as peut-être oublié un truc !

C’est qu’AVANT toute chose : c’est peut être TA vie actuelle dans l’ensemble qui te saoule.

Et pas forcément QUE ton job.

Vrai ou faux ? 

reconversion : le déni sur les origines du mal-être

Prends 2 secondes… Sois honnête avec toi même.

Est-ce qu’à part le boulot, tout roule ?

-Oui ? Ok !

Poursuis quand même ta lecture, tu vas comprendre pourquoi.

-Non ? Y’a quelque chose qui cloche ?… 

Déni Extérieur – Blâmer le Travail plutôt que Sa vie et ses choix

 

Il arrive que la personne en quête de reconversion se retrouve dans le déni, blâmant le travail pour son mal-être.

Or, la clé de son mal-être se cache parfois ailleurs, comme l’a découvert Valérie (prénom changé).

En se focalisant sur son emploi, elle ignorait les véritables racines de son mal-être qui résidaient dans sa vie privée.

Quand elle est venue à moi, elle était malheureuse et était focus sur : « le problème c’est mon boulot » ?

Au bout de quelques séances de thérapie : elle a compris que le problème était sa vie privée.
Son mari lui sortait par les trous de nez !

On a libéré sa peur de l’abandon (être seule).
De bons gros traumatismes de l’enfance…

 

Et au bout de quelques mois, elle a quitté son mari sans changer de carrière.
Grand bien lui en a fait ! Une 2ème jeunesse !

Accepter que la source du problème puisse être ailleurs que dans la carrière actuelle est difficile à s’avouer.

En effet, c’est une forme de fuite face à sa responsabilité de maintenir les choses telles qu’elles sont.

Mais cet aveu est pourtant nécessaire pour un changement de vie authentique.

 

Déni Intérieur – Les Limites de l’Identité Ancienne

 

Le déni intérieur est tout aussi puissant.

Les peurs, les croyances héritées de l’enfance, les schémas limitants : autant d’entraves à un changement de vie salvateur.

Sophie (prénom changé), en proie au burn-out, pensait que changer de travail ou opter pour une reconversion résoudrait tout !

Cependant, les séances de thérapie ont révélé que son incapacité à dire NON était profondément ancrée dans une enfance maltraitée.

Son père violent l’épuisait en tâches diverses et variées. Se positionner face à l’autorité lui était donc très difficile. Tout comme ne pas s’épuiser au travail.

Libérer ses peurs, briser les chaînes de l’ancienne identité, voilà les prémisses pour embrasser son plein potentiel.

Après quelques séances de thérapie, elle a pu dire NON, imposer ses conditions à son nouvel employeur et elle est restée dans son métier.

En conclusion, ne pas traiter tes émotions t’aveugle et te bloque.

Tu ne vois pas le VRAI problème et donc la bonne solution. Car le travail n’est pas toujours le coupable…

Et si tu ne traites pas ta Peur, tu n’avanceras pas quelle que soit ta situation et la solution adaptée pour toi.

Car comme le montre la courbe du changement, Le seul filet qui te retient au final pour changer de vie : c’est la PEUR.

Et la peur, c’est juste une histoire dans ta tête.

Il suffit de la dégommer pour que tu puisses écrire une autre fin à ton histoire.

Et embrasser le changement qui t’appelle !

En te faisant ce cadeau de libération émotionnelle, tu mettras le doigt sur le VRAI problème et ton Vrai besoin derrière ton mal-être…

Et tu passeras ENFIN à l’acte pour changer de vie !

L’épanouissement professionnel est un voyage profond, bien au-delà d’un simple changement de carrière. En révélant ces vérités cachées, nous offrons à chacun la chance de comprendre, de grandir et de se réinventer. Libérer les peurs, briser les chaînes du passé, voilà les étapes cruciales vers un alignement authentique et épanouissant.

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Maryanne Manneville

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Reconversion : comprendre les 7 phases de deuil de son métier

Reconversion : comprendre les 7 phases de deuil de son métier

Mary Mann

Envie de changer de métier ?

Entendez-vous cette voix intérieure murmurer qu’il est temps de changer de cap ? Malheureusement, nous faisons souvent la sourde oreille avant de nous rendre à l’évidence… Et C’est tout à fait compréhensible. Car le chemin vers la reconversion est un deuil. Avant d’aller vers une nouvelle carrière qui peut se révéler passionnante et gratifiante, il est essentiel de faire le deuil de son métier. Afin de savoir où vous en êtes, laissez-moi vous aider à comprendre ce processus menant à la reconversion.

Comment faire le deuil de son métier ?

Même si nous vivons 4 changements de carrière en moyenne dans notre vie, aller vers le changement n’est pas chose facile. A moins d’un licenciement, nous mettons souvent du temps pour accepter une nouvelle réalité professionnelle. Pour ouvrir les yeux sur notre mal-être au travail.

En effet, comme tout changement volontaire ou subi, avant de se reconvertir nous vivons une « perte ». Et qui dit perte, dit deuil. Il y a 7 étapes.

La durée passée dans chacune de ces phases diffère d’une personne à l’autre.

Il est possible de contourner le déni ou de demeurer dans la peur pendant une période prolongée.

Certains individus restent même bloqués dans le déni indéfiniment en affirmant, par exemple, être toujours heureux dans leur travail.

Le refus de confronter la réalité les empêche d’aller à la phase suivante.

Pour certains, les phases défilent avec rapidité pour arriver dans la phase montante de la courbe. 

D’autres peuvent faire des allers-retours entre des phases.

 

courbe de deuil de son métier

Voici les 7 phases de ce processus de deuil de son métier :

  • Etape 1 : le choc
  • Etape 2 : le déni
  • Etape 3 : la colère
  • Etape 4 : la peur
  • Etape 5 : la tristesse
  • Etape 6 : l’acceptation / le pardon
  • Etape 7 : la reconversion / le renouveau

Etape 1 : Le choc

Au commencement, c’est le choc. On réalise que notre métier actuel ne nous satisfait plus. La prise de conscience peut venir progressivement ou suite à un accident de la vie.

On réalise qu’on est face à un deuil : le deuil de « la vie d’avant », le deuil de son métier.

« je m’ennuie, ce que je fais n’a plus de sens »

 

Etape 2 : Le déni

Puis arrive le déni. Vous n’y croyez pas : ce n’est pas possible. Cette lubie va passer !

La nécessité d’un changement est occultée en espérant que votre mal-être au travail est temporaire et que vos problèmes s’amélioreront tout seul. Mais rien ne change…

Cette phase peut durer longtemps !

Tant que vous ne prenez pas le temps de vous écouter et d’être honnête avec vous.

On s’accroche à tout ce qu’on peut pour freiner le changement. On essaie de tirer l’élastique !

Des compromis sont tentés pour éviter un changement de métier.

A ce moment-là, il n’est pas rare de se dire :

  • « j’ai un excellent poste », « j’ai la sécurité de l’emploi »
  • ou « j’ai des responsabilités familiales »,
  • « non, mais ça va je suis quand même bien dans mon travail »
  • « Je n’ai pas à me plaindre », « y’a pire »

 

Etape 3 : La colère

Vous êtes au cœur de votre frustration.

La colère surgit à ce moment-là. On est en colère envers soi-même, l’employeur, les collègues ou la situation…

« C’est mon responsable qui est nul ! »

Mais tel l’œil de Sauron, on cherche surtout le coupable de notre mal-être à l’extérieur.

Car on lutte pour repousser la prise de décision et prendre notre responsabilité d’agir.

Et pendant ce temps-là, rien ne change…

Pourtant notre colère nous lance un signal d’alarme.

 

Etape 4 : La peur

 

C’est l’étape où l’on se replie sur soi. Vous commencez à avoir peur de changer de métier :

« et si le problème venait de moi ? Pas envie de me tromper de voie à nouveau ?

Est-ce que je vais réussir ?

Est-ce que je vais finir sous les ponts ?

Je sais ce que je quitte mais pas ce que je vais retrouver… etc »

Dans cette phase, vous prenez conscience qu’il va falloir faire des efforts et des sacrifices pour vous reconvertir dans un métier :

  • reprendre des études,
  • peut-être déménager,
  • renoncer à certains plaisirs que votre job actuel vous permet d’assouvir.

Toutes les peurs surgissent. Vos croyances limitantes s’y ajoutent.

Il est recommandé de se faire accompagner par un thérapeute pour sortir de cette impasse émotionnelle.

Sinon, tous les enjeux vous paralysent, vous procrastinez et vous sombrez dans la tristesse.

 

Etape 5 : La tristesse

On est au fond du trou.

C’est la dernière étape avant l’acceptation du caractère définitif de la perte.

Vous avez de moins en moins goût au travail… l’envie de rien… Et cela envahit votre vie personnelle et familiale. L’atmosphère est lourde.

On prend conscience que changer de carrière signifie abandonner bien plus qu’un simple emploi.

Faire le deuil de son métier, c’est dire adieu à une stabilité, un certain équilibre de vie, de possibles amitiés avec des collègues, un environnement, des avantages, des habitudes.

C’est aussi tirer un trait sur un savoir-faire acquis pendant plusieurs années.

A ce stade, on est de plus en plus mal dans un travail qui ne nous épanouit plus.

« Je dois ouvrir les yeux. Ce job ne me convient pas. Je ne suis pas heureux. »

 

Etape 6 : L’acceptation, le pardon

Finalement, 2 choix s’offrent à vous :

  1. Accepter la nécessité de la reconversion avec ses nouvelles opportunités
  2. Ou se résigner et rester à se morfondre dans un poste qui ne nous fait plus vibrer.

Dans le 1er cas, c’est l’étape où on commence à réfléchir positivement à la suite.

C’est le moment de faire un bilan de compétences. Faire le point pour mieux repartir.

Vous commencez à voir que tout n’était pas rose dans cet ancien métier et emploi et que, finalement, autre chose de plus positif peut arriver…

Vous commencez à être plus serein, vous commencez à être dans le mouvement, à aller de l’avant.

Vous prenez conscience que quoique vous fassiez, vous ne pouvez pas lutter indéfiniment contre votre mal-être.

Alors autant embrasser le renouveau et se tourner vers le futur !

« Il est temps de me reconvertir pour vivre une vie professionnelle épanouissante »

« Je me pardonne d’avoir mis tout ce temps à passer à l’action et je me fais accompagner»

 

Etape 7 : La reconversion / renouveau

La suite ?

Votre bilan de compétences a clarifié le chemin vers un nouveau projet professionnel. Et vous avez repris confiance.

Des mesures concrètes sont prises : formation, recherche d’emploi ou création d’entreprise.

Le chemin se dessine avec ses propres étapes à franchir grâce au plan d’action rédigé durant le bilan de compétences.

Vous reconstruisez votre situation. Vous prenez conscience des bénéfices : tout ce que vous pouvez faire maintenant et que vous ne pouviez pas faire auparavant.

Vous apprenez de nouvelles compétences qui vous valorisent.

A cette étape-là, en général, vous êtes heureux et remotivé (vous êtes plus léger et vous souriez beaucoup) et surtout vous pouvez désormais parler de votre ancien métier sans le regretter.

 « j’ai trouvé ce que je veux faire et je construis mon projet »

Chaque phase du deuil de son métier offre des occasions de croissance personnelle. Écouter le déni, la colère et la peur s’avère essentiel. La tristesse invite à affronter la réalité. L’acceptation et le pardon débouchent sur une réflexion positive, ouvrant ainsi la porte à une reconversion. L’important est de bien repérer où vous en êtes afin de déjouer les mécanismes en jeu. Car sortir de la stagnation offre un renouveau, une chance de construire un projet aligné sur ses aspirations.

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Mary Mann

Pourquoi la peur de se tromper de voie n’existe pas

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si chaque jour, tu ressens l’envie croissante de changer de cap professionnel, cette peur persistante te retient. Cette appréhension est souvent démesurée. Dans cet article, explorons pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment surmonter ce blocage pour enfin embrasser le changement.

Chaque journée de travail est poussive et tu n’as qu’une envie, c’est de partir en courant.

Pas vrai ?

Ta situation professionnelle ne te satisfait pas. Peut-être même que tu ne me t’es jamais senti épanoui(e) dans ta vie professionnelle…

Chaque nouvelle tentative est une désillusion.

Toujours en proie aux doutes et aux remises en questions en tout genre.

Tu te cherches et tu sens que tu n’as pas trouvé ta place pour le moment et ce qui te convient.

Peut-être que tu as des idées mais elles sont floues et ça part dans tous les sens.

Et tu as peur de te tromper de voie une fois de plus ! Ce qui te bloque et te paralyse totalement.

Alors tu restes dans ta zone de confort même si tu ressens un appel vers de nouveaux horizons.

Tu es perdu(e).

Je vais te dire ton secret inavouable : Tu as déjà pris ta décision de changer.

Au fond de toi, tu as envie d’explorer autre chose malgré la peur.

L’inconnu t’attire autant qu’il t’effraie.

En fait, tu te racontes juste des histoires pour ne pas le regarder en face et rester dans l’inaction.

Tu repousses loin de toi cette idée de reconversion pour éviter de souffrir d’avantage.

Et ton mental « t’aide » en te racontant que si tu changes de voie tu risques de te tromper, d’être en échec.

Donc tu l’écoutes pour te « rassurer » sur ton non-choix.

 

peur de perdre le contrôle

Image par Jesse Ramirez

Je vais te dire ce qui est sûr : C’est que tu vas continuer à te tromper toi-même en restant sur place !

Car le risque de se tromper de voie est illusoire.

Tu as juste peur de t’avouer que ce que tu vis : c’est fini ! Et de passer à  l’action.

Tu le sens, n’est-ce pas ?

Tu t’imagines que t’avouer cette vérité, c’est comme ouvrir la porte d’un Boeing en plein vol et être éjecté de ta vie actuelle sans plus rien maîtriser sur le champ.

Que c’est IRREVERSIBLE et que ça va déboucher forcément sur une CATASTROPHE !

Rassure-toi, ce n’est pas ce qu’il se passe…

Surtout si tu te fais accompagner individuellement et sérieusement.

La voie vers la clarté

 

Il y a plusieurs étapes pour éclaircir le chemin et ne pas se tromper de voie :

  • Étape 1 : Regarder en face – Affronte la réalité, tes doutes et tes peurs.
  • Étape 2 : Faire le point en étant accompagné – Evalue tes compétences et aspirations avec un regard extérieur.
  • Étape 3 : Réfléchir efficacement – libère-toi des scénarios imaginaires et passe au concret.
  • Étape 4 : Investiguer – Explore les opportunités sans pression.
  • Étape 5 : Choisir en toute conscience – Décide de bouger ou non, et en gardant le contrôle sur ta trajectoire.
  • Étape 6 : Passer à l’action – Suivre ton plan pas à pas.

 

Tu vois ?

Tu restes aux commandes. Car un bilan de compétences se fait sur plusieurs mois.

Sache que tu n’es pas propulsé malgré toi vers autre chose d’incontrôlable ni d’irréversible immédiatement !

C’est juste un premier pas.

Actuellement, tu as juste peur de t’avouer la vérité, de vivre, de lâcher la bride, de te faire confiance et d’expérimenter Ta Vérité.

Voilà la vérité nue.

 

Mais je suis là 😊 et je connais bien ce que tu traverses.

Faisons le chemin ensemble grâce à mon bilan de compétences spirituel.

Ça va bien se passer !

La reconversion professionnelle est un acte de courage et d’authenticité. La peur de se tromper n’a pas sa place lorsque l’on choisit consciemment d’explorer de nouvelles opportunités. Car au-delà de la peur, se trouve la clarté. La reconversion n’est pas une chute libre, mais une ascension vers une vie alignée sur tes aspirations. Prêt à te découvrir et à briser les chaînes de l’illusion ? Je suis là pour t’accompagner.

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Réussir sa Reconversion Professionnelle : le secret fondamental

Réussir sa Reconversion Professionnelle : le secret fondamental

Mary Mann

…Et non abordé en bilan de compétences classique

Réussir sa reconversion professionnelle, c’est bien plus qu’un simple changement professionnel. C’est un voyage profond au cœur de soi-même, une exploration courageuse des limites invisibles créées par le conditionnement, les injonctions familiales et sociétales, ainsi que le formatage auquel nous sommes tous soumis. Une fois ces limites identifiées,  le secret est de s’en libérer. Mais comment faire ?

Le premier obstacle sur la route de votre désir de reconversion  : c’est vous.

La version ACTUELLE de Vous.

Vous avez probablement du mal à vous autoriser à changer de vie, à vous sentir légitime de le faire.

Vous procrastinez et ignorez votre mal-être car une reconversion vous semble trop difficile.

Votre champ des possibles est également limité.

Pourquoi ? 

 

Les Limites du Conditionnement

Notre parcours professionnel est souvent tracé par des schémas préétablis, dictés par notre éducation et notre environnement.

Le conditionnement nous pousse à suivre des voies conventionnelles, parfois au détriment de nos aspirations les plus profondes.

Repensez à votre orientation scolaire et professionnelle : comment avez-vous suivi la voie où  vous vous trouvez actuellement ?

Il y a plusieurs origines.

Pour réussir sa reconversion professionnelle, il faut d’abord identifier et remettre en question ces limites imposées.

Les Injonctions Familiales

Les attentes de la famille peuvent devenir des barrières invisibles. Le choix d’une carrière peut être influencé par des désirs parentaux.

Cela crée des liens invisibles qui entravent nos aspirations authentiques. Rompre avec ces injonctions nécessite une introspection courageuse pour redéfinir son chemin en fonction de ses propres rêves.

Il est difficile de le faire seul en raison de votre peur du rejet et à partir d’une version bridée de vous-même.

La Pression Sociétale

La société dicte souvent ce qui est considéré comme réussite ou échec.

Les conventions sociales peuvent créer des barrières restrictives, nous poussant à rester dans des domaines « sécurisés » plutôt que de suivre nos passions.

Pour réussir sa reconversion, il faut affronter ces pressions, parfois en allant à contre-courant des attentes collectives.

Il est difficile de le faire seul sans briser d’abord votre peur du jugement.

Le Formatage Intérieur

Au fil du temps, nous intégrons des croyances limitantes sur nos compétences, nos valeurs et nos capacités.

Que ce soit par des remarques familiales, des réflexions de nos proches ou des professeurs maladroits ou malveillants.

Ce formatage intérieur, souvent négatif, agit comme un frein à toute évolution professionnelle significative. Au droit de vivre autre chose.

La réussite de la reconversion réside dans la remise en question de ces croyances, la libération des peurs, et la construction d’une nouvelle vision de soi.

Il est difficile de se libérer seul de toutes ces croyances limitantes sans une aide thérapeutique objective et extérieure.

Le Chemin vers la Réussite

Le secret primordial pour réussir sa reconversion réside dans la conscientisation de ces limites invisibles ET leur libération. A la fois au niveau émotionnel et psychologique.

Il s’agit de se libérer :

  • des chaînes du conditionnement,
  • de se détacher des injonctions familiales,
  • de défier les pressions sociétales
  • et de déconstruire le formatage intérieur.

Cela est possible par un travail thérapeutique en thérapie brève.

C’est un processus délicat qui nécessite un accompagnement individuel.

Mais c’est dans cette libération que l’on trouve la véritable clé du succès de la reconversion.

C’est une formidable autorisation intérieure qui change tout.

Réussir sa reconversion professionnelle, c’est transcender les limites qui nous ont été imposées. C’est un acte de courage et d’authenticité. En brisant les chaînes du conditionnement, chacun peut créer un chemin professionnel aligné sur ses aspirations les plus profondes. La réussite de la reconversion réside dans la découverte de sa véritable voie, au-delà des limites invisibles.

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

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Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Nouvelle année, nouveau métier ?

Nouvelle année, nouveau métier ?

Mary Mann

Envie de changer de cap professionnel ?

L’effervescence des vacances commence à s’estomper, et avec le nouvel an, on a souvent envie de repenser sa trajectoire professionnelle. On ressent ce moment comme idéal pour embrasser le changement et donner un nouveau souffle à sa carrière. Mais comment faire pour que ce vœu pieu de reconversion professionnelle, de nouveau métier ne finisse pas aux oubliettes comme toutes les bonnes résolutions ?

On a tous pris au moins une fois une résolution de nouvelle année.
Mais qu’est-elle devenue ?

Faire plus de sport ?
Ces gens qui font leur jogging et arrêtent au bout de 15 jours
Arrêter de fumer ?
Le stress, les collègues fumeurs et ça repart…

Changer de boulot ? Un nouveau métier grâce à une reconversion professionnelle ?
L’idée nous traverse et puis on reprend le travail après les fêtes. Tout schuss jusqu’à l’année prochaine…

Après des semaines de détente, c’est le retour à la routine quotidienne.

On enchaîne les projets, les dossiers, les réunions sans prendre le temps de faire une pause.

Sans s’arrêter pour se questionner sur ce qui nous anime dans notre travail. A cela s’ajoute le tourbillon de notre vie personnelle…

Que l’on soit salarié ou entrepreneur, quand prenons-nous vraiment le temps de nous poser pour faire le point ?

La nouvelle année est bien plus qu’une simple occasion de célébrer : c’est une fenêtre d’opportunité.

Le moment pour réfléchir sur nos aspirations et définir des objectifs clairs. Nous réaligner voire opter pour un nouveau métier.

sortir de terre

photo Aaron Burden – unsplash

Regardons la Nature :

l’hiver est vu à tord comme une période morte.

C’est au contraire l’antichambre du printemps.

Le moment où les graines se préparent, prennent des forces pour mieux sortir de terre dès les premières chaleurs.

Il en va de même des projets comme une reconversion professionnelle.

Tout se prépare dans une introspection fertile, là où se trouvent les germes de vos aspirations vers un nouveau métier.

 

 

Si vous ressentez un appel intérieur vers une reconversion professionnelle alignée sur vos valeurs, c’est le moment idéal pour écouter cette voix intérieure.

La période est parfaite pour suivre l’énergie du renouveau visible dans la Nature.

Pendant plusieurs années, vous avez occupé un CDI dans une entreprise offrant des conditions de travail agréables ?

Ou peut-être faites-vous face à des difficultés dans un environnement qui ne correspond pas à vos attentes ?

Dans les deux cas, la question de votre bonheur au travail se pose.

Il est crucial de différencier une période de passage à vide d’un désintérêt véritable pour votre poste actuel.

Il faut s’attarder sur une baisse de motivation persistante. Peut-être un changement d’entreprise pointe le bout de son nez ? Voire un nouveau métier ?

Si c’est le cas, identifiez les aspects qui vous épanouissent et ceux qui vous laissent insatisfait dans votre poste actuel.

Interrogez-vous :

– « Suis-je réellement satisfait de ma situation professionnelle actuelle ? »
– « Qu’est-ce qui me retient ici aujourd’hui ? »
– « Est-ce la peur de ne pas trouver une situation aussi confortable ailleurs qui me fait rester ? »

Quitter un emploi sans avoir de perspectives derrière est un changement important dans notre vie.
Cela engendre des émotions désagréables et difficiles à vivre au quotidien : peur et stress. Et cela impacte notre entourage.

La tendance à s’accrocher à notre emploi actuel n’est donc pas fortuite : c’est ce que les psychologues appellent la résistance au changement. La fameuse zone de confort…

Mais la frustration envahit le quotidien.

Toutefois, rester pour des avantages matériels et financiers, des primes, des collègues agréables, est-ce suffisant ?
Est-ce un véritable accomplissement ? Ce qui vous nourrit intérieurement ? Aurez-vous des regrets à la fin de votre vie ?

Ce confort apparent serait-il une prison dorée ?

Si vous vous trouvez dans une situation confortable mais insatisfaisante, peut-être est-il temps d’ouvrir les yeux ?

Pourquoi ne pas refuser de vous laisser endormir par les conditions de travail ou les promesses d’évolution interne ?

Alors changer de métier ou changer de travail ?

Pour tirer tout ça au clair : un bilan de compétences peut être la clé.

Car en vous faisant accompagner dans cette réflexion professionnelle, votre résolution de renouveau professionnel ne finira pas aux oubliettes !

Cet accompagnement revitalisera votre vie en vous posant les bonnes questions !

Vous aurez la satisfaction d’avancer.

 

La nouvelle année offre une toile blanche où écrire le prochain chapitre de votre carrière. Si l’envie de changer de cap professionnel persiste, écoutez-la et accompagnez-la ! Et qui sait ? Un bilan de compétences sera peut-être l’occasion d’une reconversion professionnelle alignée pleine de sens dans un nouveau métier.

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Reconversion professionnelle : erreur n°5 à éviter

Reconversion professionnelle : erreur n°5 à éviter

Mary Mann

Se tromper d’approche !

Si tu cherches à donner un sens plus profond à ta carrière, que tu ressens un appel à contribuer à une cause qui te tient à cœur, un bilan de compétences classique sera insuffisant… Seule une approche holistique et spirituelle de la reconversion professionnelle te permettra de mieux comprendre qui tu es et quel travail est en harmonie avec ta nature profonde. Découvre comment aligner ton être à ton activité et aller vers ta réalisation personnelle et ta contribution authentique

Ton boulot t’ennuie, tu songes à faire une reconversion professionnelle.

Mais ce n’est pas un simple « ennui de base ». Non.

Tu as une véritable quête de sens.

Avec l’envie de sentir que tu es au service du collectif en contribuant à une cause qui fait SENS pour toi.

Tu lorgnes vers les bilans de compétences classiques car :« après tout, c’est leur métier non ? »

Hélas, prends garde !

Il y a fort à parier que tu sois quelqu’un d’empathique, sensible à l’écologie, multipotentiel, intelligent, curieux de plein de domaines, ouvert au monde subtil…

Tu as ressenti un éveil de ta conscience qui te pousse à vouloir plus de réalisation personnelle et de contribution.

A vouloir que tout ton être soit honoré au travers de ton travail, te sentir UTILE, BON, A TA PLACE, au service d’une cause qui a du sens pour toi.

Si c’est le cas, un bilan de compétences conventionnel ne répondra pas à tes attentes.

 

Pour en avoir déjà effectué un quand j’avais 28 ans, je sais de quoi il retourne.

Les trois métiers qui ressortaient pour moi étaient : infographiste, paysagiste et assistante de direction. 🤔

L’embarras du choix !

Que penser de ce genre de résultat directement dans le FAIRE et non dans le questionnement de l’ETRE… ?

Et surtout pas de questionnement sur mon adéquation avec l’entrepreneuriat ou le salariat.

Pas d’identification de mon tempérament, de ma grande capacité d’innovation…

Quant à mes attirances pour les disciplines ésotériques depuis l’enfance ? Qu’en faire ?

Par dépit, j’ai donc choisi assistante de direction.

J’ai compressé 2 années de BTS en une. J’ai tenté de m’adapter à différentes entreprises durant 9 ans.

Pour au final, m’apercevoir qu’il fallait vraiment que j’écoute mon âme et ma nature profonde pour aligner mon travail avec moi.

Image par fszalai de Pixabay

Je me suis choisie Moi.

Ma créativité, ma perspicacité, mes appétences pour l’étrange.

Ma sensibilité et mon empathie exacerbée.

Mon don pour ressentir l’autre jusqu’à lui ôter les mots de la bouche.

Ma force pour aider l’autre à se retrouver afin d’exprimer librement qui il est.

Ma soif de liberté. J’ai donc fait le grand saut vers l’entrepreneuriat.

Quel est le problème des bilans de compétences classiques ?

Les approches classiques ne répondent pas aux besoins des personnes qui cherchent à donner un sens à leur travail.

Cela s’explique par le fait que ces méthodes se limitent à examiner le parcours professionnel passé (expériences ou compétences).

Ils étudient surtout les compétences pour les transférer ailleurs. Autrement dit : ce qu’on sait faire et ce qu’on a déjà fait.

Bref, un état des lieux en vue de recyclage.

Or, les critères de nos choix à la base étaient parfois biaisés.

Les raisons qui nous ont poussé à choisir nos études n’étaient par toujours en lien avec ce qu’on voulait vraiment ni cohérentes avec nous-mêmes.

C’est pourquoi on se retrouve malheureux dans une voie et totalement paumé pour trouver sa place !

Ce que je trouve assez drôle, c’est qu’en entreprise, on nous parle beaucoup de softskills, de savoir-être et savoir-faire…

Mais les bilans de compétences « ancienne génération » n’écoutent pas le vécu des gens, ne devinent pas leur histoire, ne voient pas leur résilience, leur insoumission, leurs passions, leur Nature…

Le salariat quant à lui, est peu voire pas questionné du tout.

Enfin, ceux qui les mènent sont souvent des psychologues du travail.

Cela est regrettable à dire mais l’expérience de ces professionnels dans le monde du travail est souvent limitée…

Pour en avoir eu un en reconversion (eh oui!), il m’a expliqué qu’ils étaient à tord vus comme des psy.

Alors que si j’ai bien compris son explication, leur travail consiste à évaluer l’adéquation d’un profil pour un poste (comme un outil en somme).

Leur vision n’est pas holistique.

Donc tous vos doutes, votre manque de confiance, vos peurs… Eh ben… comment dire ? On ne s’en occupe pas ! Vas voir un psy !

 

D’où vient ce problème ?

 

En analysant les choses, du point de vue de mon vécu mais aussi de part mon expérience de psycho praticienne, j’ai mon avis.

Le système éducatif est centré sur les savoirs et les résultats.

Son but est de former des outils de production pour la société (c’est même un ancien directeur de l’Education Nationale qui le dit).

Du coup, il y a un socle de matières pour trier les individus.

Aucun apprentissage de l’humain, des relations, de la découverte de soi….

On formate, on remplit des têtes avec du par coeur.

Pourquoi l’approche du bilan de compétences serait différente ?

Le FAIRE et non l’ETRE

 

La bonne solution

 

Il te faut une approche complète (holistique), spirituelle, sérieuse, bienveillante et PAS uniquement sur le pro.

Ainsi tu seras en capacité d’aller au coeur de toi-même, de libérer tes obstacles intérieurs (peurs, doutes) grâce à des outils thérapeutiques puissants.

De comprendre qui tu ES depuis toujours et au service de quoi tu veux oeuvrer avec bonheur.

De connaître ta mission de vie (pour toi) et ta mission d’âme (auprès des autres).

Tu pourras alors choisir une activité qui sera harmonieuse dans ta vie. Comme une extension de toi.

Redéployer ta vie autrement pour grandir et évoluer.

T’ouvrir à d’autres possibilités ou confirmer tes intuitions.

Et retrouver la Joie de te sentir vivant, de te sentir Toi-même plein et entier, à ta place, aux commandes de ta vie.

Si cela te parle… Ca tombe bien, j’ai créé un bilan de compétences spirituel.

Contrairement à un bilan de compétences classique, il te permettra d’aller au cœur de ton ETRE, avant de chercher ton FAIRE harmonieux. 😉

 

En somme, la quête de sens dans la reconversion professionnelle va bien au-delà des compétences et des expériences passées. Une approche holistique qui intègre le spirituel et le personnel est essentielle pour trouver une carrière alignée avec qui nous sommes. Oublions le « Faire » pour un moment et explorons d’abord notre « Etre » authentique.

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

-Thérapie brève

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

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Quête de sens : quand partir de son travail ?

Quête de sens : quand partir de son travail ?

Mary Mann

Est-ce que ça bug ?

Où est ton esprit quand tu travailles ? As-tu conscience de ces moments où tu sembles absent ? Perdu, luttant pour trouver ta place et ton épanouissement ? Est-ce un signe qu’il faut quitter ton travail ?

Biip !! Biiipp !

Scrogneugneu…. Scrogneugneu…

Est-ce que ça bug pour toi aussi ?

Je me rappelle d’Isabelle
Une femme sexy… la cinquantaine

Je faisais de l’intérim à l’époque
Je remplaçais une assistante commerciale
Et Isabelle était ma formatrice

Je me rappelle combien elle était lente dans son raisonnement.
Tel un enfant qui apprend à marcher,
elle trébuchait sur chaque idée…
Incapable de clarté et d’efficacité.

Même sa souris d’ordinateur n’avait pas l’air d’accord avec sa main 😅

Laborieux… 🙄🤦

quand partir de son travail

J’en arrivais même à lui ôter les mots de la bouche et à deviner ce qu’elle était censée m’apprendre…

Et moins elle y arrivait et plus elle s’énervait.

L’enfer ! 😅

Quand elle travaillait, parfois je l’observais,
attirée par ses gestes parasites, ses soupirs
et son une agitation fébrile…

Mais que se passait-il donc ?

Quel mécanisme intellectuel ou psychologique venait la parasiter à ce point ? 🤦

Et un jour, j’ai appris un truc et j’ai compris…

Elle avait déjà eu son entreprise : un magasin de lingerie.
Son affaire n’avait pas marché et elle avait dû fermer 😕

C’était donc ça le spectacle fascinant qui m’intriguait chaque jour…

Elle n’était pas à sa place !

Taa daaaaa !! 🥁

Tout son être n’était pas vraiment là.
Son corps OUI, mais pas son esprit.

Son esprit lui, était ailleurs…
Dans ce rêve d’indépendance et de liberté.
Au milieu des froufrous et des dentelles.

Son truc, c’était de célébrer le féminin sexy.
… Plutôt que de la farine pour les poissons.😕

Et chaque jour, j’étais le témoin de cette lutte intérieure acharnée.

Tel un ordinateur contrarié,
surchargé d’instructions contradictoires,

Biiiip !! Bip ! Scrogneugneu…. Scrogneugneu…

Elle « bugait »!

J’ai connu ça aussi : le regard perdu en regardant par la fenêtre. M’imaginer ailleurs…

Soupirer devant l’horloge qui n’avance pas… La difficulté à se concentrer car l’envie n’est plus là.
😒🙄😣

Quand on en arrive à ça, il est vraiment temps de partir.

Rester c’est souffrir
Rester c’est s’abîmer
Rester, c’est gaspiller l’énergie qu’il nous reste au lieu de l’utiliser pour rebondir.

Et toi… Où est ton esprit quand tu travailles ?

Si l’idée de partir de ton travail te hante, il est temps d’écouter cette voix intérieure. Rester peut signifier gaspiller ton énergie. Écoute tes rêves, repense ta carrière, et embrasse une nouvelle aventure professionnelle qui te ressemble vraiment.

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Reconversion professionnelle : comment ne plus être perdu professionnellement ?

Reconversion professionnelle : comment ne plus être perdu professionnellement ?

Mary Mann

T’y comprends encore quelque chose toi ?

Perdu professionnellement ? Envie de reconversion professionnelle ? Tu ne sais pas par où commencer ni vers quoi aller ? Je sais d’expérience que cette confusion est difficile à vivre. Découvre comment en sortir efficacement et aller vers tes rêves.

J’sais pas toi… Mais moi j’y comprends plus rien.

La série the Witcher tu connais ?

Déjà, au début quand une princesse a un enfant avec un gars transformé en hérisson…
J’me suis dit… Outch !

Mais après je voyais à peu près où on allait..

Et puis à un moment, trop d’intrigue tue l’intrigue.
Des croisements et re- croisements

Piouuuuuuuuu !!!

Mais c’est quoi le projet ?
Où on va, en fait ? 🙄🤦

Et ça m’a fait penser à mes clients quand ils arrivent chez moi 😅

être perdu

Quand tu songes sérieusement à te reconvertir.

Bah… dans ta tête, c’est comme dans cette série.😅

Tu es perdu ! Tu essaies désespérément de clarifier tes idées…  

De trouver une logique, un fil conducteur,
une cohérence dans le projet… en vain !

Ça part dans tous les sens pas vrai ?
Comme dans la série j’te dis !
Du grand n’importe quoi 😅.

Moi j’y comprends plus rien et j’ai tout laissé tombé 🤦

Et c’est probablement ce que tu as envie de faire avec tes rêves de reconversion :

– à force d’essayer de rassembler les pièces du puzzle par toi même sans succès,
– à force d’attendre désespérément un signe qui ne vient pas,
– à force d’être paralysé par la peur,

Tu ne sais pas par où commencer ni vers quoi aller.
Je sais bien…😑 tout l’inconfort d’être perdu professionnellement.
Je suis passée par là aussi.

Résultat ?

Tu ne bouges pas et tu restes dans ton job,
Job où pourtant tu n’as pas envie d’aller chaque matin.

Or le tic tac continue lui.
Regarde, tu te souviens du nouvel an comme si c’était hier ?
Eh ben, regarde quel mois on est ?
Bientôt Noël…
And again and again…

Moi je ne voudrais surtout pas que tu jettes l’éponge et que tes rêves de reconversion finissent aux oubliettes en raison de ta confusion.

Là, c’est plus sérieux et plus important qu’une série.
Ta vie : c’est pour de vrai.

Tu sais ? Elle aura une fin.
Ce n’est pas la vie qui est courte, c’est la jeunesse !
La vie c’est looonng….
Surtout quand on se fait chier.

Donc moi ça m’importe que tu changes de vie si tu es perdu dans l’hyperespace pour trouver la voie faite pour toi et l’activité qui te fera vibrer.

Car je sais combien c’est important dans ton cœur.

D’ailleurs, j’ai fait le chemin avant toi.

Et même 2 fois !
La 1ère fois avec un bilan de compétences classique.

Plouf !

Pour moi, ça s’apparente plus à du recyclage.

La 2ème par moi-même, en enrichissant le processus grâce à ma propre évolution et mes compétences de thérapeute
(psychologie, développement personnel, travail sur les émotions…)

Et en y ajoutant ma touche personnelle : le subtil, le spirituel, l’astrologie, l’intuition, le chamanisme…

Et là : boum ! Alignement !
J’ai trouvé ma place dans la société. Je ne suis plus perdu professionnellement.

Là où je suis la plus pertinente et adaptée.
Là où j’excelle naturellement.
Là où je suis cohérente avec mon essence.
Là où je n’ai pas l’impression de bosser car j’adore ce que je fais.

Je rêve de cette transformation aussi pour toi.

C’est pour ça que j’ai créé le bilan de compétences spirituel

Viens, on va te ramener à la vie et trouver ton alignement.
Tu vas kiffer !

Appelle-moi, on va en causer… 😉

 

En conclusion, ne laisse pas tes rêves de reconversion professionnelle se diluer dans la confusion. Ta vie est précieuse, et il est temps de prendre le contrôle de ton destin. Ne reste pas seul. Ton épanouissement dépend de ta capacité à te faire bien accompagner. Ne reste pas perdu professionnellement, fais le premier pas vers ta nouvelle aventure professionnelle.

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Reconversion professionnelle : erreur n°4 à éviter

Reconversion professionnelle : erreur n°4 à éviter

Mary Mann

Se précipiter et faire tout seul

Quand on pense à faire une reconversion professionnelle, on est souvent tenté de trouver des pistes seul. Aïe ! On a tendance aussi à se jeter dans l’action rapidement au lieu de prendre du recul. Quels sont les problèmes et les risques de ces deux attitudes ? 

Ton boulot t’ennuie, tu songes à faire une reconversion professionnelle.

Et la sempiternelle question qui tourne en boucle dans ta tête le soir : Quoi faire à la place ?

Le Problème justement c’est de tout de suite aller dans le FAIRE. De rester à ce niveau.

Je m’explique : le système scolaire est axé sur les capacités et les résultats. Tout comme notre société : on veut du concret !

Et on est donc dans la projection à l’extérieur de soi.

Mais ce n’est pas le bon mouvement…

Dans une démarche de reconversion professionnelle, au contraire, il faut revenir à l’INTERIEUR. Dans ton ETRE.

Beaucoup de gens commettent l’erreur de chercher immédiatement une formation ou un nouveau poste sans avoir pris le temps de réfléchir correctement.

De plus, ils ont souvent le réflexe de vouloir sortir de leur confusion existentielle et éclaircir le « flou » tout seul !

Tel l’écureuil speed, tu t’agites fébrilement en quête de solutions et d’actions pour sortir rapidement de ton inconfort.

se précipiter et faire tout seul

Image par eluxirphoto de Pixabay

Quel sont les risques de se précipiter et de faire tout seul ?

  1. entamer une formation à côté de la plaque et de tes aspirations (souvent influencée par l’entourage) et perdre de l’argent
  2. multiplier les formations et donc les raisons pour ne jamais te lancer (et perdre de l’argent)
  3. changer d’entreprise pour un air de renouveau (hélas éphémère), une fois ‘la lune de miel’ terminée, tu auras à nouveau envie de partir !
  4. en être toujours au même point sans plus de réponses à tes interrogations
    à être toujours plus déçue et perdre en motivation pour rebondir vers le véritable changement rêvé !
  5. perdre du temps et ton énergie jusqu’à être totalement perdu !

Au final, tu auras encore plus peur de demander de l’aide pour t’en sortir de peur d’être jugé « nul » car tu n’as pas trouvé la solution tout seul.
Voire tu te sentiras encore plus incapable d’y arriver de toute façon.

Quel est le problème à agir ainsi seul et dans la précipitation ?

Vous n’avez pas les idées très claires mon cher Watson !

Autrement dit, tu as la tête dans le guidon.

En plus de ne pas te remettre en question quant à ton parcours pro passé,

ni te questionner sur tes éventuels échecs ou les raisons de ton mal-être…

Ce n’est pas confortable de s’avouer ses erreurs, pas vrai ?
Or comprendre les raisons profondes de ton mécontentement professionnel actuel est crucial.

Ignorer cette étape peut te conduire à répéter les mêmes erreurs dans le futur.

Apprendre des expériences passées et prendre conscience des mécanismes qui ont guidé tes décisions jusqu’à présent, C’est éviter le risque de revivre des situations similaires.

Afin de décider en conscience de ce que tu ne veux plus !

En résumé, devenir acteur d’un renouveau pro favorable et ne plus subir de mauvaises décisions.

Cela te permet de prendre des décisions plus éclairées pour ton avenir. En plus de mieux accepter ton parcours, et d’en faire le deuil pour avancer.

Te faire accompagner dans ce processus sera très bénéfique. Tu pourras alors choisir une activité qui sera harmonieuse dans ta vie. Comme une extension de toi.

Afin de faire le point efficacement et objectivement, fais-toi accompagner !

Un bilan de compétences spirituel permettra de bien définir tes aspirations et sera une ressource précieuse dans ton processus de transition professionnelle.

Et même si tu as déjà quelques idées !

Car faire le point en étant accompagné sera clairement bénéfique pour clarifier ton projet, t’apporter confiance et découvrir tes points forts.

Contrairement à un bilan de compétences classique, un bilan de compétences spirituel te permettra d’aller au cœur de ton ETRE, avant de chercher ton FAIRE harmonieux. 😉

 

Prendre le temps de réfléchir avant d’agir est essentiel lors d’une reconversion professionnelle. Éviter les erreurs passées et s’engager consciemment dans un changement prometteur est la clé du succès. L’accompagnement est une ressource précieuse pour y parvenir.

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Reconversion professionnelle : erreur n°3 à éviter

Reconversion professionnelle : erreur n°3 à éviter

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Se tromper d’ennemi

Le mal-être au travail va forcément amener une reconversion professionnelle ou un changement d’entreprise, pas vrai ? Et si je te disais que non, tu serais surpris ? Avant de sauter à pieds joints dans un bilan de compétences et une reconversion, il y a des choses à éclaircir… Lesquelles ?

Elémentaire mon cher Watson : à mauvais diagnostic, mauvaise solution !

Je me rappelle ça avait fait un taulé à l’époque !!
Sinead O’Connor qui s’en prenait au Pape.
Est-ce ton cas aussi ? Pas le Pape, non…
Mais de te tromper d’ennemi ?

Je vais développer dans un instant…

se tromper de combat dans sa reconversion professionnelle

Mais d’abord laisse-moi t’expliquer un truc.

D’après un récent sondage, 9 Français sur 10 aspirent à changer de vie ou de métier.

Or, 64% ne bougent pas.🙄😕

Tu me diras, il y en a tout de même 46% qui pensent bouger dans les 2 années !

Mais pour les autres…

Ballot hein ?

A un premier niveau, ils ne savent pas vraiment clarifier le pourquoi de cette inaction.

Ils mettent ça sur le compte de la PEUR.
Mais la peur de quoi concrètement ? Car elle a différentes facettes !

 

En creusant, voici ce qui ressort :

1- La première peur bien sûr, c’est la peur de se tromper de voie,
2- Exaequo, la peur d’être en difficulté financière pendant plusieurs années,
3- Ensuite, viennent les doutes sur la pertinence de changer “Serais-je vraiment mieux ailleurs ?”. Au fond, qu’est-ce que j’en attends ?
4- Puis “est-ce que mon travail est vraiment le fond du problème ?”
5- Enfin, le manque de soutien, l’isolement pour faire cette démarche de reconversion.

Tu me suis ?

C’est un peu comme « Faute avouée à moitié pardonnée ».

Le fait d’identifier notre vrai “ennemi” permet bien souvent déjà de le dégonfler en bonne partie.

Cette démarche offre aussi de regarder clairement les choses en face. Sans excès et avec honnêteté.

C’est ainsi l’occasion de se munir de la bonne arme pour le vaincre.

Car quand on ne sait pas trop contre quoi on se bat, difficile de mettre en place une stratégie !
C’est là que toute mon expertise entre en action.

Je suis à la fois psycho praticienne (thérapeute quoi) et praticienne en bilans de compétences certifiée.

Mon conseil ?

Le voici selon chaque situation :

Cas 1- Faire un bilan de compétences sérieux avec une portée spirituelle pour bien comprendre où est ta place

Cas 2– Faire un accompagnement thérapeutique pour : déconstruire tes peurs relatives à l’argent et booster ta confiance en toi, vaincre tes peurs d’insécurité et ta incapacité à te faire confiance. (Rhooooo tiens, c’est dingue je propose aussi un atelier sur le rapport à l’argent)

Cas 3 & 4- Encore de la thérapie !‍ En tous cas en première intention… Après, on verra bien si un bilan est indiqué.

Pssssiiiittttt !

Parce que moi j’ai déjà eu une cliente qui mettait tout sur le compte de son boulot…

Mais en fait, au bout de quelques semaines de thérapie pour éclaircir ce qui la gavait au fond… Elle a quitté son mec et gardé son job ! 

Cas 5- Lors d’un bilan de compétences spirituel, tu n’es pas seul et tu reprendras de la force pour aller de l’avant.

En fin de compte, avant de changer de travail ou de se reconvertir, il est capital d’identifier les vraies raisons de notre insatisfaction dans la vie. Une approche personnalisée, qu’elle soit axée sur les compétences ou la thérapie, permettra de clarifier la source réelle du mal-être et d’avancer vers un avenir plus épanouissant.

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

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Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Reconversion professionnelle : erreur n°2 à éviter

Reconversion professionnelle : erreur n°2 à éviter

Mary Mann

Ne pas travailler sur soi pour libérer ses blocages

La reconversion professionnelle peut facilement sembler insurmontable, notamment avec des peurs et des croyances limitantes. Elles empêchent le passage à l’action. Mais il existe une solution efficace pour surmonter ces peurs et renforcer la confiance en soi. Laquelle ? Et quel est le risque de ne pas travailler sur soi dans le cadre d’une reconversion ?

Si tu as commis l’erreur n°1 avant d’entamer ta reconversion professionnelle, ta confiance en toi doit être en berne.

Allô Docteur, y’a encore un poul ?

L’idée de te reconvertir doit te sembler insurmontable et hors de ta portée.

A cette dégringolade blasée, s’ajoutent tes peurs :

  1. peur de se tromper de voie,
  2. ou de manquer d’argent,

Ton auto saboteur s’en donne à cœur joie ! 🙂

Et puis pour couronner le tout : les croyances limitantes !

Vaste programme

En considérant tout ceci, ta capacité à croire en toi et à te croire capable de te renouveler professionnellement, sera diminuée.

Malheureusement, beaucoup d’aspirants à la reconversion professionnelle restent bloqués là.

Et ils ne passent jamais à l’acte.

 

C’est la fameuse zone de confort inconfortable et dans laquelle l’Ego préfère rester car il la connaît, plutôt que risquer de s’aventurer vers l’inconnu.

Oui, c’est l’instinct de survie !

Mais nous avons aussi été formatés à ne pas trop sortir des sentiers battus… Ceci est d’autant plus vrai pour les femmes. On leur renvoie beaucoup l’idée d’être moins compétentes que les hommes. Elles sont donc souvent moins ambitieuses et moins confiantes en leurs capacités.

En plus, à l’école, notre orientation a surtout été déterminée par nos résultats scolaires.

Alors, se croire capable d’autre chose, peut-être même d’audacieux, parier sur soi…

C’est une autre histoire !

 

Notre entourage et ses craintes projetées sur nous-mêmes n’aide pas vraiment à sauter le pas, non plus.

Quoiqu’il en soit, un bilan de compétences n’oblige à rien derrière. Il est important d’en prendre conscience.

On peut se poser et réfléchir sans pour autant embrayer vers une reconversion professionnelle si cela ne s’avère pas pertinent.

Au moins on n’aura pas de regrets car on aura posé tout sur la table. 🙂

 

Mais il y a un moyen redoutable pour se libérer de nos croyances limitantes, dépasser nos peurs irrationnelles,

et passer outre les remarques des proches : la libération émotionnelle par la thérapie.

Par chance pour mes clients, je suis également psychopraticienne en thérapie brève !

La thérapie est très utile pour faire sauter des verrous et démarrer son parcours de reconversion plus sereinement.

C’est pourquoi il y a une séance incluse d’office dans le bilan de compétences spirituel que je propose.

Et nous avons toute latitude pour en faire d’autres si besoin.

C’est une vraie approche holistique pour offrir un accompagnement complet et le cadre rassurant dont tu as besoin pour bien cheminer durant ton bilan de compétences.

Enfin, si c’est la peur de manquer d’argent qui te retient dans ton projet de reconversion, j’ai la solution aussi 😉

Mon atelier sur le rapport à l’argent te sécurisera pour entamer ta nouvelle vie.

Quoiqu’il en soit, dans toute réussite, il n’y a pas que les compétences ou le talent qui entrent en compte.

La confiance en soi y est pour beaucoup.

En fin de compte, la reconversion professionnelle peut être un défi, mais surmonter les peurs et les croyances limitantes est essentiel sous peine de rester bloqué. La thérapie brève s’avère un puissant outil pour renforcer la confiance en soi et ouvrir la voie vers un nouveau départ.

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Mary Mann

Se mentir trop longtemps

Une envie de reconversion professionnelle est longtemps comme un sous-marin. On la devine mais on ne l’identifie pas vraiment sous la surface. Notre sonar intérieur fait la sourde oreille. Pas facile de faire attention à nos ressentis et de s’avouer notre mal-être. Le changement fait peur. Mais quel est le risque de faire trop longtemps l’autruche ?

Mes yeux se lèvent sur la pendule du bureau.
15h… Pfffff que c’est long !

Je regarde fébrilement par la fenêtre, les oiseaux qui volent d’arbre en arbre.
« Cette journée ne va-t-elle jamais finir ? J’en ai marre…

Mais je ne peux pas partir. Qu’est-ce que je peux faire d’autre ?
Bon allez, c’est juste un coup de mou, ça va passer faut faire avec… »

Voilà en substance le discours que tu te répètes chaque jour qui passe.

Tu crois miraculeusement que ton mal-être pourrait s’arrêter un jour, sans rien faire.
Le changement fait peur : on préfère l’éviter.
Cependant, tu le sais…

Rien n’avance dans ton travail, tu n’es plus productif car ton esprit est absorbé ailleurs.
Pourtant tu restes là.

Tu fais l’autruche pendant quelques semaines, des mois… depuis des années ?!
Mais je le sais d’expérience, il n’est jamais bon de se mentir trop longtemps.
Pourquoi ?

Tu te souviens du nouvel an comme si c’était hier ?
Regarde comme les mois défilent chaque nouvelle année…
Ta vie, tu sais ? Elle aura une fin.
Tic tac tic tac…
Ce n’est pas la vie qui est courte, c’est la jeunesse !
La vie, c’est looong surtout quand on s’ennuie et qu’on ne se sent pas utile ! 

Mais y’a pas que ça !

Quand on attend trop longtemps pour se reconvertir (alors qu’on sent clairement qu’il nous manque quelque chose pour nous épanouir au travail) :
– on s’épuise et notre énergie pour rebondir aussi
– on devient irritable, aigri, on se renferme
– à la maison ce n’est pas la fête…😕

– On perd confiance en soi
– On déprime et notre sentiment de vide intérieur grandit
– et c’est un cercle vicieux : notre travail devient de plus en plus pénible car le cœur n’y est plus !  

Lorsque tu ressens un profond malaise au travail, qu’il n’a plus de sens pour toi…

Si tu as l’intuition que ta vraie place se trouve ailleurs, il est essentiel de t’écouter attentivement.

Car tu es la seule personne capable de percevoir ces signaux quand ils pointent le bout de leur nez.
Sois honnête envers toi-même et le plus tôt possible.

Car il n’y a que toi qui puisse prendre une décision et agir pour changer ta situation professionnelle.

Entame un bilan de compétences pour réfléchir à une reconversion professionnelle.
Évite de te voiler la face.

Tu gagneras du temps et de l’argent (mais ça on en reparle dans l’erreur N°4 😉)

Le changement et la reconversion peuvent sembler effrayants, mais c’est souvent nécessaire pour retrouver son épanouissement professionnel. Ignorer les signaux de malaise au travail peut conduire sur une voie de mécontentement croissant, affectant la santé, la confiance en soi et la relation avec les autres.

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Maryanne Manneville

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Reconversion : comment en parler à son entourage ?

Reconversion : comment en parler à son entourage ?

Mary Mann

En parler ou pas ?

Chacun de nous fera face à des choix importants, des décisions audacieuses. L’une de ces décisions cruciales est la reconversion professionnelle : un virage passionnant mais souvent intimidant. Si vous avez pris cette décision pour vous-même, le moment viendra de partager cette transformation avec votre entourage. Cependant, aborder ce sujet peut être délicat car les réactions varient. Faut-il en parler ? Quand en parler ? Comment aborder la question de sa reconversion avec ses proches ?

Eté 2017. Un sourire sur le visage, je parcours les km pour rentrer chez moi.

La chaleur me pousse à ouvrir la fenêtre côté conducteur.

Ma mère assise en passager, se plaint du courant d’air… Pfff ! Elle ne changera jamais….

Je vois les paysages défiler au travers de mon parebrise. Mais je ne les vois pas vraiment.

De plus en plus, je sens une tension monter dans mon être.

Un mélange de force volcanique et de malaise à expulser.

Il faut que je lui dise quelque chose. Oui, c’est le bon moment ! Je suis prête.

Nous avons fait une belle promenade, il fait beau, elle est tout à moi dans cette voiture.

« Maman ? Il faut que je t’avoue quelque chose…

-Ah ? (elle me regarde soudain inquiète, tout en continuant cette fâcheuse manie de se tourner les pouces)

-Oui, tu sais… je ne travaille plus dans l’administratif.

-Ah bon ? Mais depuis quand ?

-Plus d’1 an.

Sa réaction ne s’est pas faite attendre : « Beu… Mais… Tu fais quoi ?!»

Je suis à mon compte dans la thérapie et la reconversion professionnelle. »

Durant un looooong silence, je sentais qu’un tsunami silencieux avait lieu sous mes yeux.

Elle qui avait eu le même emploi toute sa vie, qui avait eu une carrière « stable », qui n’osait même pas changer d’assurance sans flipper…

Je venais de faire exploser sa conception des possibles.

Au bout de quelques minutes (toujours en se tournant les pouces 🙄😤), elle prononça sans grand enthousiasme : « si tu es heureuse… »

Soulagement…

 

taire son projet de reconversion

 

Je repensais alors à nos conversations téléphoniques durant un an, depuis ma reconversion.

A chaque fois qu’elle me demandait comment ça allait au boulot, je bottais en touche…

« Oui oui, rien de nouveau… Ca va… »

Je savais qu’elle n’y comprendrait rien… Un monde nous séparait. Elle n’avait jamais compris qui j’étais. Elle n’avais jamais manifesté le moindre soutien ou encouragement.

Son expertise était plutôt la critique. Alors… Chuuuuuttt !

J’avais suivi à la lettre les conseils de ma formatrice en thérapie.

Elle m’avait donné le conseil judicieux de préserver mon projet de reconversion tant que celui-ci était encore fragile et embryonnaire.

Tel un écrivain ne dévoilant pas ses idées d’écriture trop tôt, de peur de la page blanche.

Si notre entourage n’est pas soutenant, il faut faire très attention à quand et à qui dévoiler notre projet.

Sous peine de le voir balayé et cassé comme un arbrisseau fauché par un vent violent.

Bien sûr, obtenir le soutien de nos proches est réconfortant et sécurisant. Mais ce n’est pas toujours possible !

En parler est souhaitable mais tout dépend de :

  1. l’attitude de vos proches,
  2. de votre solidité intérieure,
  3. et du stade de développement de votre projet de reconversion.

Si je vous raconte cela, c’est pour vous éclairer et vous aider.

Si vous êtes en couple, la seule personne dont le soutien sera important : c’est votre conjoint !

En effet, votre reconversion changera les choses.

Et il faudra réorganiser votre quotidien le temps de votre reconversion ou formation.

Pour le reste… Prenez de soin de bien évaluer votre interlocuteur.

Votre projet est aux antipodes de votre milieu familial ? Taisez-vous. N’en parlez qu’aux gens de confiance qui vous soutiendront.

Vos parents sont fonctionnaires et vous vous lancez dans l’entrepreneuriat ? Taisez-vous. N’en parlez qu’aux gens de confiance qui vous soutiendront.

Vous sortez tout juste de votre grotte de la peur et démarrez tout juste votre bilan de compétences ou une nouvelle formation ? Taisez-vous. N’en parlez qu’aux gens de confiance qui vous soutiendront.

Votre famille est toxique et a la critique facile ?… (Bis repetita)

En tous cas, dans un premier temps…

Car viendra le jour où votre « bébé » sera plus grand, plus solide, votre décision affirmée, votre nouveau « Vous » assumé.

Là, vous pourrez affronter les regards et jugements désapprobateurs sans trop broncher.

Là, vous pourrez encaisser les remarques acerbes des jaloux ou peureux que votre audace vient déranger dans leur sommeil.

Quoi qu’il en soit, en cas de doutes pour en parler, tâtez le terrain…

Allez-y progressivement. Evoquez vaguement votre mal-être professionnel.

Si la personne est réceptive, bingo.

Sinon, n’insistez pas sous peine de vous démotiver ou d’être blessé.

Quand votre projet de reconversion démarre, choyez-le comme un enfant fragile.

Préservez aussi votre énergie au service de votre projet. Ne tombez pas dans la justification et dans le fait de vouloir absolument convaincre du bien fondé de votre démarche.

C’est votre vie. Au fond, pas besoin de l’avis ni de l’approbation des tiers.

 

Aborder la question de la reconversion avec votre entourage est une étape importante. Si votre conjoint doit forcément faire partie de l’aventure, attendez un peu d’avoir clarifié votre projet pour l’exposer aux yeux de ceux qui vous soutiendront. Puis consolidez-le et attendez d’être sûr de vous, pour enfin en parler aux détracteurs. En tous cas, misez sur un accompagnement par un professionnel du bilan de compétences. Cela vous permettra d’acquérir de l’assurance et de vous affirmer afin de reprendre votre vie en main.
Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Un bilan de compétences pour reprendre son pouvoir

Un bilan de compétences pour reprendre son pouvoir

Mary Mann

Et bim !

Un bilan de compétences classique est souvent décevant. C’est le retour de nombreux clients. Or un bilan avec une vision globale change la donne. Loin d’être un simple bilan de « recyclage professionnel », le bilan de compétences spirituel Orientation & Sens de Vie® leur offre un renouveau, une mise en perspective différente, ainsi que la reprise en main de leur vie.

C’est un beau dimanche ensoleillé, une fin d’après-midi.

Que l’automne est doux ! Un sourire sur le visage, je parcours les km pour rejoindre un groupe d’amis dans un joli domaine breton au sud de Rennes.

Nous allons fêter l’anniversaire de Valérie !

Quand j’arrive, elle m’annonce toute enjouée qu’elle a vu des biches au fond du chemin.

Puis, avec une œillade complice, elle me lance : « Tiens Maryanne, Laetitia sera là !»

Cool ! Laetitia ? Oh super, que devient-elle ?, me dis-je en moi-même.

Il se trouve que je l’ai accompagnée en bilan de compétences Orientation & Sens de Vie® fin 2021-début 2022.

Elle était d’ailleurs venue sur recommandation de Valérie. 🙂

Les minutes défilent tandis que nous installons nos affaires dans les différentes chambres du gîte.

Déballage des victuailles également. Frigo plein à craquer version grotte d’Ali Baba.

La vache, mais y’a trop de bouffe !! oO

On peut tenir un siège sans problème ! LOL

 

Des voitures arrivent les unes après les autres dans la grande cour entourée d’arbres…

Un petit air de musique empli l’air depuis le salon cosy où trône un vieux poêle à bois dont la vitre arbore un teint carotte façon Donald Trump.

Mais il fait le job.

Ambiance « Parenthèse inattendue »

Il ne manque que Frédéric Lopez. 🙂

Laetitia arrive.

Elle descend de sa voiture.

Son joli sourire à fossettes m’a toujours fait penser à celui d’un bébé Nénuco.

Elle est radieuse et reposée.

C’est drôle de se voir pour de vrai quand on a passé 4 mois en zoom tels des bustes de César. 

« Pas trop choquée ? »  lui dis-je en rigolant. Elle joue le jeu : « Non » et rit à son tour.

Les heures s’égrènent. La mayonnaise prend entre les invités.

Les rires fusent entre deux bouchées de petits fours.

Puis la fatigue avance doucement sa couverture… Tapissant la musique, rendant les paroles plus intimes, les échanges devenant des confidences.  

Laetitia me lance : « Ca y est au fait ! J’ai eu ma rupture conventionnelle ! 

J’écarquille les yeux : Ah oui ?! Génial ! Quand ? 

– Fin août, me dit Laetitia avec un grand sourire et les yeux pétillants

– Bien ! Contente pour toi ! »  je lui réponds.

Il faut savoir qu’à l’époque, elle était dans un poste à responsabilité en structure sociale.

Et elle arrivait alors au bout de son expérience de management…

Elle avait gravi les échelons, mais s’interrogeait sur la finalité de tout cela : était-elle vraiment épanouie ?

Est-ce qu’être à un poste de Direction correspondait finalement bien à ses véritables aspirations ?

Beaucoup d’arrêts maladie en raison du Covid avaient fini par enfoncer le clou car elle portait la structure à bout de bras.

Depuis des mois, elle assurait plusieurs postes à elle toute seule avec brio mais au péril de sa santé.

Quand j’avais fait sa connaissance en bilan de compétences Orientation & Sens de Vie, Laetitia était clairement en surmenage, elle n’avait plus de vie personnelle.

Malgré sa surcharge de travail, Laetitia avait tout de même eu la volonté de trouver une solution.

Elle avait décidé de faire un bilan afin de faire le point et de s’en sortir, de trouver une autre voie.

Or ce qu’elle n’avait pas anticipé, c’est que je lui donnerais de bons conseils.

Et surtout que ce bilan de compétences lui donnerait la force d’entamer les démarches vers une rupture conventionnelle.

Car elle n’y avait même pas pensé étant donné sa position.

Bingo !

La Direction avait cédé face à l’évidence de sa détermination.

Echec au Roi.

Depuis cet automne, Laetitia a retrouvé un poste plus serein, en accord avec ses valeurs et respectant sa vie de famille.

Et en plus, tout près de chez elle ! Elle revit.

Elle se repose avant d’entamer la suite de son voyage professionnel…

C’est cette transformation-là qui me porte dans mon travail.

Quand je vois des personnes épuisées, abîmées, confuses et déstabilisées en début de bilan de compétences, qui reprennent des couleurs et de la force progressivement…

Quel bonheur !

Rendez-vous après rendez-vous, un changement d’énergie opère.

Je leur donne de la force pour se redresser dans un ciel qui s’éclaircit.

Le Lion se réveille et rugit au final.

C’est beau à voir et plein de sens pour moi.

🙂 Et vous ? C’est pour quand ?

Quand on se trouve dans une impasse professionnelle, il est important de ne pas attendre trop longtemps. Car plus les mois passent, plus vous vous dévalorisez et plus la confusion augmente. Démarrer un bilan de compétences est salutaire afin d’y voir plus clair et de se remotiver sur un nouveau projet professionnel, de retrouver un élan. De plus, faire un bilan avec une approche plus large et globale (un bilan de compétences spirituel) vous permettra de reprendre votre vie en main.
Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

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Bilan de compétences : individuel ou en groupe ?

Bilan de compétences : individuel ou en groupe ?

Mary Mann

Non non non et non

Des tas de publicités fleurissent sur les réseaux sociaux pour faire un bilan de compétences. Des « usines » qui vous promettent un coaching personnalisé (mais entre des sessions d’e-learning)… Histoire d’être un peu suivi quand même, hein ? Certains n’offrent que des ateliers de groupe vantant l’émulation et le « fun » de la formule. Quand ce n’est pas tout bonnement un mélange de tout cela… D’autres enfin, ne font que des bilans en e-learning substituant ainsi par un marketing habile le « débrouillez-vous » par le mot « liberté d’organisation ». Et puis il y a le bilan 100% individuel et présentiel. Comment choisir parmi tout ça ? Quelle formule pour un bilan de compétences qualitatif ?

Quand je vois ce que proposent certains prestataires
ou que je recueille les expériences de mes clients…

J’écarquille les yeux puis ma main vient sur mon front comme dans l’émoji 🤦‍♀

Je repense à mon premier échange téléphonique avec Gaëlle.
Elle avait déjà caressé le projet de faire un bilan de compétences mais dilemme !
En individuel ou en groupe ? Elle voulait y voir plus clair pour choisir.

Euuuuh comment dire ?
En groupe ?
C’est comme parachuter des citadins purs et durs dans la jungle et leur demander de retrouver le chemin vers la ville la plus proche.

A droite ? A gauche ?
Mais non ! répond l’autre, c’est tout droit. 
C’est super, on est ensemble, qu’est-ce qu’on se marre mais on est toujours aussi paumés.
Naviguons vers un naufrage collectif !

oO

Inévitablement, les participants de ce genre d’atelier -tous désorientés individuellement faut-il le rappeler ?- vont finir en binôme.
Ils vont échanger lors des pauses café, calquer leurs filtres et leurs préjugés sur les participants.
Ils vont vouloir asséner leur vérité à l’autre, le convaincre que même s’ils ne savent pas par où commencer pour eux-mêmes, en revanche ils voient clairement ce qui est bien pour l’autre…
« Ah toi je te verrais bien assistante sociale ou infirmière tiens ! »

Chacun va imaginer, extrapoler, fantasmer, projeter.
Au secours !

Comme je l’ai dit à Gaëlle : « Vous allez vous retrouver avec des gens qui ont perdu leur centre et qui vont vous donner leur avis sur vous et vous serez encore plus déstabilisée. » Gaëlle a validé.

NON
Le bilan de compétences est un temps d’introspection (guidé).
Définition d’introspection : observation, analyse de ses sentiments, de ses motivations par le sujet lui-même.
Pas de bibi, pas de Pierre, Paul ou Jacques qui déclame avec la tronche enfarinée : « Eh toi j’te verrais bien faire… »
VLAM ! Claquement de porte.

La qualité de temps que l’on s’accorde dans ce cheminement : c’est important.
Il y a les rdv qui rythment le bilan mais aussi les temps de respiration ENTRE chaque rdv.
Là, le bénéficiaire du bilan de compétences se centre, se questionne, réfléchit, doute, définit, intègre, clarifie…

C’est pourquoi les bilans en groupe ET qui se déroulent sur deux ou trois jours qui se suivent me laissent encore plus songeuse.

Mais il y a aussi ceux qui proposent des « bilans » entièrement en e-learning. Autrement dit, tu discutes seul avec ton ordinateur (lol)

Et tu es censé te motiver tout seul alors que tu en as déjà ras la casquette de ta life ? Que ton cerveau turbine à plein régime avec 3000 idées à la minute…

Euuuh comment dire ? 

que faire ?

Mmmmmmmmmm

Mmmmouais ?

Bah non en fait…

 

Je repense à Marie que j’ai accompagnée récemment.
Elle avait commis l’erreur de choisir un accompagnement de ce style car pas trop cher.
Résultat ?

« J’en suis ressortie aussi paumée qu’au début. J’ai eu vraiment du mal à aller au bout. Et je n’ai pas du tout été convaincue par le résultat. »

Je vais te dire clairement : prendre du recul, faire le point afin de voir plus loin que ce qu’on sait déjà faire et trouver sa voie pour un nouveau départ…

On ne peut PAS le faire seul et on n’est pas censé le faire seul d’ailleurs !!

C’est essentiel de se faire accompagner pour être soutenu et guidé dans sa réflexion et son évolution.
Mais pas avec dix autres personnes aussi perdues que toi !

Sinon cafouillage garanti !

Quand tu songes à une reconversion, tu es dans une phase de fragilité.

Tu es aussi influençable que l’eau en surface d’un lac qui frémit au moindre souffle de vent. Il faut te retrouver dans un cocon de maturation, protecteur, à l’abri pour préserver tes forces, avouer tes fragilités et retrouver ton centre. Car oui, il n’est pas rare de voir des larmes sortir. Et c’est normal. Il faut les accueillir.

C’est pourquoi je ne fais que du bilan de compétences individuel et présentiel (mais en ligne).

Les germes du changement sont déjà en Toi. Ta vérité doit émerger de Toi. Le choix doit venir de Toi.
Telle une fleur qui progressivement déploie un à un ses pétales pour révéler son éclat au monde.

Il est essentiel également de bien choisir avec qui on fait ce chemin.
Question d’affinités mais aussi de compétences.

Je me rappelle une amie d’enfance que j’avais retrouvée à l’occasion de mon propre bilan de compétences quand j’avais 28 ans.

Nous faisions la même démarche et dans le même centre !

Ma conseillère était plutôt sympathique et ouverte d’esprit.
En revanche, pour mon amie, ça n’avait pas du tout « matché » avec la sienne. Et son bilan de compétences s’était avéré catastrophique !

Récemment, une cliente de mon bilan « Orientation & Sens de Vie » m’a avouée avoir fait un coaching une année auparavant avec une coach certifiée.
Elle voulait ressortir avec un plan d’action pour… un projet qu’elle n’arrivait déjà pas à définir en fait. Tout était confus !
Et rien n’était sorti de cet accompagnement qu’elle pensait suffisant au départ et adapté à son besoin.

Il faut savoir une chose :

La flèche qui est tirée sur une cible suit l’intention du tireur.
Pas de cible définie : où viser ?
Pas d’intention : pas de tir

Donc pour commencer, il faut déjà savoir qui on est au fond pour définir un projet en accord avec soi.
Viendra ensuite l’objectif (où l’on veut aller).
Puis il faudra avoir l’intention d’y aller.
Cette volonté naîtra de l’alignement de ce projet avec votre Etre profond et du sentiment de trouver sa place dans le monde.

« Et au fait, toi j’te verrais bien faire… »
Rhooooo… Mais tais-toi donc !

Il existe de multiples formules de bilan de compétences. Certains permettent une meilleure introspection que d’autres. On peut surnager dans le recyclage professionnel ou descendre réellement dans l’Etre comme lors d’un bilan de compétences spirituel. La meilleure solution pour vous dépendra de votre besoin, de votre degré d’exigence et d’autonomie mais également de votre personnalité.

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

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Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Comment savoir ce qui est bon pour soi ?

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Mary Mann

Savoir faire les bons choix

Comment savoir ce qui est bon pour soi ? La vie n’est qu’une succession de choix. Mais comment être sûr de prendre les bonnes décisions ? Toute crise, comme celle du Covid, redistribue les cartes pour beaucoup et nous destabilise en nous mettant face à l’essentiel. Créant son lot de dilemmes : quitter son travail, quitter son conjoint, changer de vie… Et si je vous disais que faire le bon choix est plus simple qu’il n’y paraît ?

Y’a des années charnières.

Même si dans notre vie, on fait toujours des choix
Ces choix nous définissent à chaque instant, redéfinissant le futur possible.

Dans le meilleur des cas, on est proactif.
Et on choisit ce que l’on veut dans sa vie, on est aux commandes du changement que l’on veut voir se concrétiser

Et puis…
Souvent quand on fait le choix de ne pas en faire
On se terre dans nos habitudes, on se laisse porter, on fait l’autruche…

Et BAM ! Un jour on se prend un mur
D’un coup ! On subit…

Regardez le Covid… (j’aime pas dire LA covid, ça sonne mal)

Combien ont pris en pleine figure l’année 2020 ?
Pensant que tout allait ronronner comme d’hab…

Au menu :
perte d’emploi, chômage, télétravail, enfants H24, conjoint H24, séparation à la clé, pétage de plomb, kilos en trop…

Exacerbation des tensions et déséquilibres déjà existants

Abysse d’anxiété, de déprime et de stress

Soit on ne s’en relève pas.

Soit on rebondit et là… Grave remise en question pour beaucoup :

  • Prise de conscience de son rythme,
  • des besoins nécessaires à son équilibre,
  • des ingrédients de son bonheur (tiens, tiens… il en manque beaucoup !),
  • de ses priorités,
  • qu’on ne supporte plus son conjoint,
  • qu’on a fait des enfants pour les mauvaises raisons ou qu’on ne les voit pas assez,
  • que nos collègues ne nous manquent PAS
  • ou que le travail qu’on fait nous sort par les trous de nez !

 

Bref on se rapproche de sa Vérité et de l’ESSENTIEL !

Mais comme dans toute crise, malgré des évidences, on est en proie aux doutes.

Comment lever le voile et toucher sa vérité face à une situation ?

Comment savoir si ce que l’on vit est bon pour soi ou non ?

Comment décider d’opérer un changement afin de vivre une autre réalité plus satisfaisante ?

 

que faire ?

Que faire ?

La réponse est de savoir si ce que l’on vit est JUSTE.

J’aime la puissance de ce mot.
J’ai découvert que c’était d’ailleurs une notion importante dans le bouddhisme.

Comment sait-on si ce que l’on vit est JUSTE ?

Toute justesse pour soi se décèle grâce à deux indicateurs :

  1. la légèreté du corps
  2. la paix en soi.

Oui

La légèreté est l’absence de tensions physiques.
Et la paix est un état émotionnel serein et stable.

Centrez-vous quelques instants puis demandez-vous :
« Est-ce bon pour moi de continuer à vivre « ceci » ou « cela »,
ou de rester dans telle situation ? »

Et écoutez vos ressentis.

Vous saurez si vous êtes en paix et léger.

Mais j’entends déjà les « rabat-joie » dire : mais non, c’est n’importe quoi ! On est forcément mal devant un choix…

Je vous dis que non.
Ce sont les conséquences fantasmées de ce choix qui vous font éprouver de la peur, de l’angoisse…
Mais quand vous êtes simplement dans l’instant du questionnement et que vous écoutez le feedback immédiat : votre corps sait instantanément la réponse.

C’est léger et en paix OU Non.
Ensuite vous basculez dans la peur avec des projections.

Alors, si ce que vous vivez n’est pas bon ni juste pour vous : osez vous renouveler !

Que ce soit en changeant de travail, de métier ou en changeant de vie
Car un choix est bon quand il est bon pour vous.
Peu importe ce qu’en pensent les autres, qui voient les choses avec leurs filtres et leurs peurs…

Voilà.
Et allez-y franchement. (Pour vaincre les peurs je suis là aussi ;-))

Comme le dit Maître Yoda : « Fais-le ou ne le fais pas, il n’y a pas d’essai ».

Pour moi, l’année 2020 et la « période Covid » ont été charnières.

Non pas dans le sens d’un grand changement mais de la confirmation des choix déjà faits. 🙂
Oui, je suis plutôt de nature proactive. Mes esprits alliés m’y aident bien d’ailleurs…

J’ai créé mon métier il y a plusieurs années et non seulement il me plaît toujours, mais j’ai de plus en plus de clients.
Même pour des choses que je ne faisais pas avant… Mais j’en parlerai peut-être plus tard…

J’avais déjà développé les consultations à distance avant le COVID.
Et aujourd’hui j’enfonce le clou : je ne travaille plus que comme ça !

Ce choix va dans le sens de mon projet de vie et de respect de moi : pouvoir travailler de n’importe où et avec le moins de stress possible.

Et je sens que cette vie et cette manière de travailler est JUSTE pour moi.

Tout cela n’aurait pas été possible si j’étais restée dans la procrastination, l’aveuglement et la peur, si je n’avais pas brisé mes chaines.

Aujourd’hui je me sens plus alignée que jamais :
Avec ma nature, avec mon métier.

Et que c’est bon !

Je vous souhaite le même bonheur.

Ayez l’audace de vos rêves. Libérez vous et chevauchez le dragon !

 

Si en apparence faire un choix semble compliqué, il n’en est rien au fond. La solution est toujours de revenir aux fondamentaux : SOI. Les chamanes disent souvent « mon corps sait ». C’est une sage observation. Ecoutez-vous. Les réponses sont en vous. Et du moment qu’il y a un questionnement, on peut se demander si nous ne savons pas déjà qu’il y a un problème et que quelque chose n’est pas « juste »…

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Maryanne Manneville

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Quête de sens : signe d’éveil

Quête de sens : signe d’éveil

Mary Mann

De l’Ego à l’Etre

La quête de sens peut frapper à votre porte. Suite à différents événements extérieurs venus chambouler votre vie, des bouleversements intérieurs font émerger le besoin d’arpenter un nouveau chemin, de faire différemment. Cet éveil est plus ou moins rapide mais suit toujours une progression…

L’octuple noble sentier

 

Je ne suis pas adepte du Bouddhisme.

Pourtant, j’ai une affinité avec cette foi.

Récemment, j’ai découvert la notion de « l’octuple noble sentier » avec étonnement…

Ce chemin que l’être humain arpente, qui est le juste milieu entre :
-d’un côté la poursuite de la libération par la domination du corps/souffrance ;
-et de l’autre, la poursuite du bonheur par la recherche du plaisir des sens.

Et vous savez quoi ?

Ce « sentier octuple » ou dit autrement « Les huit droits chemins » fait partie intégrante des 37 éléments de l’Éveil qui sont les qualités/vertus nécessaires à atteindre par les pratiquants afin d’arriver à l’Éveil.

Qui dit « Sentier Octuple », dit 8 éléments.

Les voici dans l’ordre présenté par le Bouddha lui-même :

1. La vision correcte
2. La pensée correcte
3. Les paroles correctes
4. Les actions correctes
5. La profession correcte
6. La persévérance correcte
7. L’attention correcte
8. Le recueillement correct

Oui, vous avez bien lu : la profession correcte ou autrement dit les « moyens d’existence justes » ou la « profession juste ».

Intéressant non ?

Ainsi donc le fait d’exercer la « profession juste », celle qui nous correspond, participe à l’Eveil.

Ce point est vraiment très intéressant.

Car c’est justement suite à une élévation du niveau de conscience que nous sentons le besoin de changer de voie pour mettre plus de sens dans notre vie professionnelle.

Nous avons un appel, ainsi nous nous réveillons…

Nous nous éveillons 🙂

 

Les trois niveaux de conscience

En fait, il y a 3 niveaux de conscience. Les connaissez-vous ?

Ils ont été modélisés par Lucia Inserra (Université de la conscience-Brésil).

Ces 3 états permettent de bien comprendre ce par quoi une personne « endormie » passe soudain quand elle « s’allume » et recherche du sens.

 

1-La conscience altérée : Coincé dans l’Ego, l’Avoir et le Faire

 

L’être humain est dans un vide intérieur. Il se tourne donc vers l’extérieur pour se remplir. Il en est dépendant pour se sentir exister.

Il est toujours dans le FAIRE pour éviter le vide et la solitude. Il doit s’activer en permanence sous peine de se retrouver face à lui-même, son vide intérieur et à ses angoisses dont il ne sait pas quoi faire.

On voit bien ce genre d’individu faire tout le temps du shopping, c’est l’archétype parfait du consommateur compulsif et le rouage idéal du capitalisme.

Il n’a pas d’idéal de vie et erre sans réel objectif à long terme, à part acquérir du matériel et se distraire, se laisser diriger par ce que la société lui dicte.

L’individu n’est pas centré et pas vraiment ancré, sans base. Il est donc facilement déstabilisé.

Il est centré sur lui-même tout en n’écoutant pas ses besoins profonds insatisfaits… Il y a de l’incohérence entre ce qu’il pense, dit et fait.

Seul l’Ego dirige ses actions.

La personne est ballotée par ses émotions, est dans la réaction, la fuite, le jugement… Elle vit principalement dans le passé et dans le futur.

Elle ressent la séparation avec le monde et expérimente la dualité.

En général, ces gens ne prennent pas leurs responsabilités face à leurs actions : ils sont soit victimes ou bourreaux, agissant en vampirisme ou en persécution avec leur entourage.

 

2-La conscience intégrée : le point de bascule de l’Avoir vers l’Etre et du Soi vers le Tout

 

L’individu commence à découvrir son ETRE.

Il cherche ce qu’il y a à l’intérieur de lui-même, il prend conscience du Soi et se demande « Qui suis-je ? ».

On débute une auto observation de ses propres schémas et faiblesses. On hésite moins à demander de l’aide et on se justifie moins.
Un besoin d’intégrité émerge, le désir de ne plus se mentir.

L’individu apprend à s’aimer, à prendre ses responsabilités face aux événements.

Il est instable et peut perdre son centre durant cette transformation, mais son éveil a débuté…

La personne commence à vivre selon qui elle est. Elle s’engage dans sa vie en conscience, en faisant des choix conscients à la fois pour elle et les autres.

Elle vise des objectifs ainsi qu’un idéal de vie à long terme qui apparaît et elle chemine vers lui.

 

3-La conscience amplifiée : l’Etre dans le Tout

 

Arrivée à ce stade, la personne vit un état constant de conscience quelles que soient les situations. Elle vit surtout dans le présent et éprouve une confiance en la vie.

Elle vit l’Unité.

L’Ego se met au service de l’Etre et a le désir de protéger la Vie.

En plus de la conscience intégrée, il y a la conscience du Tout. Les décisions sont prises en fonction de Soi, du collectif et du Tout.

Tous les choix sont faits avec conscience (achats, nourriture…).
Il y a de la cohérence entre ce qu’on pense, dit et fait.

On acquiert la conscience que les autres sont dans leur vie pour évoluer et l’acceptation de « ce qui est » se développe.

On accepte que de situations puissent nous échapper et qu’on fait juste de son mieux à son niveau.

Cette compréhension s’acquiert dans la dimension matérielle ancrée et non dans une fuite éthérée.

La solitude est vécue comme une occasion de dialoguer avec Soi.

L’idéal devient le chemin et la personne se forge à travers son idéal, elle est incarnée et est à l’écoute d’autres plans.

La quête de sens apparaît quand l’être humain s’ouvre à son monde intérieur et au monde extérieur en conscience. Il s’interroge sur la portée de son action, sur le rôle qu’il peut jouer et son impact. C’est un signe d’éveil. Cet éveil peut effrayer d’abord car il crée de la confusion et peut chambouler notre existence. Mais il ne faut pas le craindre… Se faire accompagner (comme lors d’un bilan de compétences spirituel) pour répondre avec pertinence à cet appel, est déterminant. Ainsi, l’individu peut se remettre au centre sereinement afin de faire émerger qui il est véritablement pour aller vers un renouveau salvateur et une vie épanouissante. 

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Reconversion pro et famille : oser se réaliser ou se sacrifier ?

Reconversion pro et famille : oser se réaliser ou se sacrifier ?

Mary Mann

Quand l’entourage nous met face à un dilemme

Quand on aspire à changer de vie, il est souvent difficile de faire des choix. D’autant plus quand on n’est pas seul à être impacté. Conjoint, enfants… On peut se sentir vite pris au piège et condamné à poursuivre tête baissée sans rien changer… Pire, on imagine que faire un choix rime forcément avec perdre quelque chose ? Mais n’y a-t-il vraiment aucune autre voie que de se résigner et de voir le pire ? Se choisir ou se sacrifier, comment sortir du dilemme ?

Je me souviens.

C’était après un séminaire de développement personnel que j’avais suivi en Normandie…

Il faisait nuit et j’étais sur l’autoroute pour rentrer chez moi.

Alors que je roulais sous des trombes d’eau qui rendaient ma radio inaudible, mes pensées me ramenaient à Jérôme.

Un des participants.

Un bon gars, sensible, gentil.
Un praticien de santé.

Durant une des pauses entre deux sessions, il s’était mis à me parler de sa souffrance à ne pas trouver sa place professionnelle.

Il aimait son métier mais pas au sein de la structure dans laquelle il l’exerçait.

Au départ, il avait choisi son métier car il voulait soulager la douleur.
Or, là où il travaillait, ce n’est pas ce qu’il faisait…

Il aspirait à faire autre chose.
A retrouver son alignement professionnel en créant une structure dédiée à la douleur.
D’y intégrer le yoga…

Mille idées fusaient alors qu’il avait le regard rêveur, brillant mais humide.

En effet, quelque chose était bloqué en lui.
Il avait une énorme colère… contre lui.

Car il n’osait pas :

  • S’honorer,
  • Faire des choix Bons pour lui,
  • Accéder à son pouvoir et à son énergie créatrice.

Il n’osait pas non plus confier son désarroi à son entourage.

A l’entendre,
Son épouse était heureuse, là où ils habitaient
Lui : non
Son enfant était bien, là où ils habitaient
Lui : non

Lui, il avait envie d’habiter plus près de Paris, vers Rambouillet, sa forêt…
Et il me dit : « Tant qu’on est ensemble avec ma femme, on reste là »

Puis il avait rajouté : « c’est soit, je pars quand je serai tout seul, soit on reste là ensemble ».

(outch ! Ça sent pas bon…)

 

Ainsi, il définissait sa vie en fonction de l’autre et de ce qu’il croyait de la situation.
OUI

Car, il ne semblait pas avoir demandé à sa femme, VRAIMENT, si elle était prête à faire des compromis.

Il ne parlait pas de sa souffrance tapie à l’intérieur de lui.

En fait ! Il apparaissait qu’il n’avait pas essayé d’imaginer « une autre voie » !

Il restait dans des extrêmes manichéennes qui le bloquaient et l’empêchaient d’imaginer autre chose.

Elles l’empêchaient de créer son modèle de bonheur, d’oser formuler un autre projet de vie.

Rien qu’à l’idée d’évoquer son projet, il avait peur de blesser son entourage, de faire du mal à ses proches, qu’ils soient malheureux A CAUSE de lui.

Alors il enfermait toute cette envie dans son cœur.
Il s’empêchait de vivre et d’être heureux.

Des larmes emplissaient ses yeux, rien que d’en parler.

 

Et si une autre voie était possible ?

 

En attendant, c’était à lui qu’il faisait du mal.

En attendant, les années passent.
Et comme le disait Khalil Gibran : la vie ne s’attarde pas avec hier…

Non

Ce qui amène à se poser des questions légitimes :

  • faut-il se sacrifier et renoncer à ses projets A CAUSE de l’autre ?
  • Faut-il baser ses choix entièrement sur ceux de la famille ?
  • Ou tenter de réaliser ce qui nous appelle, même si cela veut dire faire des concessions voire casser quelque chose ?

Le problème est avant tout que les gens s’imaginent toujours PERDRE quelque chose en faisant un choix.

Ils se retiennent d’agir par pure peur de rompre « l’équilibre » de cette vie qu’ils ont mis en place, et qui aujourd’hui les étouffe.

Ils font des hypothèses castratrices sur leur entourage et des conjectures sombres sur l’avenir…

Mais tant qu’ils laisseront la peur diriger leur vie et leur mental leur servir des films catastrophes, ils ne sortiront pas de cette impasse.

Il n’y a qu’une seule solution : en PARLER et se faire aider pour surmonter les peurs fantasmées et les croyances limitantes qui vous brident.

Vous pourrez ainsi gérer vos émotions négatives et délier votre langue avec votre entourage.

En travaillant sur vous, vous serez capable de changer votre vision et de sortir du dilemme. Faire des choix bons pour vous. Vous respecter et oser.

Car tôt ou tard, cette pression et cette fracture intérieure sera insupportable.

En tous cas, il y a une chose que je sais.
C’est qu’on nait seul
Et qu’on meurt seul…

Que la vie passe à une vitesse folle, et la jeunesse encore plus.

A la fin de ta vie, c’est toi, Dieu (ou la source).
Et c’est tout.

Que se dira Jérôme à la fin ?
Tant d’années gâchées, de regrets, à se retenir de vivre et d’écouter son cœur ?

Et TOI, que te diras-tu… A la fin ?

 

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

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Remettre la Vie au centre

Remettre la Vie au centre

Mary Mann

Il serait temps !

Fin février 2020, j’étais à Toulouse.

J’assistais à un symposium de l’INREES « Nature extraordinaire – vers une écologie spirituelle »

Parmi les intervenants, il y avait notamment mon cher formateur en chamanisme, Laurent Huguelit – auteur de « Mère », ainsi que Satish Kumar auteur du livre « Vers une écologie spirituelle ».

Plongée dans le noir, j’observais l’amphithéâtre plein à craquer !

Les lumières bleues, vertes, soigneusement réparties, diffusaient une ambiance intimiste et mystérieuse.

Sur la scène, des végétaux disposés donnaient l’impression de se trouver dans la nature.

Après l’introduction de Stéphane Allix, Laurent Huguelit – premier intervenant – surgit soudain des végétaux sur la droite de la scène.

Il s’installa tranquillement, se déchaussa pour mieux s’ancrer et se mit à parler de son amour pour la Nature et la forêt.

Combien il était important de recontacter le lien avec la Mère nourricière, afin notamment de retrouver notre âme Humaine mais aussi tout simplement de survivre…

L’esprit de la Terre lui avait parlé et nous mettait en garde. 

 

Puis, ce fut le tour de Satish Kumar, un ancien moine octogénaire infatigable 😉

Il débordait de vie, d’énergie et d’agilité intellectuelle. Son dernier ouvrage s’intitulait « Vers une écologie spirituelle ».

Il invitait chacun à s’engager dans une action, un métier au service du collectif et qui préservait la Terre.

Ses paroles fusaient dans l’air, toutes plus pénétrantes les unes que les autres. Son enthousiasme se communiquant à la foule.

Même le fait d’avoir une traductrice n’enlevait rien au dynamisme et à la profondeur de son propos.

Toute l’assemblée buvait les paroles des intervenants, y adhérait et je nous sentais tous unis autour de ces belles valeurs partagées.

Mon cœur était empli de joie, du fait de voir tout ce que je pensais et ressentais, verbalisé sur scène par d’autres.

 

La pandémie de Coronavirus commençait alors à pointer le bout de son nez en Europe.

Mais nombreux étaient ceux qui ne pouvaient imaginer ce qui se profilait (et ce qui est bien présent à l’heure où j’écris ces lignes).

 

Car ça y est nous y sommes : l’effondrement, le grand huit, la grande purge, le crach, le Corona Krach comme s’en amusent les journalistes.

Tout y passe, crise sanitaire, financière, sociétale…

C’est une glissade sans fin…

Même le cours de la Bourse chute à la manière d’une balle de tennis qui descendrait un escalier et rebondirait, encore, et encore… plac… pluc… ploc…

Avant de s’arrêter tout en bas contre le mur.

 

Mes chers lecteurs, nous vivons la fin d’une époque.

Notre système déjà moribond depuis plus de dix ans est aujourd’hui à terre.

Mais au milieu de ce chaos que je contemple, quelque chose en moi ne peut s’empêcher de se réjouir…

Oui, car dans tout effondrement, il y a une promesse.

La promesse d’une transformation, d’un renouveau.

Nous sommes aujourd’hui brutalement remis face à l’essentiel. Même notre Président l’a dit !

Ouh lala ! Aurait-il eu une épiphanie ?

 

Nous sommes remis face à ce qui aurait dû être notre seule préoccupation depuis toujours et qui aurait dû être mis au centre de notre système sociétal : LA Vie.

Il ne s’agit pas simplement de vie humaine.
Je parle du principe de Vie qui englobe la vie sous toutes ses formes.

Depuis le début de mon activité entrepreneuriale, fatiguée par la « folie » de ce monde, j’ai eu à cœur de remettre la Vie au centre.

A commencer par MA vie. Ma santé. 

Puis la Vie, au travers du sens de mon action pour la société.

J’ai voulu que Tout soit en cohérence, aligné et au service de la Vie.

 

Bien sûr, tout n’est pas parfait, mais je fais de mon mieux chaque jour pour suivre ces 3 principes :
• Respecter la Vie,
• Nourrir la Vie,
• et s’Abandonner à la Vie,

Afin de remettre la Vie au centre dans ce monde, je vous invite à faire de même dans chacune de vos actions.

 

Respecter la Vie

Qu’est-ce que cela veut dire ?

Tout d’abord, posez-vous la question : où sommes-nous ? Sur Terre.

Qu’est-ce qui est apparu sur la Terre ? La Vie.

Qui sommes-nous ? Des êtres humains. Des êtres vivants faisant partie de la Nature.

Et de quoi dépend notre vie ? De la bonne santé de cette Terre et du maintien de la Vie à sa surface.

Nous sommes en train de découvrir brutalement que respecter la Terre et son écosystème est essentiel si nous voulons survivre.

Car c’est d’elle que provient :

  • TOUT ce qui est dans notre assiette
  • et TOUT ce que nous consommons,

 

La Vie a des règles. Elle a un début et une fin. Elle est aussi synonyme de diversité.

L’humain a trop tendance à se croire supérieur ou extérieur à elle.

Il ne peut pas s’en extraire, ni la dompter sous prétexte d’améliorer son profit, sans en payer les conséquences.

Non, nous pouvons seulement y adhérer, y participer tout en respectant les règles du jeu.

Car une goutte d’eau dans une rivière ne va pas dicter ses règles au fleuve…

 

S’il tient à survivre, l’Humain ne peut pas non plus tuer sa mère.

A moins de se comporter comme une tumeur cancéreuse qui finit par tuer son hôte – mais elle aussi y passe, au bout du compte.

On dit bien de ne pas mordre la main qui nous nourrit…

Ou comme me l’a dit un jour un Anglais avec beaucoup de franchise et d’humour (attention aux oreilles sensibles) : « Don’t shit in your own backyard ! »

Traduction : « Ne chiez pas dans votre propre arrière-cour » ;-/

Ou nous finirons emportés avec l’eau du bain… Et par manger nos déchets (c’est déjà le cas… plastique, pesticides, radioactivité dans l’eau, produits chimiques, etc.)

 

Car oui, la Vie sur Terre se joue dans un gigantesque circuit fermé où tout nous revient en boomerang un jour.

L’eau que nous buvons est tombée du ciel des milliards de fois, a été bue par les dinosaures, des hommes…, qui l’ont éliminée, puis elle a été absorbée et filtrée par le sol, bue puis évaporée par les arbres… again and again. A l’infini.

Aujourd’hui, le circuit fermé infini continue, mais avec des petits cadeaux en plus généreusement distribués par l’Homme ! 🙂

  • Hummm, c’est quoi ce goût ?
  • Tiens les poissons deviennent hermaphrodites ?
  • L’infertilité humaine augmente ?…
  • oO

Respecter la Vie signifie également être en harmonie avec le vivant de tout bord : animaux, insectes, flore, humains.

L’Homme fait partie de la Vie, de la Nature. Il n’a aucune supériorité.

Chaque espèce a droit à un espace pour vivre en harmonie avec les autres. Au lieu de cela, nous assistons à l’atrophie des espaces naturels. La faune souffre et nous nous mettons nous-mêmes en danger en étant de ce fait, au contact de virus dangereux et en détruisant l’écosystème.

 

Respecter la Vie veut dire aussi de mettre de la conscience dans nos actions.

Par exemple, quand on mange de la viande.

Faut-il diaboliser les mangeurs de viande ? Malgré mon amour pour les animaux, je ne le pense pas car tout le monde ne peut pas être végétarien (parlez-en à un médecin ayurvhédique ou chinois…).

Mais respecter la Vie veut dire que si on mange de la viande, il est louable de d’abord :

  • en manger raisonnablement,
  • choisir quelle viande on mange (mode d’élevage et d’abattage),
  • de remercier la Nature pour ses bienfaits,
  • puis d’avoir du respect pour l’animal de qui on prend la vie,
  • remercier en conscience tous les intermédiaires qui ont permis que cette viande arrive dans notre assiette
  • et enfin d’honorer la viande.

Il en va de même pour les vêtements à base de cuir comme nos chaussures. Remercions en conscience l’animal et la Terre d’où ils proviennent.

L’Homme se doit de faire le maximum pour respecter la Vie au cœur de ses actions quotidiennes.

Je vous invite donc à vous poser ces questions :
• Que puis-je faire pour respecter la Vie d’avantage dans mon existence ?
• Par mes décisions, par mes actions, au quotidien : que puis-je faire pour respecter la Vie qui est en moi et la Vie autour de moi d’avantage ?

 

Il peut s’agir de votre santé : en prenez-vous suffisamment soin ? Ecoutez-vous ce que vous dit votre corps souvent malmené ?

Ou vous croyez-vous supérieur dans votre tête au point de penser qu’il va pouvoir continuer tel un robot sans sourciller ou telle une bourrique qu’on cravache, tout droit vers le burn-out ?

Vous pouvez acheter votre viande directement à un éleveur qui fait de l’élevage à petite échelle, écologique, avec des animaux heureux et bien traités.

Ou je vous invite encore à ne pas tirer toute la couverture à vous.

Ainsi, vous pouvez respecter la Vie des autres formes de vie autour de vous en acceptant de partager.

Dans une certaine mesure, faites des offrandes aux animaux, nourrissez les oiseaux, les hérissons… au lieu de vouloir à tout prix punir et tuer celui qui a mangé des fruits et légumes dans votre potager… Une taupe a fait des monticules sur votre pelouse ? Et alors, ça va vous tuer ?

Pour reprendre la déclaration limpide d’un maraîcher biologique vu à la TV : « Dans la Nature, chacun prend sa part, sans nuire à l’ensemble ».

Or les indiens d’Amérique, dégoûtés par le pillage/saccage des ressources de Terre-mère par les Hommes Blancs et leur individualisme, n’ont-ils pas fini par les appeler ceux qui prennent ?

Alors donnez mes amis ! L’Homme n’est pas le seul à avoir le droit de vivre !

 

 

Redonnez à la Vie un peu de ce qu’elle vous donne gratuitement chaque jour. En Amérique du Sud, la première gorgée de chicha n’est-elle pas offerte avec déférence à la Pachamama ?

Mais vous pouvez également commencer par honorer votre nourriture. Ce sera déjà bien !

Loin des bondieuseries du bénédicité, il est intéressant de retrouver le respect du travail de tous ceux qui ont contribué à ce que vous puissiez manger votre nourriture, à commencer par la Nature qui donne sans compter. Et d’honorer la vie de l’animal dont vous mangez peut-être la chair.

Je vous invite donc à retrouver le sens de la gratitude et du respect !

Cela est valable aussi pour le monde professionnel. Chaque manager, chaque collaborateur… Mais aussi chaque entreprise devrait s’interroger à tous les niveaux de ses process de production pour savoir si elle respecte la Vie ? Depuis sa raison d’être jusqu’aux sites d’extraction, de production, de commercialisation…

 

Nourrir la Vie…

… D’abord en soi

Nourrir la Vie de joie, de santé, d’amour, de choses positives…

En ayant des relations sociales de qualité, en prenant soin de sa santé physique et psychique, en s’aimant assez pour se donner du bon et se faire du bien, en refusant ce qui nous détruit.

On nourrit aussi la Vie quand on garde le lien avec la Nature et que l’on vit en harmonie avec elle.

En chamanisme, l’harmonie et l’équilibre en l’Homme mais aussi entre l’Homme et son environnement sont des principes clés.

Malheureusement, la jeune génération est souvent déracinée et a perdu le lien avec la Nature, sa mère.

Combien de Smombies marchent les yeux rivés sur leur téléphone portable au point d’en avoir des accidents ? Combien s’abrutissent sur des jeux vidéo… ?

Beaucoup de travailleurs deviennent malades car enfermés dans un bureau toute la journée ou en usine en 3×8 , travaillent de nuit…

Or, il est prouvé que la Nature joue un rôle essentiel dans la santé psychique et physique, ne l’oublions pas.

Alors cessons de vivre et de travailler en abîmant notre santé, en ne respectant pas le biorythme de l’Homme ou en grandissant hors sol.

 

… Autour de soi

Nourrir la Vie s’incarne aussi dans le fait d’accomplir quelque chose qui a du sens et qui nous comble de joie.

Comme le dit Satish Kumar : le sens de la Vie est de trouver la joie.

Comment ?

Selon lui, notre activité professionnelle doit avant tout préserver la Nature, puis nourrir notre âme, et enfin être au service du monde.

Pour ma part, j’irais plus loin justement en remplaçant le terme de Nature par celui de la Vie.

Alors, nourrissez la VIE dans vos choix, à commencer par vos choix de consommation.

 

Devenez un consom’acteur :
• Qu’est-ce que j’achète ?
• D’où cela vient ?
• Qui je soutiens et quel choix de société est-ce que je cautionne en achetant tel produit ?

Par exemple, saviez-vous que la population des éléphants asiatiques du Laos ne dépasse pas les 1000 individus et qu’ils ne reproduisent plus ? Autrefois, le Laos était appelé le pays au million d’éléphants… En plus d’être isolés à cause de l’invasion et du morcelage de leur milieu de vie par l’Homme, les éléphants sont épuisés. Ils servent de bête de somme à l’industrie du bois exotique comme le Teck, qu’ils sont forcés d’aller chercher sur des terrains toujours plus dangereux. Ils n’arrivent plus à se reproduire…

Je vous pose la question : cela vaut-il le coup d’acheter des couverts ou des meubles en teck, au prix de cette destruction et de cette souffrance ? Sans parler des milliers de kilomètres parcourus pour arriver jusqu’à nous ? N’y a-t-il pas assez de bois dans notre pays ?

Pour nourrir la Vie autour de vous, vous pouvez aussi contribuer à des associations qui soutiennent des causes importantes à vos yeux.

Et par pitié, pensez aux animaux ! Ils sont trop souvent oubliés au profit d’actions exclusives pour les humains…

 

Alors pour nourrir la Vie autour de vous, je vous invite à vous poser ces questions :
• Que puis-je faire pour trouver la joie dans ma vie et ainsi nourrir la Vie ?
• Est-ce que je nourris la Vie en moi par mon travail et mon mode de vie ? Ou bien mon travail me rend-il malade ?
• Et est-ce que je nourris la Vie autour de moi par mes actions, par mon travail : détruit-il la Vie autour de moi ?
• Est-ce que la Vie pourrait se passer de mon travail ? Si mon travail disparaissait, quelles en seraient les conséquences ?
• La Vie est-elle au cœur de mon action ? En quoi suis-je au service de la Vie ?

Ces questions sont intéressantes à se poser, que vous soyez simple citoyen, mais aussi entrepreneur ou gérant de société, dirigeant aux commandes de l’Etat.

Car si notre société veut s’en sortir, elle doit remettre la VIE au centre et donc remettre le Sens du travail humain et le Sens de la vie au premier plan.

 

Managers, entrepreneurs, dirigeants, salariés… Tous doivent remettre la Vie au centre.

Car à quoi rime de continuer à voir l’être humain comme un simple outil de production dans un système libéral dont la seule finalité n’est que de maximiser le profit ??

Le travail n’est pas une finalité, il n’est qu’un moyen. Mais pour produire quoi ? Posez-vous la question !

Si vous réfléchissez et que vous remontez à la source de toute action humaine : seul ce qui est en lien avec la Vie est important.

Tout ce qui est vraiment utile à ce monde, les métiers essentiels, sont ceux qui nous permettent de continuer à vivre, ceux qui nourrissent la Vie finalement.

 

 

Cette société moderne a perdu depuis longtemps le lien à la Vie.

Elle a sacrifié l’intérêt suprême sur l’autel productiviste et libéral au point de mettre en péril sa propre survie !

A commencer par la gestion des hôpitaux et de la filière de santé. Quelle belle débâcle durant la crise du Covid-19 !

Comment peut-on décider de gérer des établissements de santé selon des critères de rentabilité et en flux tendu, que l’on applique dans des magasins ?

Comment peut-on soigner des malades en leur donnant de la nourriture « morte », sur-cuite et avec pesticides inside, au nom des fameuses normes d’hygiène ? Cette même nourriture qui finit souvent à la poubelle car elle n’a pas de goût… Tout le monde connaît la réputation de la nourriture d’hôpital !

Que dire de toute la chaîne de production des biens industriels ?  De l’obsolescence programmée ?

Et comment, quand on est sain d’esprit, peut-on concevoir un produit avec des composants qui ont été produits en polluant, qui pour la plupart abîment notre santé et ne sont pas recyclables au final ?

Nucléaire, plastique, mélaminé, couche-culottes, pesticides, sable bitumeux, pillage du sable des plages pour faire du béton, des aliments qui font des milliers de km au nom du sacro saint « moins cher »…

Les gens croient-ils que leurs déchets se vaporisent une fois à la déchetterie alors qu’au final la plupart sont enterrés ?

La folie s’est emparée de l’Etre humain « civilisé ».

Depuis quand Homo detritus nourrit-il la Vie ?

 

S’abandonner à la Vie

Combien d’entre nous ne vivent que dans la peur, parfois inconsciemment ?

Peur de perdre son travail, Peur de manquer d’argent, Peur de mourir, Peur de vivre… ?

Tous vos choix sont-ils dictés par un « Non », « Et si ? », « Oh mon Dieu !»

Quand vous observez cela en vous, vous vous rendez compte qu’il n’y a que deux attitudes possibles et qui sont à la source de toute décision : l’amour ou la peur.

Et s’il était temps de se rappeler que le principe de la Vie, c’est le changement et l’évolution ?

Et s’il était temps d’arrêter de souffrir en résistant de toutes ses forces à un saut inévitable au bout du compte ?

Et s’il ne suffisait que d’accueillir le changement pour embrasser la vie enfin ?

 

 

Chaque période de crise (comme celle du confinement) nous met toujours face à nos dilemmes, nos questionnements, nos luttes intérieures que nous avons repoussées jusque-là, ne sachant trop qu’en faire…

Et à l’issue de ces moments critiques, se trouve toujours une transformation, un repositionnement, des choix nouveaux.

Alors, quels changements votre âme appelle-t-elle de ses vœux ?

 

Je vous invite à vous poser ces questions :
• Qu’est-ce qui m’empêche de m’abandonner à la Vie ?
• Qu’est-ce que je ne veux plus, que je veux lâcher pour m’abandonner à la Vie ?
• De quelles peurs ou quelles croyances dois-je me libérer pour suivre le courant de la Vie, suivre l’appel de mon âme et de mon cœur, apporter ma pierre à l’édifice ?

 

En un sens, réjouissez-vous du changement qui s’annonce, de l’effondrement de ce système à bout de souffle et inhumain.

Comme Rémi, cet ancien informaticien qui a quitté son emploi et s’est mis au vert dans le Cantal.

Il est collapsologue. Cela signifie qu’il est convaincu de l’effondrement imminent de notre civilisation. Au micro de France 2, il déclare :

« On va passer une période qui ne sera certainement pas drôle, mais c’est passionnant de se dire qu’on va peut-être participer à la reconstruction d’une nouvelle civilisation… Notre société nous a déconnectés de la Terre. Et là, on est en train de se rendre compte qu’on a atteint les limites, donc on va devoir se reconnecter à la Terre… Ça c’est forcément quelque chose d’intéressant et on va reconstruire… Donc c’est quand même passionnant ! »

Alors sautez dans la piscine mes amis !

 

Engagez-vous dans quelque chose qui a du sens, qui nourrit la Vie et vous comble de Joie.

Repensez vos actions, votre activité professionnelle, vos choix.

Interrogez-vous sur ces trois axes :

Respecter la Vie – Nourrir la Vie – S’abandonner à la Vie

 

Ne vous inquiétez pas, l’existence humaine n’est qu’un jeu cosmique. Vous pouvez expérimenter.

Non, vous n’allez pas mourir si vous tentez quelque chose de nouveau, si vous changez et allez vers l’inconnu. Un inconnu riche de renouveau.

Comme le dit Patricia Darré : « N’ayez pas peur de la vie » !

Il vous appartient de poser des actions pour devenir celui que vous voulez être au service du monde. Et cela peut déjà être dans l’engagement associatif ou dans un nouveau métier, voire les deux.

Vous pouvez changer car cela est dans l’ordre des choses… La Vie le veut !

 

Nous sommes à l’aube d’un changement majeur de société.

Nous avons tout un modèle sociétal à repenser et à rebâtir, en mettant la Vie au centre.

Jacques Attali l’appelle « l’industrie de la vie », au service de la seule et meilleure société possible : une société altruiste et empathique, qui placerait la Vie, la culture, la santé, l’environnement… avant le profit.

Nous sommes à un carrefour : soit nous prenons la tangente pour s’engager dans un nouveau modèle de développement, soit nous retournons à nos errements consuméristes à tout va… Soit nous revoyons notre échelle de valeurs, soit nous continuons à danser sur le pont du Titanic.

Quoique l’Homme décide, le monde ne sera assurément plus le même après la crise du Covid-19.

Pourtant, nombreux sont ceux qui ne mesurent pas encore la portée de cet événement. Ceux qui font encore des vidéos potaches sur FB et s’amusent tels des enfants découvrant l’école buissonnière, risquent fort de se réveiller avec la gueule de bois.

Oui, l’arrêt brutal de l’économie aura des conséquences graves…

Mais peut-être provoquera-t-il aussi un sursaut plus que nécessaire ?

Conjugué au confinement obligatoire, il va être immanquablement pour beaucoup, l’occasion d’une remise en question profonde de leur vie et priorités.

Il va être aussi le théâtre de prises de conscience salutaires. Et de cette introspection forcée pourra naître un désir de transformation viscéral.

Il appartiendra alors à chacun de privilégier l’essentiel, de monter dans le train à son niveau et de lui faire éviter le mur, au lieu d’attendre un miracle face à l’inévitable.

J’entends souvent dire : « Il faut sauver la planète ! »

Hélas ou plutôt heureusement : non !

La planète en a vu des vertes et des pas mûres. Elle nous survivra TOUS, même avec une petite indigestion nucléaire et chimique.

C’est surtout la Vie à sa surface que nous devons sauver, nous inclus !

Chaque crise est une merveilleuse occasion de croissance et donc de transformation.

Suivez la Vie en vous. Suivez son appel. 

Il est temps.

Car nourrir la Vie et la suivre débouche forcément sur de la Joie.

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

-Thérapie brève

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

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Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

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Ennui au travail, une histoire de famille ?

Ennui au travail, une histoire de famille ?

Mary Mann

Fidélité familiale, quand tu nous tiens !

S’ennuyer au travail. N’est-ce pas un comble ? Comment peut-on accepter de s’ennuyer dans une activité qui nous occupe une bonne partie de notre vie ? Pourtant en 2019, six Français sur dix déclaraient s’ennuyer au travail. Et parmi eux, un tiers ne trouvaient vraiment aucun intérêt à leur travail. Erreur de casting ? Erreur d’orientation ? Bullshit job ? Quand certains se sont trompé de voie, d’autres se laissent simplement porter par la vie et finissent par échouer au hasard quelque part… par opportunisme. Mais d’autres se plient carrément à la pression familiale…

Laissez-moi vous compter l’histoire du mystérieux Modigliani barbu

 

L’aut’jour, j’ai regardé TébéSud

– Tébé Quoi ?! Vous voulez dire Teubé ?

Mais non ! 😄 La chaîne bretonne locale ! Sur le canal 33 !

Elle s’appelle TébéSud.

Je suis sûre que ça vous arrive aussi dans des moments d’égarement télévisuels… De finir sur des chaines improbables et locales 😳

Où on tombe sur des reportages du terroir, avec des présentateurs au charisme d’un hareng mort.

Et des sujets de reportages qui stimulent notre curiosité autant que notre appétit le serait par du poisson froid cuit de la veille et qui attend dans le frigo !

 

Hier, c’était un de ces moments-là… Juste après la 27, infos en continue… Oups, trop loin ! Mon doigt a ripé

Et je suis tombée sur un reportage sur la DNCS de Lorient, là où on fabrique des navires…

  D’habitude je re-zappe direct mais là, inexplicablement, quelque chose a piqué soudain ma curiosité.

 J’étais aimantée !

  C’était dans l’atelier de l’usine. Machines énormes en arrière plan. Chalumeaux et tout. Un ouvrier mécanicien était interviewé.

  Il respirait la joie de vivre.

 

Il ressemblait à un Modigliani barbu. Genre « sans vie »… Son visage morne me captivait.

 

Muf ?

 

Et malgré moi, je me suis mise à écouter en bruit de fond ce qui se disait…

Le journaliste : « Ton père travaillait ici ?

Ouvrier Modigliani : Oui, il travaillait ici

Le journaliste : Et est-ce que tu savais concrètement ce qu’il faisait à l’usine ?

Ouvrier Modigliani : Ah oui, oui – petits hochements de tête sans conviction – Il me racontait ce qu’il faisait.. Baaaaah, ça m’a plu… (je ne mets même pas de point d’exclamation tant c’était enthousiaste !) Suite à ça, j’ai voulu suivre un peu la même branche dans la mécanique navale, quoi. (regard morne)

 

Un ange passe et soudain, c’est plus fort que lui, il rajoute : Faut pas décevoir la famille.

Le journaliste : Ah ? La famille ?… – il cherche des précisions

Ouvrier Modigliani : Parce qu’il n’y a pas eu que mon père ici. Il y a eu mon frère et y’a actuellement mon cousin. C’est une histoire familiale.

Le journaliste : Donc il faut être à la hauteur alors ?

Ouvrier Modigliani : Alors… P’têt pas que j’irais jusque-là. Mais euh, c’est une suite logique quoi. Montrer qui on est…

(Moi : oO)

Le journaliste : Euh d’accord… – il a l’air dubitatif quand même, il cherche à poursuivre – Donc vous êtes une lignée d’ouvriers quoi ?

Ouvrier Modigliani : Oui, oui on peut dire ça. C’est toujours bien de suivre un peu ce qu’ont fait nos parents, quoi. Et de continuer… Même lui mon père, je pense qu’il est fier de moi…

Le journaliste : Ah oui ?

Ouvrier Modigliani : Oui, oui… Il ne le dit pas mais je pense qu’il est fier.

Le journaliste : Il te demande de raconter ce qu’il se passe justement ?

Ouvrier Modigliani : … Ah ? Comment ça se passe ? (il comprend la question à retardement) Oui – petits hochements de tête – Oui, oui. Il me demande comment qu’c’est, avec ses anciens collègues de boulot. Un p’tit résumé toutes les semaines, quoi… (non non, toujours pas de point d’exclamation !)

Le journaliste : Ah oui, quand mêêême… dit-il en ralentissant la voix

Ouvrier Modigliani : Et puis moi aussi, je suis fier de lui raconter, comment ça va l’chantier…

Un ange passe. Suspension du temps fugace.

Et LÀ… La question qui tue !!!

Le journaliste qui est sûr d’avoir ENFIN percé le secret de ce Modigliani barbu, se lance tout sourire et la voix vibrante :

Le journaliste : « T’es heureux tous les matins quand tu vas bosser ? »

Le couperet tombe

Ouvrier Modigliani : « Heureux ? Nan… Je viens travailler en fait. Voilà. Je viens juste toucher mon salaire« 

Fin de l’interview du Modigliani barbu.

 

Et bam ! 😳 La mâchoire m’en est tombée.

Je crois que si vous aviez vu mon visage, vous auriez ri !

Les yeux écarquillés et la moue de De Niro : Gloups !

Nan, mais sérieux ?

La phrase qui glace le sang : « Faut pas décevoir la famille »

 

Et vous ? Vous avez choisi votre métier comment ?

Pour pas décevoir la famille ? Pour faire plaisir aux parents ? Pour échapper au chômage ? Ou pour contribuer au monde en utilisant vos talents ?

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Peur de changer de travail : ce qu’elle cache vraiment et qui vous empêche de partir

Peur de changer de travail : ce qu’elle cache vraiment et qui vous empêche de partir

Mary Mann

Vous en avez marre de votre travail. Vous ruminez depuis des lustres. Vous aimeriez trouver le courage de partir et d’amener un changement. Mais rien n’y fait, vous n’arrivez pas à trancher, ni même à faire un bilan. Tout freine en vous et les années passent… Vous êtes bloqué. Vous n’êtes pas seul à vivre cette situation pénible. Or, la peur n’est qu’une conséquence émotionnelle qui découle d’autre chose. Découvrez ce qui ce cache derrière votre peur, la VRAIE raison qui vous empêche de partir et comment sortir de cette impasse, en vidéo !

Transcription

« Salut, salut ! C’est Mary Mann.

Aujourd’hui, je vais vous parler de la vraie raison qui fait que vous n’arrivez pas à quitter votre travail.

Même si votre job, vous en avez ras la casquette, que vous ne pouvez plus le voir en peinture, que vous vous ennuyez, que vous avez juste envie de partir en courant…

Et pourtant, vous y restez !

Et comme ça en fait, vous pouvez être dans ce marasme intérieur et ce questionnement éternel « je pars, je pars pas » pendant des années.

Et ça peut même durer toute une vie !

Donc la vraie raison qui fait que vous ne passez pas à l’action : qu’est-ce que c’est ?

Vous allez tout de suite me dire : c’est l’argent !

Eh bien, laissez-moi vous dire que non, ce n’est pas l’argent.

Parce qu’en fait, quand on se penche vraiment sur la question, il y a surtout en France, tout un tas de possibilités de quitter son travail.

C’est de plus en plus facile et accessible. On n’est pas pieds et poings liés comme avant.

Il y a la rupture conventionnelle qui a énormément fluidifié les départs. Et qui permet d’avoir accès aux droits au chômage qui sont quand même assez avantageux en France, qui permettent de créer un projet entrepreneurial ou de rebondir vers autre chose.

En tous cas, on n’est pas tout de suite sous les ponts !

Parce qu’en fait, c’est ça qui se passe. Vous avez peur au premier abord, vous vous dites : « Ben oui ! J’ai peur de le quitter mon travail ! Elle ne m’apprend rien Maryanne ! »

Mais en fait, pourquoi vous avez peur ?

C’est pas la vraie raison. La peur n’est qu’une émotion, c’est une conséquence, une émotion c’est une réaction émotionnelle à quelque chose qui se passe ou que vous pensez qu’il se passe.

Donc la peur, c’est juste la façon que vous avez de réagir à ce que vous pensez être la réalité.

Et la réalité, elle n’est pas dictée par un manque d’argent ou quoique ce soit. Elle dépend de :

  • votre conception de la vie et du monde
  • votre conception de vous-même
  • votre conception de vos capacités à trouver des solutions, à rebondir, à être capable d’aller vers un autre projet professionnel

Et tout ça, c’est lié à VOTRE HISTOIRE.

Le fait que vous puissiez changer de travail d’un claquement de doigt, que vous puissiez dire « Oh allez je me casse ! Hop, j’ai des crédits, et alors ? »

C’est que vous avez vraiment une confiance en la vie et une confiance dans vos capacités à rebondir.

Et c’est ça la vraie raison qui fait que vous n’y arrivez pas, que vous tournez en rond depuis des mois voire des années, à vous dire « Oh lala,  Pfff qu’est-ce que j’en ai marre ! » et au final, vous ne faites rien…

Vous n’arrivez pas à embrayer comme me l’a dit une cliente, vous n’arrivez pas à passer à l’action pour créer autre chose, et prendre des décisions importantes.

La vraie raison qui fait que vous n’y arrivez pas, ce n’est pas la PEUR mais :

  • votre conception de la vie
  • votre conception de vous-même
  • et du monde

C’est ce que vous croyez être vrai

 

Je précise mon propos

 

Si vous avez grandi dans une famille où on vous a donné confiance en vous. Où vos parents étaient des gens extrêmement fluides dans leurs décisions, qui n’avaient pas peur de l’avenir, qui étaient vraiment dans une LIBERTÉ D’ÊTRE.

Eh bien, vous avez naturellement ces comportements là. Parce qu’ils ont été un modèle, vous vous êtes imprégné de cette réalité-là.

Par contre, si vous avez vécu dans la peur, si vous avez toujours vécu avec des parents qui ont connu des galères, qui répétaient toujours que :

  • le travail – de toute façon –  c’était pas une partie de plaisir.
  • qu’on devait en baver,
  • et que c’est fait pour être pénible,
  • qu’on n’a aucun plaisir à aller au travail.

Eh bien, il y a de fortes chances pour que ce soit votre réalité aussi. Et que vous preniez cela comme acquis et comme une vérité indéboulonnable.

Donc forcément, vous allez être dans une souffrance au travail car vous allez prendre ça comme un « boulot », un boulot alimentaire.

Voilà, et que pour vous, la vie ce sera « ailleurs » que dans le travail. Malheureusement, le travail on y passe beaucoup de temps !

Et je pense que vous n’aurez pas une vie très épanouissante si vous restez dans cette croyance que le travail doit être pénible et laborieux (le terme est bien choisi).

C’est comme quand vous avez grandi dans une famille qui vous a inculqué que vous étiez nul, que de toute façon, vous n’arriveriez à rien, que vous n’aviez pas du tout d’intelligence, de capacités particulières…

Eh bien, vous allez aussi vivre dans votre petite boîte étriquée qui représente ce que vous croyez sur vous et ce que vous vous croyez capable de faire.

Donc tant que vous n’aurez pas éclaté ça. Votre réalité sera conforme à ce qu’on vous a appris ou ce que vous avez cru sur vous-même et sur le monde.

La vraie raison qui fait que vous n’arrivez pas à passer à l’action, elle est là. Que ce soit pour passer à un autre projet professionnel ou même tenter, oser quelque chose…

C’est quelque chose que j’ai vécu moi-même.

C’est grâce à un travail sur moi, alors que j’étais malheureuse dans ma carrière, dans ma vie professionnelle, que finalement à un moment donné j’ai pu changer de vie et de métier.

Alors que je me lamentais dans ma vie professionnelle. Je n’étais absolument pas à ma place !

Je sentais que rien n’allait. Que TOUT justement me poussait à changer.

Et je freinais des quatre fers parce que pour moi, c’était inconcevable de ne pas être dans la norme, de ne pas avoir un travail :

  • salarié,
  • standard,
  • stable,
  • de ne pas être comme tout le monde ! 

Tout me faisait penser que je n’étais pas à ma place. Et pourtant je voulais absolument essayer d’y rentrer !

C’est un peu comme le jeu pour enfants avec les formes et il faut les faire rentrer les bons trous, vous voyez ?

C’est une image que je prends souvent avec mes clients pour leur faire comprendre (Lol)

 Résultat de recherche d'images pour "jeu enfant cubes formes"C’est-à-dire que vous avez un rond, une étoile, un carré peu importe…  Vous avez un petit rond et un énorme carré.

Et vous essayez de le faire rentrer dedans.

 Et puis, ben ça ne rentre pas !

 Parce que ça ne peut pas !!! LOL

Donc c’était un peu ça.

 

Et il y a beaucoup de gens qui essaient malheureusement de rentrer dans un truc qui n’est absolument pas pour eux.

Et qui essaient malgré tout car « c’est comme ça », il faut y arriver, et ils ont extrêmement peur de faire autre chose…

Parce qu’en fait, dans leur conception, c’est impossible de faire autre chose et d’aller vers ce qui leur fait vraiment envie !

Bien souvent, ils mettent tout ça sous le tapis, ils l’oublient, pour ne pas souffrir  -en tous cas, ils le croient-  pour le garder en arrière plan et ne pas l’avoir trop dans la conscience.

 

Voilà, je voulais vous partager cela, car c’est véritablement votre conception, de vous, du monde, de la vie, de ce qui est possible, toutes vos croyances limitantes sur vous-même et sur le monde…

Qui vont faire qu’au final, vous n’allez pas passer à l’action pour vous reconvertir et changer de travail.

C’est uniquement ça.

 

Et puis aussi sur l’ argent.

Ce point va de paire avec votre conception du monde. Vous allez « manquer ».

Vous allez vous retrouver à la rue, dans la dèche, au secours catholique, au populaire, aux restos du cœur…

Tout ça, c’est des histoires !

Que votre MENTAL vous raconte.

 

Votre mental préfère l’immobilisme

 

Votre mental, si vous le laissez aux commandes, il va faire ce qui lui convient.

Et ce qui lui convient, c’est que rien ne bouge, que rien ne change.

Parce que votre mental, il a pour mission de vous maintenir en vie.

Depuis l’enfance, c’est son job : vous maintenir en vie, vous faire fonctionner (soutenu par le cerveau reptilien pour les fonctions vitales comme manger, dormir…), survivre, s’adapter, ne pas s’exposer au danger…

Bref, avoir une vie « plan plan », tran-quilleu (avec l’accent marseillais).

 

Ce que les Egyptiens disaient…

Alors, je suis professeur de mudras par ailleurs et en fait, il faut savoir que ces derniers viennent de l’ancienne Egypte.

Ce qui est très intéressant, c’est que les anciens Egyptiens parlaient déjà  -mais avec d’autres termes-  du mental et de l’âme. Je crois qu’ils parlaient aussi de l’esprit.

Et ils disaient bien que le rôle du mental, était de nous maintenir en vie et de nous amener à l’âge adulte.

Qu’à la naissance, notre incarnation, l’âme était là, mais en retrait.

Et une fois qu’on arrive à l’âge adulte, qu’on est sain sauf, ils disaient que le rôle de l’être humain, c’était de se rendre compte de son fonctionnement et de faire revenir son âme au premier plan.

D’honorer son âme et de la laisser le guider. Et que le mental soit relégué (bien sûr, il nous aide toujours à fonctionner au quotidien) en arrière-plan.

Et c’était ça grandir, et devenir un adulte, et un Etre qui grandit en conscience.

Et ça c’est super intéressant.

Parce que c’est exactement la leçon de la vie.

Grandir en conscience.

Et qu’on trouve le chemin de notre cœur, qu’on se connecte à notre âme, que finalement on comprenne que tout le reste, ce n’est que des histoires et des constructions mentales…

On peut faire ce qu’on se croit capable de faire.

Donc il faut pouvoir déconstruire tout ce qui n’est pas à nous, qui n’est pas la réalité que l’on croit.

Voilà, j’espère que je suis claire.

Tout ce qu’on a à faire, c’est :

  • grandir,
  • laisser notre âme nous guider
  • et se connecter à elle.

Pour cela, il faut déconstruire tous nos schémas, toutes nos constructions mentales, et ne pas laisser le Mental aux commandes.

Par ce que si vous laissez le mental aux commandes, il fera ce qui est bon pour lui !

C’est-à-dire qu’il ne bougera pas.

Le mental, ce scénariste catastrophe

 

Et il va vous projeter sur son écran de cinéma :

« Haaann Mon Dieu ! Mais si tu quittes ton travail, tu vas finir sous les ponts !! »

Direct, hein !?

Qu’on démissionne ou même en rupture conventionnelle, avec deux ans de chômage…

Mais non, non ! On ne voit pas ça !

On voit : démission  –>> sous les ponts !!!

Direct !

Ah, le meilleur scénariste de films catastrophes, c’est votre MENTAL !

Vous pouvez l’embaucher à Hollywood, y’a pas de problème.

Lui, il va vous faire des lumières, des warnings, des lumières qui clignotent, en disant : « Mon Dieu,  haaannn tu vas mouriiir là, si tu fais ça !! »

Mais le problème, c’est que vous le croyez !!

Elle est là la petite subtilité à comprendre et à voir. Voir ce jeu-là que votre votre mental vous fait et vous en dissocier.

Les histoires qu’il vous raconte. Les bêtises qu’il vous raconte. Les films d’horreur, catastrophes qu’il vous projette.

Il est là votre job : de le voir !

Et de lui dire STOP.

Pour que vous puissiez enfin, accéder à ce que vous voulez vraiment et à ce que votre cœur vous amène à faire et qu’il veut.

Du moment que vous allez arrêter ce jeu de dupe, que vous allez voir ça.

Vous allez pouvoir agir pour enlever les manettes des mains du mental.

Lui dire : « Non, non, toi tu arrêtes maintenant. Tu te tais. Ton blabla, tu te tais. Tu peux dire ce que tu veux. Mais ce n’est pas la vérité. Et je décide de ne pas te croire. Et de me faire confiance. »

Et pour arriver à faire ça, je vous invite sincèrement à bosser sur vous, pour déconstruire tout ça. Toute cette boîte à outils dans votre tête, de croyances sur vous, sur la vie, sur le monde…

Vous allez voir les choses autrement du moment que vous aurez fait ce travail.  

Moi, je vois ça tous les jours chez mes clients.

Dès qu’ils commencent à bosser sur eux. Parce qu’ils sont empêtrés dans leurs trucs et :

  • ils n’en sortent pas…
  • Ils n’arrivent pas à prendre de décision.
  • Ils fonctionnent toujours pareil

Parce qu’ils laissent leur mental leur resservir la même soupe tous les jours.

Eh bien dès qu’on commence à attaquer le noyau dur, la coque…

C’est comme un staphylocoque, le mental est très très dur et se rigidifie avec l’âge (en plus).

Et plus on attend et plus c’est costaud. Il a une armure mais du moment qu’on crée des brèches…

A un moment donné, il y a des choses qui volent en éclat.

Et après, il n’a plus autant le pouvoir.

Plus on le travaille, plus on le dépossède de ce pouvoir de nous raconter des âneries et de nous faire des projections catastrophes.

C’est la seule voie, que j’ai expérimentée pour moi et pour des clients, si vous êtes dans ce schéma de peur viscérale, d’anxiété permanente :

« Oh lala mais j’peux pas, je vais me retrouver à la rue ! C’est trop dur, je ne vais plus avoir d’argent »

Tout ça c’est du blabla. Voilà.

J’espère que ça vous a intéressé.

J’espère que j’ai été claire – Lol – car il est un peu tard – et je voulais vous faire un petit topo là-dessus.

Belle journée et à plus tard » 

 

Ainsi, nous avons tendance à oublier que notre principal ennemi, c’est nous-même. Travailler sur nous-même et nos conditionnements est le premier levier vers le changement. Notre brouhaha mental crée un brouillard qui empêche d’accéder à notre vérité. Les peurs que nous éprouvons face à tout défi ou nouveauté ne sont que le reflet de nos propres limites. Ne serait-il pas temps de les dépasser pour enfin entendre l’appel de notre âme ?

 


 

Maryanne Manneville

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Pourquoi trouver sa mission de vie ne permet pas de trouver sa voie

Pourquoi trouver sa mission de vie ne permet pas de trouver sa voie

Mary Mann

Mission de vie, mission de vie ! Vous entendez parler de ce concept à tout bout de champ pour trouver ce que vous faites sur Terre… Mais de quoi s’agit-il vraiment ? Et puis d’abord, quel intérêt de se pencher sur ça quand on veut se reconvertir ? Serait-ce une donnée un peu fumeuse pour réorienter sa vie professionnelle ? Est-ce réellement suffisant ? Et l’âme dans tout ça ? Découvrez en vidéo ce qu’il en est et tout l’intérêt de connaître surtout sa mission d’âme, quand on aspire à trouver sa voie et sa vocation afin de retrouver du sens dans la vie.

Transcription

« Bonjour, Bonjour ! C’est Mary Mann.

Aujourd’hui, je vais vous parler de la mission de vie, de la mission d’âme.

Pour vous expliquer ce que c’est, de mon point de vue. La différence importante qu’il y a entre les deux.

Et surtout quel est l’intérêt de connaître ça ? De s’intéresser à ça quand on a un besoin de reconversion professionnelle ?

Quand on a besoin de quête de sens et de trouver sa place dans le monde.

C’est une question qu’on me pose souvent : « Quelle est la différence entre la mission de vie et la mission d’âme ? », puisque c’est vrai que c’est un peu galvaudé…

Beaucoup de gens, de coachs utilisent « mission de vie, mission de vie » mais…

Pour moi, c’est trop réducteur, et il y a besoin de comprendre les choses plus en finesse !

 

-Présentation Mary Mann-

 

La mission de vie

Bien, je vais vous parler de la mission de vie en premier.

La principale différence entre la mission de vie et d’âme, c’est que la mission de vie – telle que je la conçois dans mon approche – a une forte connotation individuelle. Ça ne veut pas dire individualiste !

Individuelle : (en gros, je résume vraiment de manière schématique) c’est ce qu’il vous faut à VOUS, dans VOTRE chemin de vie personnel et d’évolution. Le but qu’il vous faut accomplir, quelque chose où vous devez progresser.

Donc c’est véritablement un but plus individuel.

Mais ce n’est pas forcément individualiste !

Je prends un exemple au hasard. J’ai vu ça chez une cliente : elle n’avait pas fondé de foyer, de famille, et il se trouvait justement que cela faisait partie de sa mission de vie. De certainement passer à une sphère familiale, avoir des enfants. C’est quelque chose dont elle avait envie en plus, mais c’était justement une difficulté dans sa vie personnelle.

Donc il se trouve que cela faisait partie de sa mission de vie, en tant qu’individu, pour son chemin d’évolution personnelle, de passer probablement à cette étape-là.

D’où le fait que ce n’est pas forcément individualiste puisque quand vous avez des enfants, vous allez vous occuper d’autres êtres vivants. Vous allez faire des choses pour les autres.

Voilà.

La mission de vie, je la détermine par l’astrologie ésotérique principalement. Pour voir au niveau du thème natal avec quoi vous partez, quels sont vos acquis karmiques, vos challenges individuels, vos prédispositions, votre personnalité de fond… Des indications aussi déjà du domaine professionnel.

Après, en discutant avec moi, lors de mon accompagnement à la reconversion professionnelle Orientation & Sens de Vie®, il y a bien sûr tout ce que vous voulez accomplir… C’est bien d’en prendre conscience tôt.

Vous savez, le plus grand enseignant dans la vie, c’est la mort.

Alors je suis désolée de plomber l’ambiance…

Mais la mort, c’est vraiment le MAÎTRE spirituel par excellence.

J’ai rencontré quelqu’un récemment dans un stage, qui m’a dit ça : « Mais comment on fait pour « se botter le cul », pour sortir de ce « rien », de ce blocage ? ».  Il était visiblement bloqué dans une problématique d’évolution dans son métier, dans sa vie…

Et il ne pouvait pas en sortir. Il était complètement paralysé face à un changement important.

Et bon, je lui ai parlé de diverses choses, mais c’est vrai que je réponds souvent aussi : « Allez faire un tour au cimetière ».

Ça peut paraître bête. Mais je vous assure que… Allez voir au cimetière. Tant que vous n’avez pas compris intrinsèquement que…

Vous êtes des Êtres qui allez mourir

 

Vous êtes en train de mourir chaque jour ! C’est vraiment pas « Youpi la vie ! » ce que je vous dis. Mais c’est hyper fort !

Si vous prenez conscience de ça en vous : que tous les jours, c’est un jour de plus, un jour de moins.

Comme me l’avait raconté un ancien collègue quand j’étais salariée…

C’était un Espagnol. Il était allé en vacances en été et il avait croisé un vieillard sur un pas de porte…

Et à chaque fois, ils se saluaient « Ah ! Comment ça va ? »

Et à chaque fois, le vieil homme lui disait : « Un día mas, un día menos ».

 

Un jour de plus, un jour de moins

Eh bien, c’est ça.

Comprenez que le temps s’égrène et qu’à un moment donné, vous allez arriver à la fin…

Et il ne faut pas croire que cette fin va venir à 80-90 ans ! Et puis vous ne savez même pas dans quel état vous serez à 90 ans…

Mais il faut savoir que ça peut venir n’importe quand !

Comme je dis souvent : des jeunes qui se croyaient immortels, y’en a plein le cimetière.

Donc comprenez que la vie est très fragile et qu’on est des créatures éphémères à l’échelle du temps, la vie passe tellement vite, la jeunesse encore plus !

Donc si on tient à se réaliser et à accomplir quelque chose qui a réellement de la valeur à nos yeux, il faut y aller. Pour qu’à la fin, on n’ait pas de regrets. Je marche beaucoup avec ça aussi.

Qu’est-ce que vous vous direz à la fin ?

Donc la mission de vie, elle est vraiment importante pour vous, au niveau de ce que vous cherchez à accomplir à titre individuel.

La mission d’âme

Ce que je viens de vous dire est valable aussi : se confronter à la mort et tout ça… Ça donne de la perspective.

Vous savez, quand on met tout en perspective, c’est comme un tableau.

Un tableau qui est plat, qui est en une dimension, y’a aucun intérêt. Par contre, dès qu’on met des arrière-plans, des fondus…

A un moment donné, vous voyez des choses avec une autre vision.

Donc la mission d’âme, c’est la raison pour laquelle vous êtes incarné. Et pour moi, elle a une dimension collective.

La mission d’âme, c’est vraiment la sphère « large » de votre incarnation. C’est pourquoi vous vous êtes incarné, pour œuvrer à quelle cause ?

Et quel impact ça va avoir sur le monde, au service de quoi vous allez agir.

Voilà, la mission d’âme, c’est ça.

Et ça vous portera toute votre vie.

Vous avez la mission d’âme, la mission de vie qui est en dessous pour moi, puis ensuite la transcription de ça en métier, en activités professionnelles.

Vous pouvez avoir différentes activités professionnelles. Mais il faut qu’elles résonnent avec cette mission d’âme qui est en haut, qui chapeaute le tout.

C’est comme un gâteau. Vous avez la génoise, le nappage…

Eh bien, la mission d’âme, c’est le nappage, la plus belle couche, celle qui donne vraiment la touche finale au gâteau. Et ensuite vous descendez, vous avez d’autres strates et le cœur du gâteau…

Mais c’est le nappage qui va donner une harmonie et une cohérence à l’ensemble, en fait.

Et la mission d’âme, je la détermine… Déjà par intuition. En discutant aussi, vous touchez du doigt quelque chose avec moi.

Je travaille beaucoup avec les états de conscience modifiés, je vous amène dans votre propre cheminement intérieur, une introspection durant quatre mois (bilan Orientation & Sens de Vie®).

Vous touchez le cœur de vous-même.

Je vous amène là-dedans et vous touchez des trucs hyper subtils, hyper fins… Qui font que ça fait « Paf »!

Y’a quelque chose qui se passe, vous saisissez quelque chose de beau, qui est vraiment brillant.

C’est comme une étincelle d’étoile.

Le nom de lumière et les familles d’âme

Et puis parfois, ça m’arrive d’avoir le nom de lumière.

C’est encore une autre donnée.

Je n’en parle pas car justement je ne l’ai pas forcément. Je ne l’atteins pas toujours.

Mais souvent je l’ai.

Le nom de lumière, c’est votre nom d’âme.

Il peut donner une indication de la famille d’âme à laquelle vous appartenez.

Il y a plusieurs familles d’âmes. Elles ont un rôle, des tendances de fond.

Et quand on a le nom de lumière, vous avez déjà une indication forte de votre tendance.

Après, ça se sent aussi, hein…

Une famille d’âmes que je connais très bien (car j’en fait partie) ce sont les gardiens.

Donc les gardiens ont des traits généraux de personnalité, d’intérêts, de domaines qui leurs tiennent à cœur. Un profil particulier au niveau des gardiens.

Mais il y a d’autres familles. Je ne vais pas en parler là.

En tous cas, c’est une donnée très intéressante. D’avoir ce nom de lumière – quand il vient – et d’en avoir une idée.

Car ça vient compléter (pour reprendre mon image du gâteau), c’est comme une petite cerise sur le nappage.

Voilà ce que je voulais vous dire sur la mission de vie, la mission d’âme.

Bien, je pense avoir répondu à la question.

Je vous souhaite une belle journée et je vous dis à bientôt.

L’expression « mission de vie » est trop galvaudée et sa signification souvent déformée. Appréhender notre part spirituelle apporte un bien meilleur éclairage pour se repositionner professionnellement et trouver sa voie. Ensuite, couplée à la mission de vie, elle permet une compréhension bien plus large et complète de soi. Nous pourrons alors Etre en totale cohérence et exprimer notre nature profonde, trouver notre vocation au service du monde.

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

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Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

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Quitter ou rester dans son travail ?

Quitter ou rester dans son travail ?

Mary Mann

Se casser ou pas : that is the question !

Vous ressentez le besoin de changer de travail ? Lassitude passagère, conditions de travail insatisfaisantes ou désir de transformation plus profond… Chaque fois que vous songez à sauter le pas, la sécurité de l’emploi et la peur de l’inconnu finissent par vous faire reculer. Comment vous assurer de faire le bon choix ? Et puis partir est une chose. Mais comment trouver le job suivant qui fera sens pour vous et vous conviendra ? Voici quelques 6 critères à vérifier pour y voir plus clair.

Quitter son travail pour de bonnes raisons : 6 critères pour vérifier

Votre désir de partir ne cacherait-il pas autre chose ?

Changer de travail est un projet important. Il est donc fondamental de partir pour de bonnes raisons, c’est-à-dire dans l’optique de construire quelque chose et non pour fuir et échapper à une situation.

Vous devenez ainsi acteur de votre vie. Vous agissez au lieu de réagir avec le risque de retomber plus tard dans un schéma identique, car le problème n’aura pas été résolu.

Même si certains signes ne trompent pas quand on pense quitter son travail, si vous vous apprêtez à fuir votre travail en croyant que c’est LA solution à votre mal-être, vous devez vous demander d’abord si vous avez déjà rencontré les mêmes difficultés dans un précédent emploi.

En effet, beaucoup de gens veulent changer de travail, mais ne soupçonnent pas que cette première « solution » cache souvent un autre souci qu’ils préfèrent ignorer. Cela est d’autant plus vrai si leur vécu est compliqué. Ils traînent, dans la plupart des cas, des « casseroles » qui impactent leur comportement et leur vision des choses, et leur portent préjudice.

Alors, si vous voulez quitter votre travail actuel, interrogez-vous d’abord sur les points suivants :

– Est-il question d’une lacune que vous pouvez combler en suivant une formation ?
– Vous reproche-t-on plutôt un problème récurrent de savoir-être et relationnel ?
– S’agit-il d’un manque de savoir-faire comme bien parler en public que vous pourriez travailler pour progresser et devenir plus à l’aise ?
– Est-ce un blocage ou un schéma comportemental lié à votre histoire personnelle et que vous devriez travailler en thérapie ? Comme une peur de décevoir permanente (manque d’estime de soi) qui vous pousse à vous mettre toujours trop de pression et vous mène tout droit vers le burn-out ?
– Ou est-ce encore une blessure d’injustice ou de rejet qui fait que chaque réflexion ou refus vous fait souffrir de manière disproportionnée ?

N’y a-t-il pas là quelque chose à travailler, dès maintenant, afin d’améliorer votre bien-être au travail ?

Souvent, cette première introspection améliore grandement les choses et change la donne. Un certain nombre de mes clients ne quittent finalement pas leur poste après avoir travaillé sur EUX en première intention !

Et s’ils souhaitent toujours changer de job, ils se sentent bien plus sûrs d’eux pour engager des actions. Leur horizon s’éclaircit et ils sont alors prêts à se reconvertir ou à assumer d’autres responsabilités.

D’ailleurs, ce travail thérapeutique leur évite aussi de retomber dans les mêmes travers comportementaux dans leur futur emploi.

Ainsi, les raisons qui poussent à changer de travail doivent être mûrement réfléchies et analysées.

 

Est-ce une question de salaire ?

« Tout travail mérite salaire », mais vous estimez être sous-payé.

Vous aimeriez gagner plus, mais malgré vos demandes insistantes et vos très bonnes appréciations, vous n’obtenez pas satisfaction. De plus, vous savez, de sources officieuses, que des inégalités existent au sein du service. Ce qui n’arrange pas votre humeur.

Ne partez pas sur un coup de tête !

Prenez le temps d’analyser le niveau de salaire sur le marché de l’emploi, pour un poste semblable au vôtre. Si les résultats confirment vos doutes, alors foncez vers un job mieux payé. Dans le cas contraire, plusieurs options se présentent à vous, en voici quelques-unes :

– Négocier un changement de poste en interne mieux rémunéré, en mettant en valeur votre bonne connaissance de l’entreprise, votre parcours, votre envie d’évoluer, vos points forts, etc.
– Entreprendre une formation continue diplômante dans votre domaine, qui vous permettra de monter en compétences et de prétendre à de meilleurs postes ou pour le moins à un meilleur salaire.

 

Votre qualité de vie est-elle satisfaisante ?

Ras-le-bol des trajets à rallonge et des embouteillages qui vous empêchent de profiter des soirées en famille ou avec des amis ? Assez des journées de 12 heures et des weekends à potasser sur une avant-vente stratégique ?

Vous aimeriez peut-être pouvoir :
– venir chercher vos enfants à l’école,
– recommencer en toute sérénité vos cours de théâtre, de Pilates, ou toutes autres passions qui contribuent à votre épanouissement et à prendre soin de vous,
– ou tout simplement faire des journées « normales » de travail.

Vous sentez la déprime et la démotivation s’installer en vous. Vous aspirez secrètement à un changement de vie.

Avant de frôler le burn-out à force de lutter contre le stress, vous pourriez peut-être négocier un temps partiel ou la mise en place d’un dispositif de télétravail avec votre employeur qui vous permettrait de limiter la durée de transport, et de dégager du temps libre pour vous ?

Commencez aussi à étudier les caractéristiques de l’emploi idéal selon vos aspirations.

A quoi seriez-vous prêt à renoncer pour profiter d’une meilleure qualité de vie ? Est-ce le salaire, l’environnement, le type métier, etc. ? Ces réflexions vous permettront de savoir dans quelle direction aller lorsque tous les recours auprès de votre hiérarchie auront été épuisés.

 

Envie de changer d’emploi ou de métier ?

La nuance est importante.

Votre environnement professionnel est presque parfait. Tout se passe bien avec vos collègues. Votre salaire est plutôt honnête. Et par-dessus tout, vous affectionnez votre métier.

Mais pourquoi ressentez-vous ces derniers temps un sentiment de mal-être diffus ? Est-ce le manque de reconnaissance des managers, une défaillance de la hiérarchie ou encore une mauvaise organisation qui vous irrite ?

Vous sentez-vous indifférent, voire troublé, par le domaine d’activité ou par la finalité de votre entreprise ? Ils vont peut-être à l’encontre à la fois de votre éthique de vie et de vos valeurs ? Vous avez envie de travailler pour une société plus humaine et morale, qui apporte une meilleure contribution au monde ?

À moins d’un changement radical d’un côté ou de l’autre, le désamour entre vous et votre entreprise n’est pas près de s’arranger : l’objet de la discorde touche l’essence même de chacun.

Alors, avant que cela ne génère une souffrance au travail, prenez les devants et scrutez les secteurs qui recrutent, surtout ceux qui correspondent à vos aspirations. Car il s’agit là probablement plus d’un souhait de changer d’emploi que de métier.

 

Votre métier a-t-il du sens pour vous ?

Votre travail vous ennuie profondément. Vos journées sont interminables et chaque tâche vous demande un effort surhumain. Vous n’avez plus aucun entrain…

Votre travail n’a aucun sens pour vous ? Vous ne comprenez pas les tenants et aboutissants de ce que vous faites et tout cela ne rime à rien à vos yeux. Votre fonction ne vous intéresse pas !

Pire, vous vous sentez souvent comme un chien dans un jeu de quilles. Vous avez l’impression d’avoir fait une erreur de casting (gloups) ?

Il se pourrait alors que vous vous soyez simplement trompé de voie, tel un amoureux de la nature qui se retrouve cantonné dans le remplissage de feuilles Excel, entre 4 murs en plein centre-ville.

Une reconversion serait alors nécessaire, encore faut-il savoir vers quoi ? Il est généralement difficile d’y voir clair seul, car on s’est souvent oublié en chemin et on a donc besoin de retrouver son axe de vie

Une reconversion professionnelle alignée avec votre personne et votre envie de contribuer au monde différemment nécessite d’abord de faire un bilan de compétences approfondi afin de vous retrouver. Il portera notamment sur vos valeurs, vos centres d’intérêt, vos compétences et vos qualités.

Mais pas que ! Votre âme et le pourquoi de son incarnation auront aussi leur mot à dire… Ensuite, il s’agira de trouver un emploi qui est le plus possible au diapason avec ces éléments.

 

Avez-vous un projet en gestation ?

Prendre une année sabbatique pour parcourir le monde ? Tester l’entrepreneuriat ?

Si vous avez un projet qui nécessiterait de mettre votre travail entre parenthèses, quelque temps, pensez aux possibilités de congés exceptionnels souvent inconnus des salariés ! Renseignez-vous.

Peut-être même que votre entreprise acceptera de sponsoriser votre road-trip, comme cela s’est déjà vu ?
Levez vos doutes en vous informant au maximum et domptez vos peurs pour oser suivre vos rêves et agir.

Définissez le statut professionnel qui vous correspond

Vous avez maintenant la certitude qu’un changement de carrière est nécessaire. Mais entre le salariat et l’entrepreneuriat, votre cœur balance…

Rester dans le salariat ?

Vous avez peut-être besoin d’une certaine sécurité extérieure, car vous doutez de vous, de votre capacité à rebondir et de l’abondance que la vie pourrait vous offrir.

Certains ont confiance en eux au point d’oser faire le tour du monde sur un coup de tête et avec 1 $ en poche, mais vous n’avez pas forcément ce lâcher-prise et cette confiance en la vie !

En optant pour le salariat, vous disposez d’une sécurité matérielle. Bien qu’elle ne soit qu’apparente, car le tout-puissant CDI tend à s’affaiblir entre le recours accru aux CDD et à l’intérim, et les facilités de licenciement, le salariat vous offre néanmoins une certaine tranquillité d’esprit.

Si tel est votre ressenti, alors suivez-le sans hésitation et trouvez un poste en lien avec vos aspirations. Mais si vous êtes épris de liberté, il se pourrait que le salariat devienne trop étroit à vos yeux…

Devenir son propre patron ?

Vous cherchez l’aventure et tenez à créer quelque chose. Vous désirez vous exprimer davantage dans le monde et avec plus de liberté.
Alors, entreprendre ou pas ?

La tentation de l’entrepreneuriat est une vraie question :

– Vous êtes votre propre patron. Libre de mener votre barque, vous avez toute latitude pour mettre en œuvre des concepts qui vous sont chers.
– Vous maîtrisez votre destin et êtes à l’abri d’un licenciement décidé dans des sphères inconnues.
– Vous donnez du sens à votre travail. Ce luxe vaut tous les sacrifices que vous aurez à concéder.
– Vous bénéficiez pleinement des fruits de votre travail et ne dépendez plus d’une hiérarchie ou d’obscures négociations salariales.

Mais créer son entreprise possède aussi un revers de la médaille.

– Toutes les formalités prises en charge par l’employeur doivent désormais être gérées par vous-même, quoique le statut d’autoentreprise allège grandement les choses.
– Même si vous ne risquez pas de faire partie d’un plan social, votre activité est intimement liée à la santé économique. En cas de récession, vous serez probablement impacté.

Dans tous les cas, préparez scrupuleusement votre projet. Ne faites pas la tête brûlée et demandez conseil si nécessaire.

Car l’entrepreneuriat sans risques n’existe pas. Mais c’est aussi cette stimulation et adrénaline que vous cherchez, non ?

Il faut se lancer en ayant bien conscience qu’il est nécessaire de faire des concessions et sacrifices et de beaucoup travailler au démarrage.

Certains préféreront cumuler salariat et entrepreneuriat le temps de voir et d’atteindre une certaine sécurité. Tout dépend de chacun.

Pour ma part, je vous le déconseille.

Car cumuler les deux, risque de vous mener tout droit au burn-out ou de vous décourager au point de tout laisser tomber…

Le personnage de Yoda dans Star Wars dit « Fais-le ou ne le fais pas ». Sage conseil !

Alors, si l’entrepreneuriat a votre préférence, investissez-vous à 100 %, sinon vous n’avancerez pas comme vous le souhaitez.

 

Définir un projet professionnel aligné avec son âme

Votre business ou votre travail doit être une extension de vous-même.

Vous devez pouvoir l’exercer avec plaisir et naturellement, car vous y mettrez à profit vos talents et vos qualités au service du collectif.

Et la cause que vous servez doit valoir le coup et avoir du sens à vos yeux.

Alors, interrogez-vous d’abord sur votre essence spirituelle pour donner une âme à votre futur business ou trouver la cause que vous souhaitez servir.

Que voulez-vous accomplir au fond dans ce monde qui vous permettra de faire votre part tel le Colibri de Pierre Rabhi ?

Ce point nécessite une réelle introspection et un accompagnement afin d’avoir accès à certaines informations importantes et de mettre de la cohérence dans sa vie.

Dans tous les cas, n’espérez pas que l’Univers choisisse à votre place. Vous aurez certainement peur de faire ce pas. Mais c’est à vous d’initier un changement. Car tant que vous resterez dans l’attente et que vous laisserez vos peurs mener le navire (« Montrez-moi un signe ! Dites-moi quoi faire ! »), rien ne se passera.

Osez affronter vos peurs pour mieux les dépasser. Osez danser avec la vie.

Osez être et faire des choix audacieux pour vous honorer, la loi des synchronicités vous aidera sur le chemin.

Décider de partir ou de rester dans son emploi demande de se poser les bonnes questions. Il faut que ce soit un vrai choix et non une fuite ou une décision dictée par la peur. Si certains ajustements permettent souvent de rester en poste, certaines aspirations personnelles poussent parfois à quitter le navire pour se réinventer professionnellement. Mais il se pourrait alors que la peur de l’inconnu vous assaille ainsi que la difficulté à choisir une nouvelle voie. Se faire accompagner pour les dépasser est déterminant, car l’épanouissement et l’harmonie avec soi sont à la clé. Sachez que tant que vous ne décidez rien, vous remettez finalement votre pouvoir dans la main des autres. Trancher est libérateur et ouvre la porte à un renouveau salvateur et stimulant.

 

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Comment savoir qu’il faut changer de travail ?

Comment savoir qu’il faut changer de travail ?

Mary Mann

Ben oui ! Faut se rendre à l’évidence !

Quand il est temps de changer de travail, de nombreux signaux nous alarment sur notre état intérieur. Mais souvent nous ne voulons pas les voir ou les entendre de peur de regarder la situation en face, de devoir sortir de notre zone de confort et d’affronter notre peur du changement. Pourtant il y a des évidences… Et faire l’autruche ne changera ni la situation ni votre mal-être au travail ! Quels sont ces signes ?

Tu sais que tu ne peux plus faire ce que tu fais quand…

  • tu te demandes à longueur de journée ce que tu fais là et si tu dois te casser ou pas
  • tu dis que tu as « X » années encore à tirer (comme en prison)
  • tu commences à envier les retraités
  • tu as l’impression que ton cerveau se liquéfie d’ennui (bore-out)
  • tu as l’impression de te consumer de l’intérieur (burn-out), le stress te bouffe
  • ton corps te lâche et somatise, tu as plein de Troubles Musculo Squelettiques
  • tu deviens insomniaque ou dépressif (ou les 2)
  • tu as le ventre en vrac avant d’aller bosser, pendant, après… le dimanche soir
  • le vendredi soir et les vacances sont un soulagement
  • tu préférerais te casser une jambe plutôt que d’y aller
  • tu soupires à longueur de journée
  • ce que tu fais n’a pas de sens : brown-out (ou que soudain tu as pris conscience du sens de ce que tu fais et que non ! Tu ne peux plus !)
  • tu réalises qu’il y a autant de différences entre l’emploi qu’on t’a vendu et celui que tu fais réellement, qu’entre le burger sur la photo au MacDo et celui qui arrive véritablement dans la boîte
  • ce que tu fais nuit aux autres ou à la nature , bref c’est ANTI-VIE et que ça te pose un cas de conscience
  • ce que tu fais est inutile et que ça te pose un cas de conscience
  • ce que tu es et ce que tu fais font tellement le grand écart à la J-C Vandamme que tu as mal aux adducteurs alors que tu ne fais pas de gym
  • tu ne supportes plus tes collègues et/ou tes supérieurs et ils te le rendent bien
  • tu réalises que la plupart de tes collègues sont aigris ou dépressifs et que tu ne veux pas finir comme eux
  • tu te transformes en concierge médisante au sujet des autres pour soulager ton mal-être
  • tu ne te nourris plus que de sucreries pour avoir un peu de plaisir et apaiser ta frustration
  • tu ne te nourris plus que de cochonneries industrielles réchauffées au micro-ondes car ça te saoule de préparer ta gamelle la veille et de te faire à manger le soir
  • tu en as marre de manger froid, de manger de la mal bouffe
  • tu en as marre de manger dans ta voiture, sur un parking par tous les temps…
  • aller travailler te revient plus cher que ça ne te rapporte (repas+essence+frais de voiture+thérapie)
  • toute ta vie se résume à ton travail
  • chaque jour s’apparente pour toi au mythe de Sisyphe malheureux
  • la moindre chose à faire dans ton travail t’épuise à l’avance (bore-out)
  • tes pauses café, cigarettes, pipi… se multiplient et s’éternisent car tu n’as pas envie de retourner bosser
  • tu fais plus de trucs perso au boulot que chez toi (bore-out)
  • tu passes ton temps à surfer sur internet ou envoyer des SMS perso (bore-out)
  • tu regardes tout le temps dehors, rêve, t’absente en esprit
  • tu réponds NON à la question de Steve Jobs
  • tu n’as qu’une envie : celle de t’enfuir
  • tu fantasmes sur le jour où tu aurais le courage de te casser : poser ta démission ou demander une rupture conventionnelle, faire ton coming out !
  • tu sais que ce n’est que la peur qui te retient de partir mais que tu ne sais pas comment la surmonter
  • tu ne te sens pas à ta place et c’est comme si ton travail ne voulait pas de toi
  • on te fait sentir que tu n’es pas à ta place et tout le monde te regarde en chien de faïence
  • tu es victime de harcèlement, de coups bas, de management psychopathe
  • tu en viens à te demander ce que tu as bien pu faire pour mériter ça !
  • tu es mis à l’écart comme un lépreux
  • tout le monde te fait sentir que tu dénotes par rapport aux valeurs et à la « culture » d’entreprise

 

Je vous laisse méditer cette scène d’anthologie de l‘auberge espagnole :

 

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Le délicieux basculement

Le délicieux basculement

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ou Le jour J du réalignement

Il est souvent difficile de sauter dans l’inconnu quand un basculement s’opère. C’est vrai. Or quand on arrive finalement à le faire, on se demande « My God, mais pourquoi ne l’ai-je pas fait plus tôt ?! » Le temps que l’on peut perdre à avoir peur de vivre est sidérant… Nous perdons déjà 1/3 de notre vie à dormir alors n’en rajoutons pas ! 😉 Le plus important est de ressentir cet appel de nos tripes et de l’écouter. Laissez-moi vous conter mon jour de « basculement délicieux » sur le plan professionnel.

Allez je prends mes clics et mes clacs et je me casse !

Je me souviens de ce délicieux basculement… Le jour J.

De ce jour où j’ai dit STOP à une vie professionnelle qui ne me convenait pas. De ce jour où j’ai posé un acte fort pour moi. Pour me dire « oui ». Enfin !
Ce jour où j’ai eu l’envie très forte de savoir ce que j’avais dans les tripes pour cesser de n’être qu’une pâle copie de moi-même. De sortir du bois.

Quand ce jour arrive il est à la fois terrifiant mais excitant. On le sent venir parfois pendant des mois voire des années… On le sent nous frôler, jouer au séducteur que l’on veut attirer puis qu’on repousse au dernier instant, pris d’une panique fiévreuse, n’osant trop répondre à notre pulsion première. « Mais non, je me trompe, personne ne fait ça, c’est dangereux, on ne m’a pas appris, que vont dire les autres ? C’est pas normal ça ! etc ».

Mais il revient à la charge et petit à petit on comprend que nous le voulons au fond de nous. VRAIMENT.

Oui, nous voulons aller vers cet inconnu qui nous inquiète autant qu’il éveille notre curiosité et excitation.

Une évidence apparaît. Mais nous n’osions pas nous l’avouer.

Cela faisait trop peur. Bien souvent la liberté fait peur. Mais nous avons également peur de nous tromper, de lâcher ce travail qui paie les factures, peur du regard des autres, du jugement, de faire une « folie », de mourir oO ???… Notre mental, affublé de son scénariste catastrophe préféré, s’emballe…

Quand le doute s’efface…

C’est par là !

Mais à l’instant où on prend la décision de répondre à cet appel, on ne doute plus.

Déclic. Rubik’s cube. Les choses se mettent en place.

Bien sûr, on doute en surface, des tourbillons sont là, écumant la mer de nos émotions. C’est dans la nature humaine et ce ne sont que des émotions…

Nous sommes tout à la fois inquiets et grisés. Mais tout au fond de nous, l’océan est immobile, constant, dense et solide. Imperturbable.

Il sait notre Vérité. Nous sommes en connexion directe avec notre noyau dur, notre âme.

Et la magie opère, une sorte d’éruption se produit, une ouverture d’énergie puissante, un flot intarissable qui nous propulse vers un lendemain stimulant. Et nous savons que quels que soient les obstacles nous les franchirons, quelles que soient les difficultés nous les accepterons…

Car à l’instant même du délicieux basculement nous avons fait ce choix de nous réaligner quoiqu’il en coûte, car nous avons décidé de nous aimer avant tout, pour le meilleur et pour le pire. Même escarpé et parfois déstabilisant, ce chemin est pour la joie.

Nous disons « oui » à l’aventure de la vie, qui se réinvente sans cesse pour être toujours à sa meilleure version. La Vie qui s’adapte et change pour mieux fonctionner, rayonner et offrir le meilleur au monde.

Oh oui ! Je me souviens avec tendresse de ce jour où j’ai décidé que cette chienlit professionnelle suffisait et que j’ai décidé de faire un pas. Je ne parle pas d’écrire tout le chemin à l’avance, c’est impossible, mais de faire le premier pas tout en décidant d’une direction, d’un objectif et de laisser la vie répondre à mes choix initiaux.

Que c’est bon !

Que c’est bon d’oser dire « non » à ce qu’on ne veut plus et de dire « oui » à ce qui est bon pour nous. Que c’est bon de se sentir reprendre le pouvoir sur sa vie, d’être maître à bord. Que c’est bon de dire « oui » à la vie et d’accueillir des cadeaux de synchronicités…

Quand je repense à ce jour, je souris et je suis fière de moi.

Ecouter ce qui souffre en soi

Prendre le large et se renouveler

Un jour, j’ai décidé d’écouter ce qui souffrait à l’intérieur de moi. J’ai décidé de me former à la méthode PEAT sans trop savoir où cela allait me mener mais je sentais cet appel, cette urgence d’apprendre quelque chose pour nourrir mon âme, quelque chose d’utile et d’intéressant pour moi. Mon premier pas duquel tout a découlé…

6 mois plus tard, après un travail et un temps d’introspection intenses, je prenais mon téléphone et je demandais un rdv à mon supérieur. Le jour de l’entrevue, je lui ai annoncé que je souhaitais partir en rupture conventionnelle. Un rdv fixé rapidement, une signature et j’étais libre !

Accordé.

Soulagement. Liberté. Sourire.

« Oui » à la vie. « Oui » à moi !

 

Les semaines qui ont suivi ont été pure folie dans le bon sens du terme. Un enchaînement de formations, de stages qui ont débloqué des choses fortes en moi, des réponses à des questions, des synchronicités de folie

Résultat de recherche d'images pour "avalanche livres"C’était comme si une bibliothèque s’effondrait sur moi, telle une avalanche de connaissances et de cadeaux alors qu’au départ, je ne voulais saisir qu’UN livre, juste UN ! Ce-lui-qui-é-tait tout-en-haut-de-l’é-ta-gère… AAAAAAAaaaaaaaahhhhhhh !

J’ai même dû demander à l’univers de se calmer car cela allait trop vite (normal héhéhé, il voulait rattraper le temps perdu…). Il a levé le pied mais il m’a quand même amené les mudrâs un an plus tard afin de me faire devenir la 1ère professeur de mudrâs et mudrâ-thérapeute certifiée en France.

Aujourd’hui, quand je regarde en arrière et que je revois la femme apeurée que j’étais il y a à peine quelques années, cette femme qui a franchi tant d’obstacles, qui a construit tant de choses, qui a appris tant de connaissances, qui a connu tant de victoires sur elle-même… Cela n’a pas toujours été simple. Mais je ne regrette rien.

Oh non ! Et l’avenir me réjouit car la forme de mon activité professionnelle si atypique, évolue, s’affine, s’enrichit pour mon grand plaisir, comme un diamant brut que l’on taillerait jusqu’à en révéler le plus bel éclat et que sa forme corresponde au plus juste à ce que je suis.

« Rien ne se perd, rien ne se crée tout se transforme »- Lavoisier

J’apprends de nouveaux outils thérapeutiques, j’ai enrichi mon bilan de compétences Orientation & Sens de Vie® avec un abord encore plus spirituel grâce à l’astrologie ésotérique afin de préciser la mission d’âme et de vie.

Les choses se transforment et se mettent en place avec le temps.

Mon activité professionnelle change en fonction de ma propre évolution mais toujours autour du même axe.

Et c’est cool ! Tout change et se recrée à chaque instant, c’est ainsi que l’univers fonctionne.

Buddha a dit :

« La seule chose qui est permanente, c’est l’impermanence »- Buddha

Rien de plus vrai. Il faut juste l’accepter et surfer sur la vague de l’appel de la vie en enfermant nos peurs au placard le temps de nous jeter à l’eau.

Après, on apprend à nager ! Et que c’est vivifiant cette eau fraîche !

Vous aussi, vous pouvez décider à chaque instant de ce délicieux basculement, de mettre en route une transformation pour vous aligner. Soit par un tout petit pas, soit par un choix ou un acte.

Vous pouvez décider de faire un bilan de compétences spirituel « Orientation & Sens de Vie® » afin de mieux comprendre qui vous êtes et ce que vous faites sur Terre, si la quête de sens vous obsède.

Ou bien, si vous sentez que vous n’êtes pas dans votre pouvoir personnel, vous pouvez choisir de débuter un travail sur vous-même afin de vous libérer de vos peurs et mal-êtres car ils vous retiennent en arrière et vous empêchent d’être qui vous voulez ou d’aller vers ce que vous voulez.

Vous pouvez décider de vous faire accompagner pour mieux vivre pleinement votre vie.

 

 

La liberté d’agir pour ne plus subir vous appartient

 

Growing wings Leap of faith de Lara Fabian (Les ailes qui poussent – Saut de la foi)

As-tu déjà fait face à l’océan
Sans avoir la moindre idée
De comment nager, mais tu as quand même sauté ?

As-tu déjà embrassé un amour
En sachant que son cœur était brisé
Mais tu l’as tout de même étreint ?

Saut de la foi
Les ailes se déploient
Alors que tu tombes
Avant que tu ne heurtes le sol…

As-tu déjà erré dans le désert
Alors que les sables changeaient sans cesse
Tout en étant guidé par les vents ?

As-tu déjà parlé une langue
Que tu n’as jamais entendue auparavant
Mais qui t’es familière et que tu comprends malgré tout ?

Saut de la foi
Les ailes se déploient
Alors que tu tombes
Avant que tu ne heurtes le sol…

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

-Thérapie brève

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

Vannes FR-56 Morbihan

Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

mm[@]marymann.fr 

  • Bilan de compétences individuel Orientation & Sens de Vie® : Bilan de compétences spirituel pour reconversion professionnelle en quête de sens et alignée spirituellement (Bilan de Compétences en ligne, à distance)
VANNES - MORBIHAN - BRETAGNE - FRANCE
  PAR SKYPE & ZOOM

Va vis deviens ce que tu es

Va vis deviens ce que tu es

Mary Mann

Va, Vis, Deviens ce que tu es !

Quand on cherche à se reconvertir, on est souvent désarçonné devant les possibilités infinies qui s’offrent à nous. D’autant qu’on ne sait plus bien souvent qui on est. Alors comment choisir une autre voie, une formation ? Sur quoi se baser ? Comment comprendre et trouver ce que nous sommes au fond de nous, au plus juste et en cohérence avec nous-mêmes ? Faire un pas pour initier le changement, oui, mais lequel ?

 

Un jour, un client d’Orientation & Sens de Vie® m’a posé une question intéressante.

Bien sûr, mes clients ont toujours des réflexions intéressantes lors de nos échanges, mais celle-là l’était particulièrement.

Je m’explique.

Nous arrivions au terme de son bilan de compétences Orientation & Sens de Vie®, il avait eu sa synthèse et des suggestions de métiers qui selon moi répondaient très bien à ce qu’il était, sa vibration, son âme.

Nous avions bien posé le tableau de ses grands axes de vie, trouvé ce qui le faisait vibrer, réussi à le connecter intuitivement à ce qu’il voulait réaliser dans sa vie afin de n’avoir aucun regret.

Il y avait bien un métier suggéré qui lui parlait, mais il fallait reprendre des études… Trop long pour lui (mais que sont 2 ans dans une vie ?)…

Alors il cherchait une autre formation plus accessible dans cette branche, LE métier concret qui pourrait incarner le fruit de notre travail, mais rien d’autre ne lui parlait encore suffisamment.

En résumé, si le fond était clair, la forme ne l’était pas encore. Et il se mettait la pression pour choisir une formation, décider rapidement sans savoir quoi choisir précisément.

Peur de faire un choix, peur de se tromper…
Stop ! Don’t panic !

Quand il m’a confié son angoisse, il m’est venu une image très drôle : c’est comme si vous deviez vous habiller le matin et que vous enfiliez tout de suite le costume avant de mettre votre slip (et vous ressembleriez à Superman des années 80).

Je lui ai donc répondu : « Faites un premier pas. Allez d’abord vers quelque chose de nouveau qui vous plait, une petite formation pour apprendre une nouvelle compétence, faire une activité qui honore vos intérêts et valeurs, que vous trouvez utile, qui vous parle au cœur. On devrait toujours l’écouter (le cœur). Quand votre tête ne sait plus, votre cœur Si ! Et vous allez voir, un jour le puzzle va s’assembler. »

Il m’a regardée.
Je l’ai regardé.
Bref, on s’est regardé.

Puis j’ai continué : « Vous savez quand moi je n’en pouvais plus de mon ancien job en tant que salariée, j’ai senti soudain le besoin impérieux d’apprendre quelque chose qui résonnait avec moi, avec mes intérêts, sous peine de sentir mon âme mourir.

Mon cerveau n’en pouvait plus de se liquéfier du bore-out.

Et un jour que je surfais sur internet, je suis tombée sur la radio Médecine Douce (que j’écoutais régulièrement car les sujets abordés répondaient à mes valeurs et centres d’intérêts).

J’ai trouvé la page de tous les podcasts et là mon cerveau et mes neurones ont pétillé de plaisir ! Enfin à manger ! »

 

Il a continué à me regarder avec un air encore plus concentré.

J’ai poursuivi : « Puis un jour je suis tombée sur une intervention d’une thérapeute qui parlait de sa méthode. J’ai tout de suite eu envie de l’apprendre. TILT ! J’avais envie comme ça, alors j’ai cherché une formation… et 6 mois après tout s’est enclenché dans ma vie. »
Il a marqué un silence, puis m’a dit avec une moue interrogative : « Oui, mais vous aviez déjà le projet de devenir thérapeute. »
Et là, je lui ai répondu trop vite OUI.

En fait, j’y ai repensé calmement après coup et la réponse était NON.

Non, je ne voulais pas devenir thérapeute. Mon projet était bien plus pragmatique que ça ! Je me suis juste dit : « Cette méthode a l’air géniale et si je peux me la faire sur moi, ça me fera faire des économies ! » Car j’étais en plein chantier thérapeutique avec peu de moyens financiers.

Ce que je voulais tout au plus, c’était m’installer officiellement comme énergéticienne et déjà ça, c’était pas gagné !

J’avais tant de peurs à virer de mon psychisme pour ne serait-ce que caresser cette idée un jour ! Devenir thérapeute, ce n’était pas dans mes projets du tout ! Je m’entends encore le dire à ma thérapeute de l’époque : « Oh non, je ne me sens pas capable d’être thérapeute, j’aurais trop peur de dire n’importe quoi… »

Et pourtant, 6 mois après, j’appuyais sur le bouton du siège éjectable à mon travail. Et 2 mois après, je me déclarais professionnellement comme… psychopraticienne (entre autres).

Tout ce que j’étais, tout mon parcours depuis tant d’années, toutes mes connaissances accumulées : tout s’était assemblé en un instant.

Il manquait juste cette dernière pièce et un signal intérieur pour que ça fasse « clic » et que la vie me propulse au-delà de mes espérances.

Le fait d’y repenser me fait sourire… 🙂

Plug-in !

Vous connaissez Indiana Jones ? Dans Indiana Jones et la dernière croisade, il y a une scène qui explique parfaitement ce qu’il se passe quand vous suivez en premier lieu votre cœur, que vous vous pluguez sur la bonne fréquence et qu’ensuite le chemin se dessine.

Quand vous faites un pas honnête, sincère en direction de vous-même, l’Univers vous répond.
(Si ! Si ! Je vous assure. Moi, ça m’a fait l’effet de la bibliothèque qui me tombe dessus alors que je ne voulais prendre qu’un livre dans l’étagère du haut).

Revenons-en à Indy…

Lors de sa quête du Graal, Indy doit traverser un gouffre alors qu’il n’y a pas de pont 😮 « Mais c’est impossible ! Personne ne peut sauter un vide pareil ! » Il a peur. Il ne comprend pas. Il se dit que c’est n’im-por-te quoi !!!

Mais ça urge ! Il doit traverser pour trouver le Graal et sauver son père qui se meurt !

Comment faire pour traverser ce gouffre ? Vite, vite !!! Son père mourant murmure le cœur plein d’espoir : « Tu dois croire mon fils… ».

Et là… Le trouillomètre au maximum, Indy a une illumination !

Il comprend soudain le sens profond de l’énigme de je ne sais plus quel Oracle, à savoir que seul le valeureux pourrait atteindre le Graal : « C’est un saut de la foi ! Bon Dieu, mais bien sûr ! », s’écrie-il.

Il murmure, il bafouille, le cœur tout chamboulé. Il comprend que même s’il a peur du danger et qu’il connait son but sans savoir précisément comment l’atteindre, il doit s’en remettre au destin et faire un pas dans sa direction en ayant la foi.

Alors, il ferme les yeux et se lance… Et MIRACLE, il ne tombe pas.

Son pied rencontre de manière inattendue un sol invisible, solide. Un pont transparent, qui se dérobait à ses yeux, apparaît soudain !

ll est surpris, très surpris mais tellement soulagé ! C’est beau. Il rit, Indy est heureux. Le cœur gonflé, il avance timidement d’abord puis s’enhardit et va de l’autre côté et trouve enfin le Graal.

Eh bien… Quand on suit ses tripes et son cœur, c’est pareil

On fait Un avec la vie. Et l’Univers conspire avec vous !

Vous êtes le petit oisillon qui commence à battre des ailes pour essayer de voler et qui soudain se dit « Eh ! Mais ça y est, je sais voler et puis c’est chouette, j’ai accès à ça maintenant qui était hors d’atteinte avant. Et ça va me permettre de faire autre chose que je ne pouvais pas faire avant du coup ! ».

Comme aux échecs, même si vous vous dites que vous ne savez pas jouer, vous avancez vos pions lentement mais sûrement et vous vous rendez compte au bout d’un moment que Mince !… Vous jouez la partie !

Et peu à peu quelque chose va prendre forme. Il y aura même certaines phases d’accélération qui vous étonneront. Cela indiquera d’ailleurs que vous êtes sur le bon chemin.

Faites des choix que vous AIMEZ, pour lesquels vous sentez de la justesse et de la résonance dans votre cœur.
Alors, à partir de vos choix sincères va se dessiner peu à peu une trame invisible qui va finir par relier tous les points, vous porter. Comme le pont d’Indy.

Et votre trajectoire fera « sens » soudain pour finalement prendre forme.
PLUG-IN. Votre prise mâle trouve sa prise femelle. Tout s’assemble.

Le flow arrive…

Va, vis, deviens ce que tu es. Au fond, tu le sais déjà

Moi je t’aide d’abord à te retrouver, à prendre conscience de qui tu es, à contacter ton âme, ton essence, les raisons de ta venue sur Terre. Nous irons voir ton bagage karmique (les acquis de tes vies antérieures) car cela éclaire aussi ta trajectoire…

Je t’aide à tracer les grands repères dans la carte de ta vie pour ne pas te perdre et qu’ils te guident toujours. Comme le faisaient les marins en suivant l’étoile polaire avec un sextant, certains qu’ainsi ils ne s’écarteraient pas de leur route en suivant la bonne étoile

Comme je suis aussi psychopraticienne, je t’aide à te libérer de tes peurs et de tes croyances limitantes afin de voler et de te lancer dans le flow.

Pour le reste : suis ton cœur, il connait la route…

 

Growing wings Leap of faith de Lara Fabian (Les ailes qui poussent – Saut de la foi)

As-tu déjà fait face à l’océan
Sans avoir la moindre idée
De comment nager, mais tu as quand même sauté ?

As-tu déjà embrassé un amour
Sachant que son cœur était brisé et abîmé
Mais tu l’as étreint quand même ?

Saut de la foi
Les ailes se déploient
Alors que tu tombes
Avant que tu ne heurtes le sol…

As-tu déjà erré dans le désert
Alors que les sables changeaient sans cesse
En te laissant toutefois guider par les vents ?

As-tu déjà parlé dans une langue
Que tu n’as jamais entendue avant
Mais ton esprit la comprend et semble s’en souvenir ?

Saut de la foi
Les ailes se déploient
Alors que tu tombes
Avant que tu ne heurtes le sol…

 

Avoir peur est normal. Mais ne laissez pas la peur diriger votre vie !

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

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Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

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Comment trouver une bonne idée de business ?

Comment trouver une bonne idée de business ?

Mary Mann

Et l’inscrire dans le temps

Quand on se morfond dans son bureau, qu’on a des ailes qui nous poussent dans le dos, qu’on veut s’évader de notre cage à Hamster où on meurt à petit feu, on pense souvent « Vite, vite, il faut que je trouve une idée business bien juteuse pour vivre les doigts de pieds en éventail à l’autre bout du monde et si possible sans rien faire ! » Et on se jette sur les pdf des bonnes idées business bankable dispensés partout. Mais… Etes-vous fait pour l’entrepreneuriat ? C’est quoi une idée de business qui marche ? Et sur quoi vous baser pour inscrire votre activité dans le temps ?

Elles fleurissent, elles envahissent la toile, les réseaux sociaux… Ces fameuses bonnes idées de business où l’argent va pleuvoir illico tout en restant dans sa piscine à Bali… Non mais sérieux ? Vous avez essayé de travailler avec votre portable au bord de la piscine avec les mains tout droit sorties de l’eau ? Le meilleur moyen de le foutre en l’air !

1-Avez-vous vraiment l’âme d’un entrepreneur opportuniste prêt à tout ?

Et pis d’abord… C’est bien la première question à vous poser.

Etes-vous bien celui qu’on essaie de vous vendre sur ces publicités racoleuses ?

Celui qu’on vient chercher avec les ficelles les plus vénales en vous faisant rêver à une vie de rentier au commerce tout automatisé sur le web qui bosse maxi 2 h par jour et qui fait fortune du jour au lendemain ? Oui ?

Ah, mince, on ne vous a pas dit que le Père Noël n’existait pas ? Ou que c’était ennuyeux à la longue ?

Ou au contraire, avez-vous envie d’être un entrepreneur qui fait une vraie différence dans le monde ?

Avez-vous envie d’avoir une activité qui résonne avec votre vie, votre âme ?

Vous avez répondu oui à cette dernière question ? Bien, alors à présent, il faut déjà vous demander si vous avez les ressources et les qualités pour être un bon entrepreneur. Et ça, vous pouvez en avoir une très bonne idée grâce à un bilan Orientation & Sens de Vie®.

Ben oui ! Ne demandez pas à un cheval de voler au dessus d’un ravin, il se plantera c’est sûr à moins qu’il s’appelle Pégase.

Notamment, dans les qualités nécessaires, il faut être très,très, très, très (euh?… L’ai-je dit assez ?) persévérant, pour continuer d’y croire, pour rebondir, être créatif…

Grâce à Orientation & Sens de Vie® vous pourrez aussi comprendre ce qui vous pousse à agir dans la vie et vous porte à vous engager pour telle ou telle cause, activité… Et donc déjà esquisser les contours de votre business !

2-Qu’est-ce qui fait un bon business ?

S’il y a un marché, c’est bien. On peut aussi opter pour une franchise qui permet de ne pas sauter dans l’aventure tout seul et en s’appropriant un concept qui a déjà fait ses preuves.

Mais parfois, on crée son marché car on a une bonne idée en pressentant les prémices d’un changement qui se balade dans l’air… Autrement dit, on a du flair…

D’ailleurs, quand on voyage, cela arrive souvent. Je me rappelle avoir vu émerger plusieurs trucs à l’étranger bien avant que ça n’arrive en France, comme par exemple la folie des Smoothies en 2000 au Portugal… ou encore comme les colis beauté auxquels on s’abonne : la fondatrice de Birchbox en a eu l’idée en suivant des blogueuses des USA.

Pensez aussi à faire une veille du marché pour repérer les idées qui ont du succès et les grandes tendances internationales.

Si vous projetez de vendre sur internet par exemple, de créer un site en ligne, je vous donne un super conseil : allez dans les foires professionnelles, les salons internationaux pour repérer les nouveaux produits, les nouveaux concepts, vous inspirer…

Observez les choses en vous posant des questions telles que :

  • Y a-t-il trop de concurrence ?
  • Feriez-vous les choses précisément comme cela existe déjà ?
  • Est-ce que vous pourriez perfectionner un concept existant ?

Cela vaut le coup de s’interroger.

Mais au-delà de cette veille, une bonne idée de business, c’est premièrement une idée qui rencontrera vos centres d’intérêts et qui vous permettra de vivre en accord avec vos valeurs, qui sera alignée avec votre âme afin que vous ayez envie de persister dans cette voie.

Puis, elle devra être rentable et répondre à un besoin existant ou émergent !

En dernier lieu, il ne faut pas oublier la bonne fortune et surtout l’intuition.

Car même si on ne peut pas tout maîtriser, on peut néanmoins cultiver la chance et les synchronicités.

Oui !

Se mettre à la méditation et pleine conscience, (qui offre des moments euréka !  en ouvrant les portes de notre subconscient) permet de saisir plus aisément les opportunités, faire des choix avisés en étant centré, de sentir le sens du vent ou d’avoir des réponses intuitives…

Pas négligeable tout de même ?

 

3-La vraie bonne idée de business qui marche

Des idées business, il y en a plein. Ce qu’il faut, c’est trouver celle qui sera une extension parfaite de votre personnalité, qui collera à votre mission de vie. Et vous permettra de ne faire qu’UN dans votre vie et dans votre business. Car c’est comme ça qu’on est heureux ! Quand on est aligné professionnellement avec son âme et uni en soi, que nos pieds avancent dans la même direction au service d’un projet qui nous porte !

Avez-vous les qualités propres à telle ou telle activité ? Non ? Alors laissez tomber, même si elle figure dans le Top 10 de Mister Bidule qui vous le jure sur la tête de sa mère « ça crache le pognon ! » en tenant son cocktail dans la main et en arborant un sourire dentifrice sous les tropiques.

Est-ce que ce domaine d’activité vous intéresse ? Non ? Alors, oubliez-le. Car passé l’effet Lune de miel euphorisant, vous finirez comme la mission challenger : à peine décollé, aussitôt crashé. En effet, dans un business, il faut durer et si on n’y trouve aucun intérêt, autant ne pas commencer !

Je repense à ce créateur de start-up dont j’avais lu l’histoire sur son blog. Tellement limpide… Il avait créé une « appli » (comme tout bon diplômé de grande école de commerce qui se respecte) en vue de monter un business lucratif et de surfer sur le marché des smartphones…

Résultat : il s’était retrouvé à créer une appli dont tout le monde se fichait, à commencer par lui !

Il faisait des conférences pour faire découvrir son « appli révolutionnaire » avec la force de conviction d’un lézard endormi au soleil. Mais il ne s’est rendu compte de tout ça… qu’au bout de 1 ou 2 ans après avoir fait un burn-out en bonne et due forme… Et aujourd’hui, il met en garde les aspirants « appli » ou « business » juste dans un but lucratif.

Il a raison : comment voulez-vous que les clients pensent que votre produit est le meilleur, le plus efficace et le plus beau du marché si vous n’y croyez pas vous-même ? S’il n’a pas d’âme ?!

 

« Si vous êtes convaincu, vous serez convaincant ! »

Une bonne idée de business, elle vient de votre cœur. Elle parle de vous car elle diffuse votre histoire entre les lignes, votre vision de la vie, votre essence. Elle répond fréquemment à un besoin que vous avez souvent côtoyé dans votre vie. Sans cela, il n’y a pas vraiment d’âme et vous laisserez vite tomber…

Se lancer dans un business juste parce qu’un autre y a réussit ne garantit absolument pas que vous réussirez aussi ! Il vaut mieux croire un minimum à ce que l’on fait pour non seulement être convaincant mais surtout pour durer !

Suivez également le bon conseil de Matthieu Ricard : « Avant de faire quelque chose je me demande toujours si c’est utile aux autres. Si la réponse est non, je ne le fais pas. »

Pour marcher, un business doit faire écho à votre histoire, avoir une âme

Et n’oubliez pas : La différence entre une idée qui a réussi et une idée qui a échoué, c’est la persévérance.

C’est grâce à la persévérance qu’on améliore une idée en se relevant de ses échecs, et qu’on tient dans le temps quand d’autres abandonnent !

Ainsi, trouver une bonne idée de business dans un marché de plus en plus concurrentiel ne parait pas évident de prime abord. Néanmoins, il est important de vous mettre en action, d’ouvrir votre esprit vers le monde extérieur pour sentir l’air du temps mais aussi de vous reconnecter profondément à votre âme. Cela vous donnera déjà des premières clés pour créer une activité porteuse et qui vous ressemble. En effet, l’idée de business faite pour vous sera forcément une rencontre entre ces deux sphères. Créer une activité solide demande beaucoup d’énergie et de volonté. Mais si vous êtes objectif, que vous écoutez votre cœur, que vous vous mettez au service du monde et que vous vous en donnez les moyens, ce que vous créerez sera beau et en vaudra la peine.

 

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Etes-vous sûr de bien suivre la bonne étoile ?

Etes-vous sûr de bien suivre la bonne étoile ?

Mary Mann

Mon étoile polaire

La vie est un voyage, c’est le chemin… Mais si nous sommes maîtres de nos choix, d’aller à gauche ou à droite, il est important d’identifier puis de garder à l’esprit et dans notre cœur, nos fondamentaux. Il est préférable de savoir autour de quoi nous voulons faire graviter notre existence dans son ensemble afin de ne pas nous perdre de vue en chemin… C’est pourquoi je vous invite à cette métaphore marine ultra pertinente.

Seriez-vous un bon marin ?

Almanach du marin breton de 1906 : P. 45
Pour trouver l’ETOILE du Nord, dans le Ciel

 

« Tous les marins connaissent l’Étoile du Nord (qu’on appelle aussi Étoile Polaire) et savent la trouver dans le ciel au premier coup d’œil. C’est donc aux mousses et aux jeunes gens que nous pensons adresser ce qui suit.

Vous savez, chers amis, qu’il est absolument nécessaire de savoir reconnaître sans erreur l’Étoile du Nord, parce que c’est la seule étoile du ciel qui est toujours à la même place, et parce que c’est justement le nord qu’elle marque. En effet, si vous n’avez pas de compas à bord, l’Étoile du Nord vous permet, toutes les fois qu’elle paraît, d’assurer votre route, et si vous avez un compas, cette étoile vous donne toutes facilités pour vérifier si votre compas marque juste, ou de combien il varie. »

Etes-vous bien sur la bonne route ?

Avez-vous parfois ce recul et regardez-vous d’en haut votre vie ? Histoire de voir où vous en êtes… Dans votre jeunesse, vous rappelez-vous avoir décidé véritablement de ce que vous vouliez être, du métier que vous vouliez exercer, d’où vous vouliez aller ou bien naviguez-vous depuis toujours à vue ?

Etes-vous bien à la barre de votre navire ou est-ce qu’un usurpateur a pris les commandes ?
Etes-vous sûr de bien suivre la bonne étoile ? Celle qui indique votre Nord ?
L’avez-vous perdue de vue en route ou suivez-vous depuis le départ celle de quelqu’un d’autre ?
Avez-vous l’impression d’avoir dévié de votre vraie trajectoire ?

Si oui, de combien ?

Comment reconnaître son étoile polaire ?

Mon étoile polaire c’est la seule étoile toujours au même endroit dans mon ciel.

C’est celle qui brille très fort et dont la beauté me transporte. Quand je la regarde, je sais ce qui me rend heureux.

C’est celle qui est alignée au plus près de l’axe de rotation de ma planète, la mienne, de moi et me garde dans l’axe de ma vie.

C’est celle qui guide mes pas et mes choix car elle indique toujours mon Nord. Celle qui éclaire mon chemin et m’aide à garder le cap. C’est celle que je veux absolument retrouver quand je me suis perdu car je pourrai savoir alors de combien j’ai dévié…

Mon étoile polaire, c’est celle qui brille dans mon cœur et dans mon âme. Celle qui ne fait qu’un avec l’univers et qui me connecte à lui et à la vie, à MA vie, à Moi. Enfin, c’est celle qui me reconnecte à mon essence et qui me rappelle d’où je viens et qui je suis, pour savoir où aller, vivre en cohérence avec moi-même et dans le monde…

« C’est celle qui brille très fort et dont la beauté me transporte. Quand je la regarde, ma vie prend sens. »

Hélas… Il est si facile de s’égarer…

Notamment quand, avant notre voyage, nous n’avons pas pris de points de repères solides, fixes et immuables pour ne jamais perdre notre cap ! Ceux dont on est sûr qu’ils sont nos fondamentaux dans la vie.

Ceux autour desquels nous pourront composer notre voyage mais pas aller contre. Au premier orage, à la première tempête, votre boussole tombée à l’eau, comment vous orienter ?

Si vous n’avez pas pris le temps de considérer avec attention votre destination, votre but, et si vous n’avez pas fait attention à vos points de repères essentiels, aux ressources nécessaires à votre voyage en mer, celui-ci risque fort de devenir un calvaire ou au mieux une errance difficile… aboutissant à une destination surprise et souvent non voulue.

Il en va de même de la vie : si vous n’avez pas pris le temps de considérer avec attention votre objectif global, vos priorités, vos talents et vos valeurs : votre voyage de vie risque fort de devenir une errance pénible… finissant dans une impasse insatisfaisante.

Comment corriger sa trajectoire si on s’est perdu en route ?

 

Trouver son étoile polaire et ce qui nous rend heureux
La suivre pour se respecter et vivre en cohérence
Comprendre notre mission de vie et d’âme
Etre conscient de l’accomplissement qui nous motive
Etre libre et soi-même… Afin d’être pleinement épanoui !

 

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Maryanne Manneville

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Comment découvrir son alignement professionnel ?

Comment découvrir son alignement professionnel ?

Mary Mann

Avoir un job qui fait sens et pour lequel on est fait

On parle souvent d’alignement professionnel pour dire que notre job est en accord avec notre nature et nos aspirations. Or qu’est-ce qui fait que tant de gens se retrouvent à faire un travail si éloigné d’eux-mêmes ? Ils flottent au vent telles des herbes folles se laissant définir par des conditions extérieures, des injonctions subtiles, des diktats sociétaux… Et ils ne savent plus qui ils sont. L’ont-ils d’ailleurs déjà su ? Alors, avant de se demander « quel métier faire pour être heureux », que faut-il faire pour découvrir notre harmonie professionnelle ?

Prenez le temps de vous rencontrer

La première chose à faire pour découvrir progressivement votre alignement professionnel, et c’est impératif, c’est que vous repreniez contact avec vous-même.

Car le problème majeur de notre époque est qu’on n’a jamais été aussi connecté (tout le temps) à des appareils, internet, Facebook et autres réseaux sociaux… aussi stressé par des emplois du temps de malade… mais aussi déconnecté de soi et du monde ! Et ceci déjà très tôt…

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Faut dire que vous avez probablement eu un entrainement de choc…

Pierre Rabhi a dit très justement : « Aujourd’hui, on est tout fier lorsqu’un enfant de 5 ans sait manipuler la souris de l’ordinateur et compter parfaitement. Très bien. Mais trop d’enfants accèdent à l’abstraction aux dépens de leur intériorité, et se retrouvent décalés par rapport à la découverte de leur vraie vocation. Dans notre jeune âge, nous appréhendons la réalité avec nos sens, pas avec des concepts abstraits. Prendre connaissance de soi, c’est d’abord prendre connaissance de son corps, de sa façon d’écouter, de se nourrir, de regarder, c’est ainsi que l’on accède à ses émotions et à ses désirs. »

Alors prenez le temps de recontacter votre Etre intérieur. Allez dehors, marchez, sans rien d’autre que vous. Oubliez votre portable et votre ordinateur pendant ne serait-ce qu’une journée. Par pitié, ne devenez pas un Smombie (Smartphone zombie) !

Marchez en silence et regardez la vie autour de vous, les gens, la nature. Prenez le temps d’observer vos mouvements intérieurs et descendez en vous-même… Autrement dit : ancrez-vous dans le moment présent !

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Inspirez, soufflez et fermez les yeux un instant.

Soyez pleinement présent aux autres et à vous-même pour découvrir ce qui vous déplaît, ce qui vous plait, là où vous excellez, quels sont vos besoins essentiels…

Redécouvrez les bienfaits d’activités manuelles : savez-vous que c’est grâce aux extraordinaires capacités des mains tant en matière de création que de fabrication, que le cerveau de l’homme s’est développé ? Vos mains méritent mieux que la surface froide d’un souris, d’un clavier ou d’un smartphone !

Apprenez aussi à ne rien faire durant une pause, c’est essentiel. Laissez des silences s’installer pour mieux entendre le murmure de votre âme. Cela permet de construire son imagination, sa créativité. C’est pas moi qui le dit, c’est la neuroscience. Y arriver, c’est le chemin vers le centrage au creux de soi.

Car même lorsque nous ne pensons à rien, notre cerveau est actif. Il trie les informations accumulées, réactive des souvenirs, permet d’adopter de nouveaux points de vue : la rêverie est un moment privilégié qui stimule la créativité, votre créativité.

Rien de plus facile que de laisser ses pensées vagabonder. Et quand nous rêvons éveillés, un « réseau neuronal de repos » prend le relais. Et c’est là que de supers idées peuvent émerger, des prises de conscience salutaires !

 

Ensuite il sera bien temps de se poser les bonnes questions…

Car il ne sert à rien de s’interroger sur des questions aussi cruciales que la reconversion à choisir, si on ne se connait pas !

Comment décider de quelque chose quand on est dans le brouillard ou le TGV, coupé de soi-même, et qu’on ne voit rien clairement ? C’est tout l’enjeu du travail que je vous propose dans Orientation & Sens de Vie® !

Mais pour commencer à vous exercer à « l’art de se poser les bonnes questions »

En voici une première ! Et mon Dieu, qu’elle est bonne, qu’elle est légère !

 

Plutôt individualiste ou altruiste ?

Et je précise bien qu’il faut entendre la réponse sans aucun jugement : «Est-ce que je veux expérimenter une vie individualiste centrée uniquement sur moi ?» ou «Est-ce que j’ai besoin d’avoir une vie au service des autres, de la Vie, du monde ?».

Ce sont les deux facettes d’une question fondamentale qui va aiguiller tout le reste ! (sachant que l’on peut aussi avoir du plaisir et se réaliser en optant pour une vie au service des autres, et qu’un métier altruiste n’est pas forcément celui d’infirmière, de psychothérapeute etc.

Ben oui, dans l’esprit de beaucoup de personnes, être au service des autres, c’est forcément être mère Térésa… C’est ce que m’a fait comprendre une jeune étudiante un jour : « J’aimerais bien aider les autres, mais je crois que je n’en aurai pas le courage… » J’ai ouvert de grands yeux. Que néni ! Croit-elle que le fait de travailler, d’exercer une activité soit sans répercussion sur les autres ?

Alors individualiste ou altruiste, dans les deux cas, c’est OK. Pourquoi ? Ben oui, pourquoi Maryanne ? Parce que c’est votre chemin de vie, que vous avez le droit de décider de ce que vous voulez expérimenter dans votre vie.

Nous sommes ici incarnés pour expérimenter. Que vous partagiez ou non ma croyance, je crois en la réincarnation. Donc si vous avez vécu une vie de crève-la-faim au 18ème siècle ou été brûlé quinze fois sur le bûcher, vous aurez peut-être besoin de prendre des vacances… Ça se comprend. Mais bon… Je vais développer.

 

La notion de vie individualiste

fame photoLa caricature de ce type de vie est de vouloir être une star, riche ou célèbre… sans autre but que de contenter son ego ou de gagner plein d’argent. « Je veux faire célèbre ! » oO

Si vous voulez être heureux dans la vie, il faut bien prendre conscience qu’être une star, célèbre ou riche et ne doit pas être un but mais une conséquence possible de votre action.

Un certain nombre de jeunes souhaitent faire « célèbre » en croyant peut-être que c’est un métier. En plus, ils ne voient souvent que le bon côté de la vie des stars qu’ils envient…

Souvent, cela cache ni plus ni moins un manque criant de reconnaissance et le besoin d’être aimé par beaucoup de gens pour se donner de la valeur au travers du regard des autres, autrement dit que les autres leur donnent cette valeur qu’ils ne s’accordent déjà pas eux-mêmes.

Du coup, cette course après des chimères qui risque de ne jamais s’arrêter, donne malheureusement des désillusions terribles quand la célébrité n’est plus là : on entend régulièrement des news de morts tragiques de stars déchues, qui ne sont plus aimées du public…

C’est une vie dont le seul sens est tourné vers soi, l’amour du public étant recherché pour guérir une estime personnelle défaillante. Mais je le répète : si quelqu’un veut l’expérimenter : c’est OK, c’est son chemin de vie.

Mais on peut tout à fait avoir une vie individualiste incognito, pas besoin d’être une star ! On peut ainsi participer à un système capitaliste de production de richesse sans aucun état d’âme, système qui met en compétition les individus, qui détruit la terre et ses êtres vivants…

Mais il y a peu de chance qu’on trouve un sens positif à ce qu’on fait !

C’est ce que dit également Corinne Berthaud, auteure du livre Cette comédie qu’on appelle le travail : « Un salarié qui est individualiste ne va jamais trouver le sens de son travail et même de sa vie en général. L’intérêt c’est de privilégier la mission dans laquelle on est engagé car les attributions (salaire, avantages) ne sont que des illusions. C’est ainsi qu’on appâtait les salariés avant. Il faut que les salariés prennent conscience de ça. Si on privilégie uniquement l’aspect matériel et financier, on ne peut pas se réaliser, c’est impossible. Qu’est-ce qui fait qu’on craque ? C’est quand on n’a plus de sens ! Le sens même, c’est se sentir exister, d’avoir ce sentiment d’utilité, c’est ça qui est prioritaire ! »

money photoGilles Vernet aussi est revenu de sa vie individualiste.

Cet ex-trader devenu instituteur parle très bien de sa vie d’avant : «…faire de l’argent pour faire de l’argent, à un moment donné : on tourne en rond, il y a un manque de sens. La maladie de ma mère m’a soudain mis en face de cette réalité. Le 11 septembre 2001 a fini le processus : j’ai été voir mon chef pour lui dire que je souhaitais arrêter, il m’a d’abord proposé un poste aux îles Caïman… J’ai insisté en lui demandant s’il comprenait ce besoin de se consacrer à des choses importantes, comme s’occuper de sa famille… Et il a accepté. »

Gilles Vernet consacre maintenant sa vie aux autres, motivé par la transmission aux enfants. Il a d’ailleurs réalisé un film Tout s’accélère où il s’interroge avec ses élèves de CM2 sur l’accélération vertigineuse de notre monde, notre mode de vie et la quête irréaliste de toujours plus de croissance…

 

Donc une fois que vous avez choisi entre une vie individualiste ou une vie altruiste, voici la question suivante…

Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?

Quel est votre Pourquoi ?

Ben oui, Pourquoi ?

Nul besoin de préciser que si vous voulez une vie individualiste, votre POURQUOI c’est vous !

Et plusieurs options s’offrent à vous : jet-setter, trader, Paris Hilton, Nabilla, star égocentrique… Plaisanterie mise à part, il y a des stratégies pour gagner beaucoup d’argent, travailler moins longtemps, se constituer un patrimoine pour devenir peut-être rentier un jour, briller en société en choisissant un métier dont on n’a rien à faire mais qui offre un bon statut, faire la starlette… Mais bon… Vous pouvez plus simplement exercer un métier au service du capitalisme, sans éthique, qui pollue la planète, sépare les gens, les exploitent…

Mais dans ce cas, pas besoin de continuer la lecture de cet article…

Pour les autres qui auraient répondu ALTRUISTE… Avez-vous remarqué quelle est la question la plus fréquemment posée quand on rencontre un inconnu ?

« Et toi ? Tu fais quoi dans la vie ? »

Remarquez combien cette question est trop réductrice et s’attache à la forme, pas au fond. Rappelez-vous de vos rédactions en cours de français où on vous rabâchait qu’il ne fallait pas faire de hors sujet et qu’il fallait être plus attentif au fond qu’à la forme.

Eh bien pour être heureux au travail, c’est pareil ! Identifier au service de quoi on veut œuvrer est la base, la fondation même d’une vie professionnelle heureuse.

Cependant, beaucoup d’entre nous se laissent porter par le courant sans choisir au service de quoi ils veulent œuvrer et sous quelle forme ils veulent aider les autres, comment participer au monde.

C’est la grande différence entre le POURQUOI et le COMMENT.

« Ce qui est essentiel, c’est le Pourquoi, pas le Comment. » Mary Mann

Le problème vient de très loin…

Quand un enfant demande à ses parents pourquoi ils travaillent, que répondent-ils ?

« Pour gagner de l’argent ! »

Ben oui hein, c’est ballot… Marmonnez-vous en secouant la tête devant votre ordinateur (oui oui, je vous vois).

Cette malheureuse réponse va contribuer dès l’enfance à donner une image négative du travail, qui ne servira à rien d’autre qu’à gagner de l’argent (en aucun cas, ça ne peut être plaisant et épanouissant et c’est encore plus de la science fiction que de croire qu’on peut gagner de l’argent en faisant un truc qu’on aime – ben oui !). Mais c’est un autre point que j’aborde dans l’atelier sur la relation à l’argent.

Plus tard, à l’école…Nous devenons de futurs outils de production et pour nous insérer dans la société. Nous ne sommes pas accompagnés pour trouver ce qui nous anime ou nous pousse à agir. L’école est surtout conçue aujourd’hui comme un moyen pour trouver un travail et un travail est un moyen pour gagner de l’argent.

Vous me suivez ?

Nous sommes formatés pour trouver un travail pour gagner notre vie (oh quelle belle expression !) et qui plus est en CDI n’est-ce pas ?

Aparté : Vous a-t-on parlé de l’entrepreneuriat à l’école ? Non ? Ben moi non plus ! Normal, on nous inculque l’idée par défaut que le Graal est un CDI. Mais comme Corinne Berthaud le dit très justement : « C’est quoi la vie ? Le royaume des CDI ? Un prêt sur 30 ans et on attend le jour de l’an pour faire la fête ? C’est ça la vraie vie ? » (J’aborde ce point du salariat ou de l’entrepreneuriat dans un autre article car le salariat n’a pas toujours été la norme).

En conclusion, vous l’aurez compris : quand on est aligné dans un job qui fait sens, on ne travaille pas en premier lieu pour gagner de l’argent.

On travaille pour participer et apporter notre contribution à la collectivité, à une cause, à un Pourquoi. Car ça nous rend heureux et on se sent utile. Et on continuerait à le faire même si on n’en retirait pas d’argent, car c’est NOTRE TRUC !

Malheureusement dans la majorité des cas, on ne connecte jamais un travail à un BUT plus grand que soi, à un POURQUOI.Très souvent, on ignore tout bonnement quel est notre Pourquoi !

C’est ainsi que tant de gens se retrouvent dans des études sans aucun sens pour eux ou qu’ils sont perdus dans un secteur qui ne les intéressent pas… simplement parce qu’ils pouvaient les faire, 

Et ils vivent une vie qui n’a pas de sens, à contre-courant de leur nature, de leurs valeurs, de leurs priorités, à la fois dans ce qu’ils sont, font et la cause qu’ils servent. Ils sont au service de quelque chose qu’ils n’ont pas choisi en conscience !

Exemple réel : une personne pour qui l’humain et le lien social sont importants, qui a des valeurs écologiques et qui se retrouve informaticienne chez Total. Comme grand écart à la J-C Van Damme, c’est pas mal, non ? Mais surtout… ça fait mal à la longue…;-)

Donc si tous ces gens perdus ne se sont pas interrogés au départ, ils finissent par le faire un jour ou l’autre. Ils finissent par ressentir un gros problème existentiel et par être malheureux sans trop comprendre le diagnostic ni comment trouver une solution, car ils se sentent piégés par tout un tas de choses.

Et quand ils cherchent désespérément une issue, il est fréquent d’entendre :

« J’ai envie d’autre chose, mais je ne sais pas quoi faire… »

Ils pensent mystérieusement que la réponse est à l’extérieur d’eux-mêmes et que la réponse est d’abord dans le COMMENT et non dans le POURQUOI.

« Le Pourquoi sert à comprendre le SENS profond de notre action. » Mary Mann

Le POURQUOI c’est votre ballon qui vous suit partout au bout de votre main, et quand vous levez la tête vous le voyez et si votre action est en cohérence avec ce pourquoi, vous ne vous perdez pas en route, vous commencez même à vous respecter !

C’est comme les repères que prennent les voyageurs pour naviguer sur l’océan sans se perdre. Des repères lointains ou fixes, qui ne bougent pas comme l’étoile polaire par exemple. D’ailleurs, êtes-vous bien certain de suivre la bonne étoile ?

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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J’ai quitté une réunion et ne suis jamais revenu

J’ai quitté une réunion et ne suis jamais revenu

Article de James Altucher
Rédacteur au The Altucher Report

James Altucher

Traduit par Mary Mann

Quand je suis tombée sur cet article, j’ai tout de suite eu envie de le traduire. Il illustre brillamment la quête de sens, une prise de conscience soudaine durant un meeting, le déclic puis le saut du navire… James Altucher, qui a vécu ce basculement, le raconte avec brio

Eh bien, je n’ai pas démissionné. C’était pire que ça.

C’était en plein milieu d’une réunion. Je m’ennuyais à mourir. En plus, j’étais nerveux car mon nouveau boss m’avait dit « Ne t’inquiète pas pour ça » suite à ma demande d’augmentation.

« Ne t’inquiète pas pour ça » veut dire « Va te faire ****** ».

Et ma jambe me faisait mal. J’étais tombé la veille sur le trajet pour aller déjeuner avec mes collègues.

Alors, au beau milieu de la réunion, j’ai prétexté d’aller aux toilettes. J’ai boité vers la sortie. J’ai dit au revoir à la standardiste. Je n’ai pas pris mon manteau, mon sac, ni même un des livres.

Il se pourrait que mon nom soit probablement encore sur la porte.

Tenté d’appuyer sur le bouton ?

J’ai pris l’ascenseur pour descendre 49 étages plus bas. Je suis allé à la gare centrale, j’ai pris le train vers le Nord sur 112 km. Je ne suis jamais retourné au travail.

Ils ont essayé de m’appeler et de m’envoyé des emails. Même plusieurs années plus tard, j’ai reçu un email de mon boss disant « Nous aimerions toujours t’avoir parmi nous ».

Je n’ai jamais répondu à aucun des emails ou appels, même pas le dernier. Vous pouvez me juger.

Ce n’était pas la manière la plus éthique de quitter un emploi. Et je ne suis pas très bon pour tout ce qui est de l’ordre de la confrontation.

Mais quelques fois, c’est trop. Quelques fois, tout s’additionne jusqu’à ne plus pouvoir bouger, jusqu’à ne plus pouvoir sortir du lit.

Qu’y avait-il de si mauvais, chéri ?… me dit mon ami imaginaire qui m’aime tous les jours.

A) Pour chaque dollar créé, 50-80 pourcents sont mangés par le boss ou son boss, ou le boss de son boss, ou une quelconque machine.

B) Pour chaque dollar ramené à la maison, 40 pourcents sont pris par le gouvernement, 10 pourcents sont pris par l’assurance santé, et quelques autres pourcents sont encore pris par le transport pour aller au travail.

C) J’étais dans l’illusion que mes collègues de bureau étaient de vrais amis. Au travail, tout le monde se poignarde dans le dos tout le temps.

« Au travail, tout le monde se poignarde dans le dos tout le temps. » – James Altucher

Salut !… Ca va ?

D) Si je parle à quelqu’un du sexe opposé, je dois lire trois manuels et signer des formulaires en triple exemplaires avec le RH pour être sûr que c’est ok. (Note de la traductrice : aux USA, le harcèlement sexuel au travail est très encadré et le moindre contact physique peut être mal interprété et engager des poursuites judiciaires)

E) Quand j’essaie d’impressionner les clients, je dois faire semblant de les apprécier.

F) Au petit-déjeuner et au déjeuner, je ne mange rien d’autre que de la mal-bouffe entre deux réunions qui broient mon âme.

G) De 6 h du matin à 20 h, soit je me prépare à travailler, soit je vais au travail, soit je suis au travail, ou je rentre chez moi après mon travail. Et ceci potentiellement pendant 50 ans.

H) Ma femme pourrait compter moins que n’importe lequel de mes jobs. Et après un moment, on oublie pourquoi nous nous sommes rencontrés, pourquoi nous sommes tombés amoureux, jusqu’à finalement n’avoir plus qu’une étrangère allongée dans mon lit près de moi pour le reste de ma vie. 40 années plus tard, tu meurs auprès d’une étrangère.

I) Chaque dollar que j’ai dépensé pour mes études était pour me construire un filet de sécurité juste au cas où « je tomberais ». Devinez-quoi : mon job est justement ce dans quoi je suis « tombé ».

J) Si mon boss crie après moi, tout ce que je peux faire est m’excuser. J’avais l’habitude de quitter l’immeuble et d’aller en bas de la bibliothèque publique de NY et de juste attendre de retrouver mon calme.

K) J’ai cartographié toutes les toilettes publiques dans un rayon de 6 pâtés de maison. Personne ne veut pisser près de son boss. C’est dégoûtant et humiliant.

« Trouvez le vrai sens de votre vie au lieu d’avoir pour moteur des buts financiers ou le plaisir » – James Altucher

Nous avons des mains pour aimer et créer. Pour toucher et inspirer.

Trouvez le vrai sens de votre vie au lieu d’avoir pour moteur des buts financiers ou le plaisir.

Quand vous trouvez un sens qui distribue de la valeur, de l’art, et aide les autres à accomplir leurs propres rêves, vous trouvez le bonheur.

Ce bonheur est ce qui vous pousse hors du lit chaque matin. Ce qui vous permet de créer de vrais liens avec les gens.

Ce qui vous permet de créer le monde dans lequel vous avez toujours voulu vivre.

Un jour, vous avez été un petit enfant

Un jour, vous avez été un petit enfant. Vous avez joué dans le bac à sable avec vos amis. Vous aimiez les gens et construisiez des châteaux. Maintenant, allez-y. Maintenant, allez et jouez encore. Le monde est empli de sens.

Trouvez le vôtre !

 

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Comment apprendre à Etre plutôt qu’à « Faire »

Comment apprendre à Etre plutôt qu’à « Faire »

Mary Mann

Pour ne pas vivre en somnambule !

Comment Etre au monde et ne pas résumer sa vie à une suite de tâches effectuées ? Chaque jour, pris dans le tourbillon quotidien, nous avons trop tendance à nous oublier. C’est ce qu’Anita Moorjani nous invite à méditer, riche de son expérience de mort imminente qui lui a donné une conscience élargie de la vie.

Anita Moorjani – qui a fait une expérience de mort imminente inspire aujourd’hui des centaines de milliers de personnes avec un discours qui invite à s’aimer soi-même, sans chercher à vivre une autre vie que la sienne.

« Quand je parle d’être plutôt que faire, c’est en référence au fait que notre culture est tellement concentrée sur le Faire – faire son travail, faire ceci ou cela – que nous agissons presque en état de somnambulisme, sans nous demander qui nous sommes vraiment.

On va à l’école, puis à l’université, puis on cherche un emploi, et à aucun moment on ne se demande :

Qu’est-ce que je veux vraiment faire ?
Qu’est-ce qui me donne de la joie ?
Quelle est ma passion ?
Est-ce que cette carrière nourrit ma passion ?
Est-ce que je suis vraiment mon appel intérieur ? »

« Nous agissons presque en état de somnambulisme »

On se pose seulement des questions du genre :

« Est-ce pratique ? Est-ce que ça va me rapporter de l’argent, du prestige ? »

Ce sont des choses liées uniquement au mental, et nous avons été conditionnés à fonctionner ainsi par nos parents, nos professeurs ou nos patrons.

C’est pourquoi j’insiste sur l’Etre plutôt que sur le Faire.

Si au contraire on fait les choses en conscience, et qu’on fait ce qui nous apporte de la joie, alors le Faire est un reflet de l’Etre, de qui nous sommes. »

Extrait d’un entretien avec l’INREES « Je suis revenue guérie de la mort » publié le 26/09/2016 – Auteur : Jocelin Morisson

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

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Comment réussir à lâcher le travail qui vous fait vivre ?

Comment réussir à lâcher le travail qui vous fait vivre ?

Mary Mann

Arrêter de se faire des films pour briser ses chaines

Le marché du travail va mal. Pas seulement à cause du chômage. Depuis que la rupture conventionnelle existe, les demandes ont explosé ! Or, tandis que certains osent, beaucoup ne font que rêver à autre chose et ne passent jamais à l’acte. Pourquoi ? Car la peur les paralyse et leur auto-saboteur leur fait imaginer le pire, avant même d’avoir réfléchi calmement à leur projet. Cette simple introspection qui n’engage pourtant à rien, est une étape clé, parmi d’autres… Mais quelle est donc la marche à suivre pour réussir à lâcher le travail qui vous fait vivre ?

En 2013, 70% des 18-35 ans ne se retrouvaient pas dans leur job.

En 2014, 48% des français souhaitaient se reconvertir professionnellement. Néanmoins, beaucoup n’en restent qu’à l’étape du rêve… ou plutôt du cauchemar.

1-Pause… arrêtez le film !

Bien des gens rêvent d’une autre vie… Mais ne passent jamais à l’acte.

D’ailleurs, leurs croyances : « C’est impossible, de toute façon !» ou « Je n’y arriverai jamais !» sont si ancrées qu’ils ne passent même pas à la phase d’étude.

Pourtant quel risque y a-t-il ?

Serait-ce comme embrasser c’est tromper ? Est-ce que le fait d’échanger un baiser avec un flirt d’un soir un peu arrosé, va vous faire quitter foyer et conjoint sur-le-champ puis vous marier avec un autre, et tout ça dans les 2 jours ?

Ridicule.

Avant de changer de voie, pourquoi ne pouvez-vous pas tout simplement rêver,

puis réfléchir, bien avant de tester pour voir ?

 

Dans un désir de reconversion, nombreux sont ceux qui s’emballent.

C’est comme si le simple fait de penser et étudier une alternative allait les projeter instantanément dans une nouvelle existence aux antipodes de la précédente !

La simple évocation d’un changement, leur fait l’effet d’un saut en parachute… SANS parachute !

Ils se retrouvent alors face à leurs peurs les plus intenses ! Ils font soudain le Bernard-l’hermite.

« Oh mon Dieu ! Et si j’admettais ainsi clairement que je ne veux plus de cette vie-là ?

Si je découvrais qu’autre chose était possible ?!

Ou pire : Je vais finir sous les ponts ! »

Et à peine la pensée est émise que soudain : les violons, Fantine, Jean Valjean et Cosette arrivent…

Pour enterrer des rêves en bonne et due forme lors d’un plan séquence catastrophique et misérabiliste débouchant forcément sur le pire…

Vite, vite ! Pris de panique, ils remettent le couvercle sur leurs émotions, se déconnectent encore un peu plus d’eux-mêmes, jusqu’à la prochaine bouffée de ras-le-bol.

Pourtant le magma bout à l’intérieur ! Et d’expérience, il risque de devenir incontrôlable et voudra sortir un jour !

 

Mais, dites-moi…

Avez-vous déjà été projeté instantanément dans un supermarché à la simple idée d’acheter de la mayonnaise alors que vous faisiez votre liste de courses ?

Moi non.

Par contre, on a la possibilité de rêver un moment aux différentes recettes de mayonnaise et à leurs goûts : au citron, à la moutarde, avec des œufs frais…(Hummm avec des frites) sans rien acheter.

Pour autant, au moment de choisir, vous aurez déjà une bonne idée de pourquoi vous préférez celle à la moutarde et serez plus sûr de votre choix.

Tout ça sans rien faire d’autre que de réfléchir. Vous n’aurez même pas pris votre voiture. 🙂

2-Faire le point

 

interrogation photoQuoiqu’il en soit, vous l’avez certainement déjà observé :

l’envie de changer de travail démarre toujours par une crise, un mal-être et auquel on ne sait pas apporter de solution.

Car souvent, on a la tête dans le guidon, embourbé dans nos peurs et nos croyances limitantes.

C’est pourquoi il vaut mieux se poser et prendre le temps de réfléchir (faire un bilan de compétences) :

  • Où en suis-je dans ma vie ?
  • Qu’est-ce que je ne veux plus ?
  • Quels sont mes besoins essentiels auxquels je ne veux plus renoncer ?
  • Mes valeurs motrices dans ma vie ?
  • Et surtout mes priorités, mes gros cailloux que je veux mettre en premier dans mon seau pour être heureux ?

Il est important de se faire accompagner dans cette introspection pour nourrir notre réflexion au lieu de repousser toujours plus notre mal-être en croyant le faire taire.

D’expérience, on repousse ce que nous ne sommes pas prêts à affronter.

Or ce à quoi je résiste, persiste !

Dès que nous avons conscience que quelque chose ne va pas, c’est comme la pilule rouge dans Matrix : vous SAVEZ.

Nul retour en arrière possible ! Vous avez beau repousser l’échéance, votre mal-être reviendra toquer à la porte de votre cœur et tordre vos boyaux.

Et tôt ou tard, il faudra se pencher sur la question sous peine d’être malheureux encore longtemps… Avant d’atteindre le seuil critique qui nous fera passer à l’action… Mais dans la douleur et la confusion, ou qu’un événement extérieur (accident, maladie, décès…) nous fasse un électrochoc et provoque le même résultat. :-/

« Je ne te dis pas que ce sera facile, je te dis que ça en vaudra la peine. » (Art Williams)

Grâce à votre réflexion, vous saurez quel est votre Pourquoi et pourrez approcher votre Comment (la profession qui vous permettra de poursuivre ce But supérieur).

Vous aurez pris conscience de votre INTENTION dans cette vie au service de l’ensemble. Ainsi, vous aurez les éléments pour trouver votre porte de sortie, construire une projet cohérent avec vous.

Pas à pas, vous vous sentirez plus confiant car vous ne naviguerez plus à vue !

Vous aurez une idée claire de votre étoile polaire (celle qui vous guidera toute votre vie), pour vous diriger dans votre existence toujours en cohérence avec vous-même. Au lieu d’errer…

Alors, quand ça ne va pas dans votre vie, vous n’avez qu’un seul effort à faire : celui de prendre votre responsabilité vis-à-vis de vous-même puis de décider de vous faire aider pour aller vers plus de joie, de vie et une renaissance afin de vous honorer !

« Quelqu’un pourrait-il rallumer la lumière svp ? »

3-Voir et concevoir ce que vous ne voyez pas

 

Quand on a grandi dans un certain milieu, celui-ci influence notre mode de pensée.

Notre esprit se formate sur ce qui est admis dans notre milieu familial. Et cela n’épargne pas la catégorie socio-professionnelle ou le type de métier.

Moi-même, aucun de mes parents n’était entrepreneur, et longtemps, je n’ai même pas considéré cela possible pour moi.

Pourquoi ? Car cela ne correspondait pas à mon éducation et à mon « champ des possibles » à Moi.

Aujourd’hui, 92 % des emplois sont dans le salariat mais un rééquilibrage est en train de se produire, lentement mais sûrement.

 

 

Mais vous pouvez tout à fait vous former à un autre métier et rester dans le salariat.

Tout ça pour dire que parfois, des solutions sont à notre portée mais que souvent, inconsciemment nous les mettons de côté sans même y réfléchir.

Car elles ne correspondent pas à nos croyances.

Bien des croyances bloquent les gens, tandis que tout leur Etre appelle un changement.

Et beaucoup choisissent d’écouter ces croyances inconscientes pour rester dans le même schéma pourtant insatisfaisant et délétère.

Cette attitude les amène d’ailleurs souvent à à rester aveugle aux solutions et aux différentes portes de sortie… Pourtant à portée de mains.

peurAinsi, ils donnent à manger à leur auto-saboteur, qui s’exclame une fois repus : « Super ! Rien ne va changer ! Ouf, qu’est-ce que j’ai eu peur…! »

Croyez-moi, il y a des solutions que vous ne considérerez même pas tant elles sont inconcevables dans votre schéma de pensée et pourtant elles existent.

Mais elles sont simplement dans votre angle mort.

 

 

4-Démasquer vos peurs sous les excuses

 

Il n’est pas rare d’entendre comme argument : « J’aimerais bien quitter ce job si je n’avais pas des enfants à charge. »

Voici ce que Christian Junod, l’auteur de Ce que l’argent dit de vous, en dit : « Encore une autre prison… Un comble de faire des enfants pour en être prisonnier !

Au moment de mon départ, deux de mes enfants étaient encore étudiants et cela n’a pas été un problème car j’étais prêt à affronter l’inconnu du statut d’indépendant.

Plusieurs années auparavant, alors que je m’ennuyais déjà au travail, je n’avais pas été capable de partir, de changer de métier car je n’étais pas prêt intérieurement.

Mes enfants n’y étaient pour rien. C’est ainsi que bien souvent, les excuses que nous nous trouvons cachent une raison bien plus inavouable : notre peur. »

Prêt ? On ne l’est jamais vraiment ! On a juste peur !

Christian Junod poursuit : « Il n’y a pas de honte à avoir peur, ce n’est pas un problème. Ne pas se l’avouer en est un, car je ne peux pas transformer une peur non dite et c’est elle qui restera le moteur de mes décisions. »

Bien sûr, afin d’être prêt (mais on ne l’est jamais vraiment ! On a juste peur !), c’est mieux de préparer votre plan suffisamment.

Si vous passez du salariat à l’entrepreneuriat, il est possible d’avoir une bascule progressive si vous avez vraiment besoin d’une transition douce et rassurante.

Mais dans ce cas, assurez-vous d’avoir une énergie et une discipline d’enfer pour vous consacrer aux deux en même temps !

Si vous voulez changer de job en restant salarié, libre à vous de faire une formation de reconversion en dehors de votre temps de travail (idem pour l’énergie et la discipline).

Vous pouvez également souhaiter mettre un max d’argent de côté avant de faire le saut… D’ailleurs, peut-être vous faudrait-il travailler votre peur du manque et votre relation à l’argent pour vous aider à sauter ?

Mais parfois, il se peut aussi que vous soyez arrivé au bout du bout (ça arrive) ! Et que vous décidiez de partir grâce à une rupture conventionnelle car de toute façon vous sentez, tout au fond de vous, que 6 mois de plus sont tout bonnement IM-PEN-SA-BLES ! Vous pourrez tout à fait réaliser ce travail de réflexion après avoir appuyé sur le bouton du siège éjectable.

 

Tout est une question de choix et de priorités.
Quels sont les vôtres ?

5-Déterminer ce qui est vraiment important

 

Préférez-vous continuer à privilégier l’AVOIR : gagner autant pour pouvoir continuer à partir aux vacances à la neige et à la mer ou à l’autre bout du monde, histoire de supporter votre quotidien ?

Continuer à acheter toutes ces choses futiles pour vous occuper ou encore la dernière BMW ou le dernier portable à la mode pour montrer que vous avez réussi votre vie ?

Ou envisager de réduire votre train de vie et GAGNER en bonheur intérieur ?

Voulez-vous encore continuer à rentrer irascible et exténué, absent psychologiquement car vous avez fait le grand écart toute la journée entre :

  • vouloir partir en courant et rester là à faire des choses qui ne vous rendent pas heureux ?
  • Ou être vraiment présent à ce que vous faites et passer plus de temps avec vos proches ?

Avez-vous envie de continuer à vous morfondre et à dépérir ? Ou de vous lever chaque jour avec le sourire, et de sentir un feu à l’intérieur de vous ?

Ce feu qui vous porte et vous amène à vous surpasser avec bonheur… Au point que vous « oubliez » vos vacances à la neige et en Thaïlande…

Car finalement vous n’en avez plus autant besoin qu’avant puisque vous n’avez plus besoin de vous échapper de votre boulot ennuyeux qui vous occupait 300 jours/an ?

C’est une question existentielle qui mérite réflexion…

Alors, si vous prenez finalement la décision d’écouter votre cœur et de le suivre, mais que vous avez l’impression d’appuyer sur le frein et l’accélérateur en même temps…

Faites-vous accompagner pour passer ce cap et vous propulser vers de nouveaux horizons !

Vous pourrez y trouver votre Pourquoi et dessiner un nouvel avenir professionnel, afin d’être aligné professionnellement.

Et que diriez-vous de faire sauter vos barrières grâce à la méthode P.E.A.T. ? En travaillant votre peur de l’insécurité, votre tétanie face à l’inconnu ou encore votre manque de confiance en vos capacités ?

 

Mais un conseil : n’abandonnez pas avant même d’avoir commencé !

En conclusion, si quitter un emploi n’est pas facile, nul besoin d’en rajouter. En effet, beaucoup de personnes n’osent même pas y réfléchir de peur de conséquences fantasmées. La meilleure manière d’y parvenir est d’abord de vous accorder du temps pour faire le point. Puis d’explorer de nouvelles idées, de démasquer les peurs qui vous sabotent pour mieux les désactiver. Et enfin de déterminer ce qui est le plus important dans votre vie afin de passer à l’action !

 

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

-Thérapie brève

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

Vannes FR-56 Morbihan

Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

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  • Bilan de compétences individuel Orientation & Sens de Vie® : Bilan de compétences spirituel pour reconversion professionnelle en quête de sens et alignée spirituellement (Bilan de Compétences en ligne, à distance)
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Comment danser avec la vie ?

Comment danser avec la vie ?

Mary Mann

Ou l’art de se transformer pour mieux renaître !

Buddha l’a dit : la vie c’est l’impermanence. Pourtant, notre société n’a jamais autant érigé la stabilité qu’elle soit professionnelle ou personnelle, en but suprême de la vie. L’instabilité et le changement font peur… Tout en étant insatisfait par la routine souvent délétère. Mais… Et si la clé était de comprendre que nous ne sommes que de passage sur Terre et que rien ne dure ? Que la vie n’est que transformation perpétuelle ? Que vie et mort sont indissociables ? Cette conscience de l’éphémère ne serait-elle pas le meilleur moyen de nous pousser à réaliser nos rêves ? Pourquoi résister au changement alors que cela est aussi vain que de retenir sa respiration ? N’est-il pas temps d’apprendre à danser avec la vie ?

La Mort/La Vie : une danse éternelle

 

La conception de la mort est très culturelle.

En Orient, le contraire de la mort n’est pas la vie mais la naissance.

Effectivement, on conçoit qu’il y a un Après et que notre existence n’est qu’une expérience dans une destinée plus vaste…

En Occident, on oppose la mort à la vie.

On est dans la dualité : soit on est mort, soit on est en vie !

En dehors de ce raisonnement, point de salut ! Ce qui fait que beaucoup de gens ont peur de mourir.

D’ailleurs, rien que l’idée d’en parler les terrorise (c’est comme pour Voldemort dans Harry Potter, chuuuuttt !!! Celui dont on ne dit pas le nom…).

 

surprise

 

Eh bien désolée, non !

Ça ne marche pas comme ça : la mort fait partie de la vie !

Et la mort, qu’elle soit symbolique physique, n’est pas une fin en soi. Elle fait partie d’un cycle immuable de transformation naturelle.

Partout où nous marchons, il y a eu des humains, des animaux, qui sont morts…

Nous marchons « sur eux » et notre nourriture pousse dans une terre alimentée par nos ancêtres…

« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » disait Lavoisier. C’est vrai pour la matière mais cette loi vaut aussi pour notre vie.

Nous devons tous mourir à nous-mêmes plusieurs fois dans une vie, nous transformer pour évoluer et mieux renaître.

La vie n’en est que plus savoureuse !

Nos multiples morts symboliques ne sont que des étapes de transformation qu’il convient d’accueillir pour évoluer.

Ne dit-on pas que toute chose qui se termine contient en elle les germes de la suivante ?

 

Contempler sa mort pour vivre pleinement

 

étonnéeMais quelle que soit notre croyance sur l’après-vie, le constat est là :

on a peur de mourir physiquement que si on n’a pas assez vécu

ou si on n’a pas vécu comme on l’aurait voulu.

Françoise Dolto a dit : « Avoir peur de la mort, finalement c’est avoir peur de vivre ».

Bingo ! C’est souvent ce à quoi les gens ont peur de se confronter.

J’ai souvent ce genre de personnes en thérapie. Peur de la mort, peur de la maladie… Peur d’oser changer de métier ou de travail !

Quelle belle victoire quand ils acceptent de traverser leurs ombres et de laisser leur ancien « Moi » mourir… afin de renaître.

Ils osent ensuite de nouvelles choses tout bonnement impossible avant !

A l’image de Solène, qui a sorti spontanément à son mari alors qu’il était réticent à sa reconversion : « Maintenant, je veux viiivre !!! » 

Mais le chemin est parfois long avant de s’avouer nos tourments. Pas vrai ?

D’ailleurs, beaucoup de gens s’affairent partout, tout le temps. Pour fuir leurs démons.

Ils s’occupent à d’innombrables activités, mettant la radio, la TV en bruit de fond pour fuir la solitude, leur vide intérieur, mais surtout leur vérité intérieure…

On ne sait jamais, des fois qu’ils se retrouvent seuls avec eux-mêmes !

Ça pourrait ficher les j’tons que des questions existentielles surgissent d’un coup, au détour d’un couloir :

« Qui suis-je ? »
– Hein ? Quelqu’un m’a parlé ?
Où vais-je ?
– Quoi ? Mais qui parle ?
Quel est le sens de ma vie ?
– Mais ça suffit à la fin !
Qu’est-ce que j’fous là ?
– Bon y’en a marre j’vais mettre la télé pour le bruit de fond !
-… »

Même Bouddha rigole !

Beaucoup de gens se remettent en question à des âges charnières, 30, 40, 50 ans.

Voyant que le temps file à toute vitesse, ils prennent conscience de certaines choses, de leurs regrets.

Mais d’autres évitent le sujet de leur propre fin, toute leur vie et font un bilan existentiel seulement une fois au pied du mur… (Top 5 des regrets des mourants).

C’est souvent la vie, par le biais de la confrontation à la mort, qui nous amène à faire notre bilan existentiel : un proche décède brutalement ou encore, on est soudain confronté à une maladie grave pour soi-même ou dans son entourage…

Cela nous amène souvent à nous remettre en question d’un coup, à penser à notre place dans l’univers, à regarder notre vie dans son ensemble.

Puis à poser des actes forts pour changer des choses qui ne nous conviennent pas et vivre d’avantage en cohérence !

« Ne prenez pas la vie trop au sérieux, de toute façon, vous n’en sortirez pas vivant» – Bernard Le Bovier de Fontenelle. »

Avouer ses failles, ses faiblesses n’est pas facile.

De même qu’accepter sa propre mort et y faire face. Néanmoins, cette prise de conscience arrive tôt ou tard pour chacun d’entre nous.

Comme le dit Alan Watts dans Eloge de l’insécurité : « Abandonner toute tentative pour se soustraire à la finitude et à la mortalité est une étape régulière et normale sur la route de l’esprit. »

Mais cela demande du courage et de l’honnêteté.

Néanmoins, c’est une occasion de croissance formidable qu’il nous appartient de saisir…

Bouddha est-il mort… de rire ?

La mort : dernière étape de croissance

 

C’est le titre d’un livre d’Elisabeth Kübler-Ross, la célèbre thanatologue qui a accompagné des centaines de gens en fin de vie.

Elle parlait de la mort physique mais cela est aussi valable pour la mort symbolique.

Mourir à soi-même est une occasion formidable de renaissance.

La vie est un changement perpétuel, nul ne peut rester dans le même état pour la vie.

Cette vision n’est pas nouvelle : le bouddhisme dit bien que « la seule chose qui soit permanente, c’est l’impermanence ».

Intégrer cela, en notre chair, nous permet de vivre plus intensément dans l’instant ET en connexion plus forte avec le monde.

 

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Dans Le livre tibétain de la vie et de la mort, Sogyal Rinpoché a écrit :

« Avez-vous réellement compris et réalisé, la vérité de l’impermanence ?

L’avez-vous si parfaitement intégré dans chacune de vos pensées, chacune de vos respirations, chacun de vos mouvements, que votre existence en a été transformée ? Posez-vous ces deux questions : est-ce que je me souviens à chaque instant que je suis en train de mourir ainsi que toute personne et toute chose et est-ce que je traite en conséquence tous les êtres, à tout moment, avec compassion ?

Ma compréhension de la mort et de l’impermanence est-elle devenue si vive et si aiguë que je consacre chaque seconde de mon existence à la poursuite de l’éveil ? Si vous pouvez répondre par l’affirmative à ces deux questions, alors oui, vous avez réellement compris l’impermanence ».

Mourir à soi-même pour renaître

 

Nous mourons tous à nous-mêmes constamment. Mais toujours afin de continuer notre route vers l’épanouissement, d’évoluer et grandir !

Alors, pourquoi ne pas laisser la transformation se produire quand elle vous appelle ?

Ne freinez pas des quatre fers à cause de la peur !

Au contraire, accompagnez le mouvement, soignez à l’initiative du changement et servez-vous de son énergie pour instaurer du renouveau dans votre vie !

 

Je rencontre parfois ce genre de client en thérapie.

Ceux qui ont trop peur. Qui sont d’éternelles « victimes » de la vie. Calimero.

Ils sont tellement accrochés à leur identité victimaire qu’ils ne peuvent se résoudre à la lâcher.

Chaque progrès suite aux séances, les pousse dans leurs retranchements.

Mais quand ils se rendent compte que toute leur vie a été construite sur ce schéma de la peur de vivre, et de la plainte.

Et donc que tous les choix de vie faits en fonction, pourraient être remis en question ! 

Diantre ! Ça tangue fort !

Quelques-uns font soudainement marche arrière comme un Bernard-L’Hermite rentrant dans sa coquille…

Ils arrêtent la thérapie. La perspective d’un réel changement les a effrayés. Ils étaient pourtant si près du but…

Ils ne comprennent pas que le seul moyen de renaître est celui-ci : traverser ses ombres et laisser se produire une sorte d’effondrement intérieur. Accompagné bien sûr !

Parce que ce moment est celui de l’écroulement, il est aussi celui de l’espérance.

Après le temps de la nuit viendra le temps de l’éveil et de la Lumière…

Résister à la transformation équivaut à ne pas être en vie et à mourir à petit feu !

Quand on est malheureux dans une période de sa vie et qu’on aspire à autre chose, plus on attend et on résiste, et plus c’est dur !

Notre étincelle de vie est malmenée : l’ego et le mental prennent le dessus et nous enferment dans des peurs, une cage…

se cacherVos autosaboteurs, qui sont vos programmes internes pour maintenir le statu quo, tournent à plein régime pour que vous restiez exac-te-ment dans la même situation par peur de l’inconnu.

On s’invente des excuses pour éviter de passer à l’action.

On se berce d’illusions pour maintenir la situation « mais si, ça ne va pas si mal, oh et puis je ne suis pas si malheureux quand je vois les autres, y’a pire que moi… » etc.

D’expérience, je sais que c’est reculer pour mieux sauter. Car un jour la souffrance deviendra insupportable !

Mais comme le dit l’acteur Jean-Baptiste Lucien dans son film Dieumerci ! inspiré de son propre passage à l’acte :

« Pourquoi est-ce qu’on attend d’être dans les emmerdes, d’avoir rien à perdre, pour déterrer ses rêves de gosse ? » – Jean-Baptiste Lucien (film Dieu-Merci !)

C’est ce qu’Antoine Filissiadis, animateur de stages et auteur, dit a sa manière :

Le premier déclic : « On commence à se demander : est-ce que cette vie me plait ? Des gens entrent alors dans une souffrance et sont tristes.

Quand cette tristesse devient insoutenable cela les fait bouger car ils se disent : « je ne peux pas continuer à vieillir et mourir en continuant à faire ce qui ne me plait pas. Cela ne m’enrichit pas au contraire, cela m’amène vers le bas.
La plupart des gens vivent sans être connectés à eux car on n’est plus en contact avec son cœur. On a tous quelque chose à faire sur cette Terre… ce n’est pas forcément quelque chose d’extraordinaire !…
A un certain moment on prend conscience qu’on est prêt à « payer le prix » (souffrance, peurs…) : on veut sortir de soi et se réaliser.

Alors la vie vous offre des choses extraordinaires qui vous enrichissent bien plus que ce que vous avez cru devoir payer et finalement on ne « paie » pas. Mais avec le fait de ne pas avancer parce qu’on a peur, on reste dans la souffrance et on paie au final un prix énorme car on n’a pas réalisé ses rêves. »

Alors, Etes-vous prêt à danser avec la vie ? Prêt à renaître ?

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Maryanne Manneville

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Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

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Quelle est votre destination existentielle ?

Quelle est votre destination existentielle ?

Mary Mann

Où allez-vous ? Le savez-vous ?

On dit souvent que l’importance dans un voyage, c’est le chemin. Néanmoins, lorsqu’on cherche sa voie, il est essentiel de bien avoir à l’esprit une destination. Cela nous évitera d’errer, de prendre un mauvais parcours et de passer à côté de notre vie. Mais comment faire pour ne pas subir le courant général ni s’égarer ? Comment reprendre sa destinée en main lorsque nos rêves semblent s’éloigner ? Voici une feuille de route et des conseils pour respecter au mieux son itinéraire et ne pas finir dans l’errance ou pire : dans le décor !

Comment choisissez-vous votre destination ?

La vie est un voyage, et même si l’intérêt réside dans le chemin, c’est comme les vacances : avant de partir, vous avez bien une idée de où vous voulez aller ?
Non ?
À moins que vous ne fassiez comme Jim Carrey dans ce film drôlissime Yes man ?
Vous savez, quand il se trouve à l’aéroport avec sa petite amie et qu’ils ont décidé que la surprise sera la philosophie de leur vie un peu folle…
Ils vont au guichet et demandent quel est le prochain vol en partance et, quelle que soit la destination, ils doivent dire « oui ».
 
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Et là, ils tombent sur une ville du Nebraska aux États-Unis en plein hiver, où il ne se passe pas grand-chose… Mais pris par leur serment, ils y vont quand même, bien déterminés à ne voir que le positif et à délirer !
Je trouve le concept assez Fun cela dit…
Mais je suppose que quand vous devez décider de vos vacances, vous avez tout de même une idée de votre destination ?
Plutôt montagne ou mer ? Châteaux et musées ou VTT et forêt ? France ou étranger ?
 
Bref, vous mordez l’esprit ?
 
Imaginez maintenant que vous mourriez d’envie d’aller à la mer en France à Saint-Raphaël, car vous en avez toujours rêvé.
Que vous y avez repéré un super camping à 5 min des plages et des activités nautiques.
 
Wonderful !
Vous vous voyez déjà faire du yoga à l’aube, gonflant vos poumons de bon air iodé…

Mmmm… Une plage à l’aube !

Mais soudain PATATRA ! Une absence inexpliquée, et par vous ne savez quel procédé, vous vous retrouvez à Tokyo au Japon, parmi des gamines hystériques déguisées en manga devant la vitrine d’un bar à câlins…
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Et vous vous dites, mais qu’est-ce que j’fais là ??
Que s’est-il passé ?
Que fais-je parmi tous ces gens superficiels, moi qui rêvais du midi de la France, d’espace, d’authenticité et de communion avec la nature ?
Vous commencez à voir où je veux en venir ?
C’est un peu comme quelqu’un qui adorerait la nature, les chevaux, et qui se retrouverait comme assistante commerciale à Paris, dans une tour, à bosser dans la relation clients pour une boîte de marketing…

Posez bien les bases au départ

Trouver sa voie professionnelle est une tâche délicate et peut prendre parfois longtemps…

Ce délai dépend de la manière dont vous explorez le monde.

Mais si vous cultivez vos centres d’intérêt, que vous misez sur vos points forts, que vous avancez dans le respect de vos valeurs et de vos priorités, alors vous ne vous trouverez jamais bien loin de votre chemin. Encore faut-il les cerner !

Ainsi, qui êtes-vous exactement ?

 

Bien se connaître

  • Connaître ses forces et ses faiblesses

Téméraire ? Rêveur ? Anxieux ? Comment fonctionnez-vous ?

Il est capital de savoir non seulement sur quelles qualités et quels talents vous pouvez vous appuyer avec certitude, mais également d’être conscient de là où ça va pêcher…

Mettre au jour ses points faibles est certes inconfortable, mais cela ne veut pas dire que tout est gravé dans le marbre et que vous ne changerez pas ou ne vous améliorerez jamais.

En connaissant vos fragilités, vous pourrez décider de travailler sur vous pour les atténuer ou alors de composer avec. Car appréhender ses limites permet de mieux les surmonter.

En tout cas, un caractère n’est pas meilleur qu’un autre, même si certains sont plus faciles à vivre et d’autres parfois handicapants socialement. Alors, ne vous culpabilisez pas.

Au contraire, soyez honnête pour progresser et choisir ce qui vous convient, car vous mentir reviendra à vivre dans un perpétuel inconfort.

  • Identifier son intention et aspiration

À la question « que voudrais-tu faire quand tu seras grand ? », les enfants répondent souvent « maîtresse », « pompier », etc. (le FAIRE), mais jamais « enseigner », « protéger » ou encore « soigner » (L’INTENTION).

On nous apprend à nous définir par rapport à un métier, au lieu de mettre en valeur l’intention de notre action. C’est normal.

L’école nous formate à devenir des outils de production avides de compétition et non des êtres conscients de leur essence spirituelle, investis d’une mission au service du collectif.

Ce n’est pas étonnant qu’en devenant adultes, nous ayons tant de mal à trouver notre place au service du monde…

C’est pourquoi dans le bilan de compétences spirituel Orientation & Sens de vie, je vous aide à comprendre votre essence spirituelle et votre intention, et à formuler votre « pourquoi » pour ensuite découvrir le métier qui pourra s’harmoniser le mieux avec tout cela.

Cette démarche permet de donner du sens à son travail.

  • Respecter ses valeurs morales et motrices

Qu’est-ce qui est essentiel à vos yeux et qui vous pousse à agir ? Qu’est-ce qui motive vos actions ?
La liberté ? L’ordre ? Le pouvoir ? L’harmonie ?

Dressez consciencieusement la cartographie de vos valeurs motrices. Elle représente tout ce qui est important à vos yeux et guide vos actions. Leur non-respect entraîne irrémédiablement démotivation et perte de sens dans ce que vous faites.

Grâce à ce travail, vous aurez déjà de précieux indices pour orienter votre action et votre vie.

 

Prendre conscience de ce qui est important pour soi dans sa vie et le mettre au centre

 

Vous avez vu la cultissime trilogie « Retour vers le futur » ? J’adore le personnage de Doc !

Parfois, je rêve de pouvoir faire mon Doc à moi et de retrouver la grande Maryanne perdue que j’étais à 16 ans. Et je déboulerais en trombe dans ma DeLorean en criant : « Non Maryanne, ne fais pas ça ! C’est moi, je suis Toi dans le futur ! Si tu fais ce choix-là, tu tomberas dans le vortex de l’ennui infini et de la désolation de ton âme ! »

Ça m’aurait épargné bien des errances…

Mais en même temps, je ne saurais pas tout ce que je sais aujourd’hui et je ne pourrais pas vous en faire profiter au travers de mon accompagnement à la reconversion professionnelle, héhéhé 🙂 !

J’ouvre une parenthèse — il y a d’ailleurs une chose à laquelle je crois profondément : toute expérience négative contient un enseignement positif, vous apprend quelque chose sur vous-même. Il suffit de le voir et de se saisir de cette occasion pour rebondir. Jouer à l’alchimiste et transformer le plomb en or.

Alors si vous vous êtes planté de voie, tout n’est pas perdu !

Ça vous permet au moins de vous connaître par l’expérimentation et de dire, à l’instar de Scarlett Johansson dans le film de Woody Allen Vicky, Cristina, Barcelona  : «je ne sais pas ce que je veux, mais je sais que je ne veux pas ça ! » et d’identifier plus facilement vos gros cailloux.

D’ailleurs, vous a-t-on déjà raconté la fable des gros cailloux ? Si non, elle est juste en dessous.

Fable des gros cailloux

Afficher l'image d'origineUn jour, un vieux professeur de l’École nationale d’administration publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d’une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines.

Ce cours constituait l’un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux professeur n’avait donc qu’une heure devant lui. Debout, devant ce groupe d’élite (qui était prêt à noter tout ce que l’expert allait enseigner), le vieux professeur les regarda un par un, lentement, puis leur dit : « Nous allons réaliser une expérience ».

De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux professeur sortit un grand pot qu’il posa face à lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu’au bord et qu’il fut impossible d’y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : « Est-ce que ce pot est plein ? ».

Tous répondirent : « Oui ». Il attendit quelques secondes et ajouta : « Vraiment ? ».

Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s’infiltrèrent entre les cailloux… jusqu’au fond du pot. Le vieux professeur leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda :

« Est-ce que ce pot est plein ? »

Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L’un d’eux répondit :

« Probablement pas ! ». « Bien ! » répondit le vieux professeur.

Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une casserole de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Le vieux professeur leva alors les yeux vers son groupe et demanda :

« Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ? »

Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : « Cela démontre que même lorsque l’on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire ».

« Non » répondit le vieux professeur « Ce n’est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : Ce que j’ai voulu vous démontrer, c’est que, si je n’avais pas placé les gros cailloux d’abord, jamais je n’aurais pu mettre tout cela dans le bocal ».

Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience, de l’évidence de ces propos. Le vieux professeur leur dit alors :

« Quels sont les gros cailloux dans votre vie ? »

« Votre santé ? Votre famille ? Vos ami(e)s ? Réaliser vos rêves ? Faire ce que vous aimez ? Apprendre ? Défendre une cause ? Prendre le temps … ? Ou… toute autre chose ? Et que faites-vous de vos gros cailloux dans votre agenda ?

Ce qu’il faut retenir, c’est l’importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir… sa vie. Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable, l’eau), on remplira sa vie de peccadilles et on n’aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie. Alors, n’oubliez pas de vous poser la question :

Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ? 

Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (votre vie) ».

D’un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et quitta la salle.

Que faut-il comprendre ?

Qu’il est hyper important de mettre dans le seau, en premier, les choses prioritaires et fondamentales dans votre vie !

Sinon, votre existence sera composée de choses dont vous n’aurez cure. Vous passerez alors à côté de votre bonheur et de votre épanouissement personnel.

C’est pour cette raison que dans le bilan Orientation & Sens de Vie®, nous faisons ensemble un important travail afin de cerner ce qui compte à vos yeux, notamment au travers d’un questionnaire unique que j’ai créé mais aussi d’autres outils. Ces derniers viendront enrichir votre réflexion, éclairer des points, en plus de vous guider vers votre vocation.

Et si on s’est trompé, comment retrouver sa voie ?

La vie est tout sauf un long fleuve tranquille.

Vous vous êtes trompé de chemin ? Certains auront envie de tout envoyer valser pour opérer un changement complet. Mais est-ce la bonne et unique solution pour vous épanouir ? A mauvais diagnostic, mauvaise solution.

L’idée communément admise : tout changer (radical)

À ce propos, j’aime bien un témoignage que j’ai lu dans Matin Magique, et qui illustre parfaitement cette connexion à soi-même et l’importance de garder son cap.

C’est l’histoire d’une personne qui voulait aller en Afrique depuis toujours. Elle sentait un appel vers ce lieu et avait envie d’aventure. Mais la pression sociale et familiale avait eu raison de son rêve.

Jusqu’au jour où, n’y tenant plus, elle a dû faire un choix. Celui de briser les chaînes qui entravaient son bonheur. Car la vie qu’elle menait était aux antipodes de ce à quoi elle aspirait !

Elle avait perdu son cap, mais a soudain viré de bord pour repointer son étoile polaire, plein nord sur elle-même ! C’est un exemple admirable de courage et de respect de soi. Voici son récit :

Récit de la jeune femme partie en Afrique

« Depuis mon enfance, j’avais envie de partir visiter l’Afrique. Manquant de moyens, je n’ai jamais pu le faire et mes parents ont toujours essayé de me convaincre de ne pas partir… de terminer mes études, de garder mon boulot stable, etc.

À mes 27 ans, j’étais mariée depuis un an; on venait d’acheter un appartement magnifique et on essayait d’avoir un bébé. J’avais tout. Un homme respectueux, un vrai «gentil», une place stable dans une école avec de super collègues.

Mais je n’étais pas heureuse. J’ai toujours été un peu en marge, mais je m’étais lancée dans la vie que la société me faisait miroiter comme celle qui apporte le bonheur. J’ai donc quitté mon mari, dont je n’étais plus amoureuse depuis longtemps, sans vouloir me l’admettre. Et j’ai postulé pour partir voir, enfin, l’Afrique.

Ça a été difficile… Quitter mes amis, annoncer la nouvelle à ma maman qui a du mal à couper le cordon. Mais j’ai pris ma valise et je suis partie.

« j’ai réalisé à quel point on nous met en tête quels sont les standards de vie et matériels qu’il faut avoir pour être heureux. »

Aujourd’hui, j’ai fêté mes 29 ans dans mon nouveau chez-moi, au Togo. Je vais avoir 30 ans, et je n’ai pas de mari, de labrador ou d’enfant en route (même si je désire être maman).

J’ai une salle de bain sans douche, je me lave à la bassine. J’ai une relation compliquée avec un homme, mais je me sens bien quand il est là, et j’arrête de penser à ce qui pourrait arriver avec lui dans un mois. Je profite de chaque moment, je savoure.

J’ai fait le point le jour de mon anniversaire, et j’ai réalisé à quel point on nous met en tête quels sont les standards de vie et matériels qu’il faut avoir pour être heureux.

C’est la première fois que je me sens aussi sereine, aussi fière de moi. Et je suis arrivée là en sortant des sentiers battus, en faisant ce qui me plaît réellement. En arrêtant de me dire «c’est normal» ou «c’est pas normal».

Aujourd’hui, je me force à lâcher prise, à ne pas toujours lutter contre mes envies et mes peurs, et cela me permet de me sentir mieux dans ma vie.

Je pense que le plus important est de suivre son instinct et de ne pas se limiter à nos plans d’avenir, car on ne sait jamais ce qui peut arriver.

O.
Lomé, Togo »

Et là, vous me dites de votre petite voix flûtée :
« Euuuh… Oui, c’est bien gentil, mais Maryanne, tout le monde ne peut pas tout plaquer comme ça du jour au lendemain ! »

Tout à fait, j’y viens…

 

La voie du milieu : se recentrer et se respecter

Non, on n’est pas obligé de tout quitter.

Tout le monde n’en a pas la possibilité ou n’a pas envie d’une transformation aussi radicale.

Mais de toute façon, on n’a pas besoin de tout révolutionner pour changer de vie, ni de partir sur un coup de tête en Afrique ou dans une bergerie au fin fond du Larzac si ce n’est pas notre truc ! (mais plus on aura fait le grand écart au départ, plus le virage pourra être raide…)

Non, un nouveau départ qui ne se transforme pas en mission suicide, demande avant tout de procéder à une sérieuse introspection et de faire le point pour trouver sa place et son axe de vie. On peut ainsi faire des choix en accord avec notre nature à l’avenir. Et il pourra s’agir de grands changements comme de simples ajustements (activités bénévoles, associatives etc…).

Encore faudra-t-il avoir le courage de les mettre en œuvre !

Car souvent, nous sommes notre propre obstacle. Nous sommes enfermés dans nos vieux schémas, et même si nous avons compris ce qu’il fallait changer, nous n’osons pas le faire. Nos peurs nous empêchent de respecter nos envies et notre nature, et d’aller vers une transformation salutaire.

En se libérant de ses peurs et de ses croyances limitantes, on vit différemment et cela permet d’oser ensuite un renouveau cohérent avec soi.

Car dès qu’on pense autrement, on voit les choses sous un angle nouveau et l’on n’agit plus de la même manière.

Ce qui nous paraissait impossible avant ne l’est plus !

 

La voie de secours : composer avec l’existant et corriger le tir

Parfois, vos rêves s’éloignent indubitablement. Comment réussir à dépasser cet amer sentiment d’échec ? Faut-il abandonner définitivement la lutte ?

Sachez que vous pouvez quand même vous rapprocher de votre cap.

Je prends un exemple : vous aspiriez à devenir footballeur professionnel. Mais vous vous blessez gravement. Vos rêves prennent fin brusquement.

Que faites-vous ?

Je crois savoir : votre première réaction va être de tout remettre en question par dépit, car le deuil de ce rêve brisé est trop dur à vivre ! Vous décidez de vous reconvertir en vendeur dans une boutique de bricolage ! Ben tiens !

Mais vous savez bien que ce n’est pas la bonne solution.

Changer de voie est une chose. Mais encore faut-il rester dans le sillage du métier de vos rêves pour vous épanouir.

Vous pourriez alors :
– chercher un emploi de vendeur dans un magasin de sport ;
– vous réorienter vers le journalisme sportif ;
– devenir entraîneur pour jeunes dans un club local pour le loisir.

Pour reprendre la métaphore du voyage : si votre destination de rêve est le pays du sport, mais que devenir sportif professionnel est inatteignable pour vous, choisissez malgré tout la région voisine, avec un métier qui touche à ce domaine, ou gravite autour. Car tôt ou tard, le chagrin sera passé et vous éprouverez un manque à vous être éloigné ainsi de votre passion. A moins que la seule chose que vous ayez visé au travers du sport ait été la célébrité !

De toute manière, lorsqu’un job s’éloigne de votre idéal, il faut que l’environnement dans lequel vous allez travailler ait le plus de sens pour vous, et respecte vos valeurs. Sinon, vous risquez d’abîmer au fil du temps votre motivation pour une profession qui vous plaît tout de même, mais qui n’était pas votre premier choix.

Autre exemple : un jeune homme veut être pilote de ligne, mais échoue aux examens. Son rêve est brisé. Il fait une reconversion vers le métier d’agent des opérations aériennes qui est à la fois technique et aéronautique. Il communique tous les jours avec les pilotes, vole par procuration et assouvit ainsi sa passion pour l’aviation.

Je vous laisse méditer sur ce point : « Bien s’orienter ne se résume pas à choisir un métier ».

Ainsi, vous avez noté que trouver sa voie ne se résume pas à choisir uniquement un métier. Il s’agit là véritablement d’élaborer un projet de vie. Vous avez également vu que pour y arriver, il vaut mieux bien se connaître afin de déterminer un objectif cohérent et aligné mais que cela consiste aussi parfois à bâtir un plan B de secours. Ainsi, vous pourrez garder votre cap existentiel. Mais tout ceci n’est pas un exercice facile, car on manque souvent d’objectivité sur soi. Alors si vous vous sentez perdu ou ne savez pas par où commencer, n’hésitez pas à vous faire accompagner.

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

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Appel découverte

Mon approche vous parle ? Des questions ?

Discutons-en et faisons connaissance lors d’un appel découverte !

Je répondrai à vos questions et vous aiderait à choisir l’accompagnement le plus adapté à votre besoin.

 


 

Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

-Thérapie brève

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

Vannes FR-56 Morbihan

Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

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  • Bilan de compétences individuel Orientation & Sens de Vie® : Bilan de compétences spirituel pour reconversion professionnelle en quête de sens et alignée spirituellement (Bilan de Compétences en ligne, à distance)
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Donner un sens à son travail : la clé de l’épanouissement

Donner un sens à son travail : la clé de l’épanouissement

Mary Mann

Et vous, concrètement vous faites quoi ?

Votre job vous déprime. Vous ne ressentez pas cette motivation au travail qui vous ferait pousser des ailes. Vous vous demandez parfois à quoi sert votre poste. Vous n’êtes pas le seul à éprouver ce mal-être. Partout dans ce monde en déliquescence, des personnes sont en quête de sens. Ils essaient de trouver une raison d’être concrète dans leur vie professionnelle et un sentiment d’utilité. Alors comment remettre du sens dans son travail ? Par où commencer concrètement ?

Le manque de sens rend fou

Les bullshit jobs (jobs à la con)

Les bullshit jobs sont un fléau des temps modernes.

Le démarchage téléphonique en est la parfaite caricature.

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Vous savez ? Quand l’interlocuteur vous appelle à midi, parle comme un robot sur un brouhaha infernal, veut vous vendre un truc que vous n’avez pas demandé et que vous raccrochez plus ou moins poliment…

Les bullshit jobs ont plusieurs caractéristiques communes : Ils se trouvent principalement dans le tertiaire, et sont souvent impossibles à définir en une phrase, quand ce n’est pas tout bonnement que la société pourrait s’en passer.

Car ce monde marche de plus en plus sur la tête. Cela fait longtemps que la Vie n’est plus au centre de l’action humaine et de la société !

Une organisation du travail irrationnelle

Vos journées sont abrutissantes :

– des tonnes de tableaux Excel à saisir ou de formulaires à remplir sans en voir la fin
– des réunions fréquentes qui brassent du vent et sont vides de résultats
– un langage truffé de sigles ou de termes en anglais pour paraître initié
– des avalanches de mails et d’appels de gens que vous ne rencontrerez jamais pour la plupart
– un travail de plus en plus virtuel
– des crises d’ennui liées à l’absence de tâches (bore out)
– une frustration due à un travail dénué de sens (brown out)

Vous ne comprenez pas ce que vous faites et ressentez un épuisement professionnel. Votre travail est ensuite contrôlé par des responsables hiérarchiques qui n’appréhendent pas plus le sens de leurs tâches.

Votre job manque de concret, est dénué de vie voire pire : il dessert peut-être la vie…

Ces conditions de travail absurdes vous empêchent de vous épanouir.

Et il y a de quoi ! Car l’impossibilité d’un individu à exprimer son identité unique dans le monde conduit inévitablement à une crise existentielle.

Elle engendre une souffrance et un écartèlement de son Être profond. L’individu ressent un sentiment de vide qui l’amène finalement à une quête de sens dans sa vie.

Un jour, j’ai vu un reportage sur une société aux USA qui a eu l’idée du siècle : livrer de l’essence partout où on les appelle, et même à domicile… Waouh ! Je dois dire que j’ai applaudi des deux mains cette initiative vitale pour l’humanité et l’avenir du monde !

En France, dans son article paru dans Le monde, Lorraine de Foucher raconte l’histoire de Jean :

« Il a fait une prestigieuse grande école en trois lettres, pour aller contrôler la gestion d’une société de transports en quatre lettres. “Le matin, quand j’arrive, il y a un ordinateur éteint. Le soir, quand je finis ma journée, c’est à nouveau un ordinateur éteint, ce n’est pas comme un boulanger, ou un charpentier, je n’ai rien fabriqué”, explique ce cadre de 38 ans.

“Je mets des chiffres dans des cases, et je compte. Parfois, je compte même les cases pour m’amuser. C’est quand même fou le nombre de cases qu’il peut y avoir dans un tableur Excel”, feint-il de s’extasier. Il se moque de sa propre condition, mais, pour l’heure, il continue de regarder passer les trains. Peur du chômage ? De gagner en sens de la vie, mais de perdre en niveau de vie ? ».

Malheureusement, les évolutions actuelles du travail depuis l’amplification de la bureaucratie, tendent vers plus de fonctions intellectuelles et nous coupent du sens des réalités et de l’essentiel.

C’est pour cela que des tas de gens « pètent » les plombs comme le raconte l’auteur : « Et plutôt que d’accepter que “ça sera vraiment ça toute notre vie”, ces salariés déploient alors des trésors d’inventivité pour aller chercher ailleurs un sens qu’ils ne trouvent plus.

Il y a trois ans, Anne s’est lancée dans des études de sociologie. Pour nombre de ses congénères, cela se traduit par une avalanche de reconversions artistiques, de tours du monde, ou d’entrepreneuriat en tout genre, du miel bio à la chaussure péruvienne. »

À la recherche de concret dans son travail

Certains jeunes diplômés se rendent malheureusement compte, lors de leur premier emploi et parfois après des années d’études, que le milieu dans lequel ils évoluent n’est finalement pas fait pour eux. C’est triste, mais salutaire néanmoins, car le plus tôt est le mieux pour corriger le tir et trouver sa voie.

En 2015, selon une étude APEC, 14 % des jeunes diplômés de niveau bac+5 ou plus disent avoir vécu un changement significatif d’orientation professionnelle dans les deux années suivant l’obtention de leur diplôme. « Un phénomène non négligeable », écrit l’Association.

On ne compte plus les ingénieurs ou autres détenteurs de diplômes supérieurs en école de commerce, qui se tournent vers des métiers manuels et deviennent paysans, boulangers, fleuristes, bouchers, etc.

Voici le cas de « Simon » relaté dans un article d’Adrien Barbier (Monde Académie) : À 25 ans, il vient de débuter une formation d’installateur sanitaire en alternance, deux ans après avoir obtenu son diplôme de Sciences-Po Paris.

Point de départ de cette reconversion, l’envie de « mettre les mains dans le cambouis ».   »Je ne me voyais pas passer mes journées derrière un ordinateur  », explique ce jeune homme bricoleur.

S’il n’a rien d’un marxiste chevronné, Simon n’en assure pas moins vouloir, par sa démarche, « se réapproprier les processus de production ». Réapprendre à faire des choses simples alors que, d’après lui, « la technologie nous dépasse tellement qu’on ne prend même plus le temps de la comprendre ».

Les cas de diplômés de grandes écoles qui se reconvertissent sont de moins en moins rares. Surtout lorsque, la trentaine venue, ils se lassent d’expériences professionnelles qu’ils jugent déconnectées des réalités quotidiennes.

C’est logique, car plus on est en quête de sens et plus on a besoin de se rapprocher du résultat concret de notre action, pour qu’elle soit réelle et visible pour nous.

Il s’agit là d’un signe très encourageant d’une certaine volonté de bien vivre et d’avoir une action concrète dans la société.

 

Reprendre contact avec le monde et se mettre au service des autres

 

cadres-en-quete-de-sens_full_dossierLes personnes en quête de sens sont lassées d’avoir le sentiment de ne servir à rien, ou de faire quelque chose qui ne leur apporte rien ou encore qui ne rime à rien existentiellement parlant.

Vous avez peut-être vu l’excellent documentaire portant justement ce titre « En quête de sens » de Nathanaël Coste et Marc de La Ménardière, sorti en 2015 ?

Ce film est l’histoire de deux amis d’enfance qui ont décidé de tout quitter pour aller questionner la marche du monde.
Nathanaël filme Marc qui travaille dans le marketing à New York, mène la grande vie et son rêve américain avant d’être frappé d’une prise de conscience brutale au sujet de la vacuité de ce qu’il fait, du manque (voire absence) de sens de son job.

Ils finissent par faire un road-trip sur de nombreux continents. Ils retrouvent notamment Vandana Shiva en Inde, voient un chaman en Amérique du Sud, rencontrent une professeure de yoga dans les Andes, etc.

Bref, ils reprennent contact avec la Terre et discutent avec des personnes ayant une interaction concrète avec le monde et leur communauté, en mettant leurs talents au service d’une cause utile et des autres.

Loin du « rêve américain » que vivait Marc à New York, la reconnexion avec la nature, très présente dans le long métrage, a de son propre aveu « reformaté son disque dur ».

A l’issu de leur périple, ils déclarent tous deux :

« Notre civilisation s’est construite depuis 200 ans sur une vision matérialiste et mécaniste du monde. Cette vision a séparé l’homme de la nature, le corps de l’esprit, et nié la dimension intérieure et le mystère de la vie. Elle a érigé la compétition comme une loi naturelle, l’avidité comme une qualité bénéfique à l’économie, l’accumulation de biens matériels comme finalité de l’existence… ». Marc de la Ménardière

À côté de ça, beaucoup savent que nous entretenons un système basé sur un grand mensonge : « Consommer ne rend pas heureux ». Nathanaël Coste

 

 

Entreprendre : un besoin d’aventure et de changer la société

C’est ce qui est arrivé à Guillaume Gibault, fondateur de Le Slip français.

Après de brillantes études à HEC, est venu le temps du premier emploi. Et aïe, aïe, aïe ! Il ne lui aura fallu que quelques mois dans la finance pour se rendre compte qu’il n’était pas à sa place.

Il a alors démissionné pour créer son entreprise Le Slip français. Elle vend des sous-vêtements de qualité, tous fabriqués en coton et dans des ateliers uniquement français.

Il avait envie de concret.

Devenir chef d’entreprise et participer à la relocalisation de l’économie matérialisaient exactement l’accomplissement dont il avait besoin à son niveau.

Ce job d’aventurier des temps modernes a redonné du sens à son travail. Aujourd’hui, ce jeune trentenaire blagueur cartonne.
Son slogan ? « Vous voulez changer le monde ? Commencez par changer de slip ! ».

Dans le monde des culottes, Victoria aussi, ancienne « stratège digitale » a créé sa marque « Madame porte la culotte » : une marque de lingerie riche de sens, qui concilie éthique et esthétique. Sensible à la cause féminine, elle voulait renouer avec la nature, au local, et offrir aux femmes de la lingerie confortable avant tout.

 

Redevenir acteur et responsable de sa vie

Se reconnecter avec la nature

Une question me brûle les lèvres et mérite d’être posée : Que savez-vous faire de vos dix doigts ? eyes-312093_640

cultiver photoC’est aussi cette question très simple que s’est posée Marc de La Ménardière quand il a découvert la Fondation de la recherche pour la science, les technologies et les ressources naturelles de Vandana Shiva.

Alors qu’il regarde tous ces Indiens s’affairer à planter, récolter, transformer pour d’abord manger et également recueillir des graines pour recommencer leurs cultures l’année d’après, il se demande ce qu’il sait faire concrètement pour vivre.

Sa conclusion est sans appel !
C’est alors qu’il est pris d’une frénésie de mettre ses mains dans la terre, d’aider au travail des champs et de faire quelque chose de concret. D’ailleurs, à son retour il a enfoncé le clou en se formant au maraîchage biologique.

Faut-il le rappeler ? Nos besoins fondamentaux sont : boire, manger, se vêtir, se loger. Bien sûr, il y a d’autres besoins comme aimer ou se divertir, mais ceux que je viens d’énumérer sont les bases vitales.

 

Où en êtes-vous ?

Vous êtes-vous déjà demandé si vous possédiez au moins une compétence permettant de satisfaire un de ces besoins vitaux ?

Ou participez-vous à une activité qui contribue directement ou indirectement à quelque chose d’essentiel à la collectivité ? À l’amélioration du monde ?

Est-ce que votre emploi vous rend heureux et fier ? Est-ce que votre travail permet au monde de bénéficier de votre unicité ? Si vous deviez mourir demain, est-ce que vous continueriez à faire ce que vous faites ?

Si vos réponses à ces questions sont insatisfaisantes ou vous laissent inconfortable, il est probablement temps de remettre du sens dans ce que vous faites. Prendre conscience de votre malaise est le premier pas indispensable vers un renouveau car on ne peut pas changer ce qu’on ne voit pas !

Pour retrouver de l’enthousiasme et du bien-être au travail, vous devez redevenir acteur et responsable de votre vie. Vous reprendre en main !

Donnez à votre travail une direction qui vous comble de joie. Prenez des initiatives qui vous parlent au cœur. Les choix que vous allez faire devront être en accord avec ce que vous êtes, votre essence spirituelle, votre intention, vos valeurs et vos priorités.

Vous pourrez ainsi vous reconnecter à votre âme pour comprendre ce que vous êtes venu accomplir, tant au niveau personnel (pour votre propre évolution) qu’au niveau collectif pour améliorer la société.

Il sera alors temps d’inventer votre chemin et d’oser l’arpenter.

Ainsi, la société moderne a donné naissance à une multitude de jobs dépourvus de sens, voire futiles qui nous ont éloignés de ce qui est important. Notre manque de compétences essentielles et le manque de concret nous rendent malades. Nous nous sentons inutiles et déconnectés. Même s’il peut être difficile de renouer avec Soi pour trouver sa voie et remettre du sens dans son travail comme dans sa vie, réapprendre déjà à faire des choses simples et primordiales, en connexion avec la matière, semble être un bon début afin de se relier à la réalité et à un sentiment d’utilité au quotidien. Alors, et vous concrètement, vous faites quoi ?

 

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

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Comment savoir qu’il faut faire autre chose de sa vie ?

Comment savoir qu’il faut faire autre chose de sa vie ?

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Steve Jobs :

Quand j’avais 17 ans, j’ai lu une citation qui disait à peu près cela :

«Si vous vivez chaque jour comme si c’était votre dernier jour, vous ferez certainement les choses bien».

Cela m’a marqué et au cours des 33 dernières années je me suis regardé chaque matin dans un miroir en me posant la question : Et si aujourd’hui était le dernier jour de ma vie, est-ce que je voudrais faire ce que je vais faire aujourd’hui ?

Et quand la réponse était non, je savais que je devais changer quelque chose»

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

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Changer de vie : Comment transformer le « risque » en chance ?

Changer de vie : Comment transformer le « risque » en chance ?

Mary Mann

Et si le risque n’était pas là où vous le pensez ?

Votre travail vous saoule, votre vie manque de ce « quelque chose » qui la rendrait savoureuse… Vos pensées s’évadent régulièrement vers d’autres projets, d’autres paysages mais inlassablement la voix de la raison vous rappelle à l’ordre et vous tremblez à l’idée de prendre des risques, de perdre « vos acquis » en suivant vos envies. Vous sentez que cette situation bloquée, inextricable, vous rend malheureux. Vous voudriez que ça s’arrête, trouver une issue mais la peur de l’inconnu vous paralyse ! Alors, comment renverser votre vision des choses et transformer le risque en chance ?

La peur comme saboteur

Vous n’en pouvez plus !   Il y a tous ces signes qu’il faut partir.

Vous brûlez d’ouvrir la porte pour changer d’air, d’agir pour sortir de cette impasse.

Mais comment dire…

C’est comme si un hypnotiseur vous avait convaincu que la poignée était brûlante et que derrière, il y avait même un trou abyssal qui allait vous engloutir… Et plus vous pensez à ce qu’il pourrait y avoir derrière la porte, et plus vous imaginez des monstres, des tireurs d’élites embusqués qui ne vous louperont pas, un Alien ? Pourquoi pas après tout, quand notre imagination s’emballe…

Dans votre esprit cette peur se traduit en panique.

« Et si je fais ça ? Qu’est-ce que je vais devenir ?…. »

« Oh mon Dieu, je ne peux pas faire ça, c’est trop risqué ! »

 

On finit ainsi par s’auto-convaincre de surtout ne rien changer. Même si la situation est terriblement inconfortable.

Car on ne sait pas comment lâcher ce boulot qu’on ne peut plus voir en peinture…

Alors, on se dit que quitter son travail est trop risqué même si on est malheureux comme les pierres !

Or le « risque » n’est-il pas de rester dans cette vision des choses et de voir les semaines, les mois, les années filer sans que rien ne change et que votre mal être augmente proportionnellement ?

Le risque n’est-il pas d’avoir des regrets à la fin de sa vie ?

 

La vie n’est que changement et transformation

Faut-il le rappeler ?

A chaque instant vos cellules changent, certaines meurent, d’autres naissent. Votre ADN légué par vos ancêtres est le fruit d’une suite de mutations et adaptations aux phénomènes climatiques et aux dangers rencontrés sur des milliers d’années.

Avoir peur du changement n’est qu’une illusion puisque vous le vivez à chaque seconde et que seule l’impermanence existe.

Le seul moment où plus rien ne bouge : c’est dans la mort ! Et c’est justement là que les humains s’ennuient ! Car ce n’est pas la vie. La vie est une danse.

Alors, soit vous surfez sur la vague, soit vous freinez des quatre fers pour résister au changement.

Mais plus vous résistez, plus ça va être dur !

Votre Ego (mental) vous joue des tours ! Il est chargé de votre protection depuis votre naissance et est très créatif dès qu’il s’agit de vous empêcher de changer quoique ce soit.

Un conseil : ne l’écoutez pas trop ! 😉

L’ outil radical pour vous faire passer à l’action

Je vous présente ainsi un outil radical pour changer votre point de vue et briser votre plafond de verre.

Mon outil, c’est aussi celui de Cyrille de Lasteyrie. Il a en effet tout compris.

Et il l’explique avec beaucoup de brio et d’humour.

Son truc à lui pour relativiser un « risque » à prendre : penser à sa propre mort !

 

Quand j’ai visionné ce TEDxParis, j’ai trop adoré !

C’est exactement ce qui m’a fait passer à l’acte pour changer de vie et reprendre la main.

Et c’est totalement l’état d’esprit de mon accompagnement à la reconversion professionnelle bilan Orientation & Sens de Vie®. Il vous permet de contacter votre quête existentielle, votre vocation et de mettre ce qui vous importe le plus au centre de votre vie.

Alors, quand vous n’en pouvez plus de votre situation, arrêtez d’alimenter le « mulot » dans votre tête avec des scénarios catastrophes et des excuses stériles : regardez objectivement les faits et dépassez vos peurs : vous n’avez pas grand chose à perdre !

D’ailleurs, la vie c’est déjà risqué : la preuve on meurt à la fin ! 😉

 

Changez votre état d’esprit et le risque devient une chance

Ainsi, le risque ne se trouve pas toujours là où on le croit. L’humain a toujours tendance à vouloir maîtriser ses peurs en confondant l’immobilisme avec la sécurité et en cherchant à avoir des certitudes. Or comme le dit Alan Watts, la peur n’est maîtrisée que dans l’incertitude acceptée. Car la vie n’est que changement. Tout se modifie à chaque instant et l’existence n’échappe pas à cette règle de mutation et d’évolution qui guide le processus de vie depuis des milliards d’années. Même s’il peut être difficile de relativiser les risques liés à un changement de vie, prendre conscience que la vie n’est qu’un « jeu cosmique » où il nous appartient de faire des choix et de nous transformer en suivant le courant à chaque instant, semble être un bon début afin de se renouveler.

 

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

-Thérapie brève

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

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Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

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Ce dont nous avons faim

Ce dont nous avons faim

deepka-chopra-300x300« CE DONT NOUS AVONS LE PLUS FAIM, ce n’est pas la nourriture, l’argent, la réussite, le statut, la sécurité, le sexe, ni même l’amour du sexe opposé.

Souvent, des gens ont obtenu tout cela et sont restés insatisfaits et même souvent encore plus insatisfaits qu’au début de leur carrière, quand ils n’avaient rien de cela.

La faim la plus profonde, dans la vie, est un secret qui n’est révélé que lorsque l’on est désireux de découvrir une partie cachée du soi.

Dans les anciennes traditions de sagesse, cette quête a été comparée à une plongée pour s’emparer de la perle la plus précieuse qui soit au monde (…).
La perle est aussi appelée l’essence, le souffle de Dieu, l’eau de vie, le nectar sacré (….), ce que nous appellerions simplement transformation (…).

Du point de vue humain, cela signifie changer la peur, l’agressivité, le doute, l’insécurité, la haine et la vacuité, en leur contraire. Peut-on réaliser cela véritablement ? Il y a une chose dont nous avons la certitude : la faim secrète qui ronge l’âme n’a rien à voir avec des choses extérieures comme l’argent, la position sociale et la sécurité.

C’est la personne intérieure qui meurt du désir que sa vie ait un sens, qui veut obstinément la fin de la souffrance, qui désire ardemment des réponses aux énigmes que sont l’amour, la mort, Dieu, l’âme, le bien et le mal.

Une vie superficielle ne répondra jamais à ces questions, ne satisfera pas les besoins qui nous poussent à les poser. Trouver les dimensions cachées en soi-même est le seul moyen d’apaiser sa faim la plus profonde. » – Deepak Chopra.

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Ne cherchez pas… Vous êtes ici !

Ne cherchez pas… Vous êtes ici !

Mary Mann

Un petit point bleu…

Vous cherchez à mettre du sens dans votre vie, vous aspirez à changer quelque chose, votre travail, vous lancer dans un nouveau projet… Et pourtant, vous êtes tétanisé à l’idée de vous tromper. Tout prend une ampleur catastrophique. Résultat : vous ne faites rien. Souvent, vous vous faites une montagne de ce qui vous arrive ou des conséquences possibles de vos actions. Comme beaucoup de gens, vous laissez votre mental vous abuser. Alors, comment prendre du recul facilement et en un éclair ? Comment transcender votre existence et voir les choses plus en grand immédiatement afin de ressentir le Jeu cosmique et de comprendre que tout est possible ? Laissez-moi vous partager mon astuce.

Souvenons-nous de qui nous sommes…

« Pour savoir où l’on va, il faut savoir d’où l’on vient » – Proverbe africain

 

humain photoC’est un peu comme en forêt ou en ville.

Vous savez le fameux plan où c’est marqué en rouge « Vous êtes ici ».

Vous voyez ?

Eh bien, la vie c’est pareil.

Pour cheminer en conscience, il faut déjà savoir où on est, d’où l’on part, et où on veut aller.

Je le répète car c’est important : il faut être conscient de où l’on est.

Dans toute expérience, il convient d’observer un phénomène dans son contexte afin de bien comprendre, d’un côté toutes les interactions, et de l’autre ce qu’il se passe, ce qui est en jeu.

Peut-être que cela vous fera l’effet d’un scoop ? Who knows?

Attention… Roulement de tambour

Nous sommes des humains et nous sommes sur Terre les amis !

Tadaaa !

Oui, quel que soit le miracle qui a permis notre existence. Je vais planter le décor tout de suite : nous sommes tous insignifiants dans l’univers.

Je ne veux pas dire inutiles, je veux juste dire insignifiants et tout petits, si fragiles ! Notre vie tient à si peu de choses !

 

Il ne suffit pas de le comprendre intellectuellement, il faut l’IN-TE-GRER.

J’entends par là : le ressentir au niveau de votre corps, de chacune de vos cellules.

Pour cela, j’ai mon remède à moi. Bougrement efficace !

Carl Sagan, le scientifique et astronome américain à l’origine du programme SETI, a su saisir ce dont je vous parle : la quintessence de ce sentiment capital d’insignifiance.

 

Regardez ce petit point (là oui, au bout de la flèche)…

 

VOUS ETES ICI

 

 

R

Look at that dot

 

« Regardez encore ce petit point. C’est ici. C’est notre foyer.

C’est nous.

Sur lui se trouvent tous ceux que vous aimez, tous ceux que vous connaissez, tous ceux dont vous avez entendu parler, tous les êtres humains qui aient jamais vécu.

Toute la somme de nos joies et de nos souffrances, des milliers de religions aux convictions assurées, d’idéologies et de doctrines économiques, tous les chasseurs et cueilleurs, tous les héros et tous les lâches, tous les créateurs et destructeurs de civilisations, tous les rois et tous les paysans, tous les jeunes couples d’amoureux, tous les pères et mères, tous les enfants plein d’espoir, les inventeurs et les explorateurs, tous les professeurs de morale, tous les politiciens corrompus, toutes les “superstars”, tous les “guides suprêmes”, tous les saints et pécheurs de l’histoire de notre espèce ont vécu ici, sur ce grain de poussière suspendu dans un rayon de soleil.

La Terre est une toute petite scène dans une vaste arène cosmique.

Songez aux fleuves de sang déversés par tous ces généraux et ces empereurs afin que nimbés de triomphe et de gloire, ils puissent devenir les maîtres temporaires d’une fraction d’un point.

Songez aux cruautés sans fin imposées par les habitants d’un recoin de ce pixel sur d’indistincts habitants d’un autre recoin. Comme ils peinent à s’entendre, comme ils sont prompts à s’entre-tuer, comme leurs haines sont ferventes.

Nos postures, notre propre importance imaginée, l’illusion que nous avons quelque position privilégiée dans l’univers, sont mis en question par ce point de lumière pâle.

Notre planète est une infime tache solitaire enveloppée par la grande nuit cosmique. Dans notre obscurité – dans toute cette immensité – il n’y a aucun signe qu’une aide viendra d’ailleurs nous sauver de nous-mêmes.

La Terre est jusqu’à présent le seul monde connu à abriter la vie. Il n’y a nulle part ailleurs, au moins dans un futur proche, vers où notre espèce pourrait migrer.

Visiter, oui. S’installer, pas encore. Que vous le vouliez ou non, pour le moment c’est sur Terre que nous prenons position.

On a dit que l’astronomie incite à l’humilité et fortifie le caractère. Il n’y a peut-être pas de meilleure démonstration de la folie des idées humaines que cette lointaine image de notre monde minuscule.

Pour moi, cela souligne notre responsabilité de cohabiter plus fraternellement les uns avec les autres, et de préserver et chérir le point bleu pâle, la seule maison que nous ayons jamais connue. »

 

— Carl Sagan, Pale Blue Dot: A Vision of the Human Future in Space

Voilà ! Voilà ! 

Vous avez donc compris…

 

Qu’à un premier niveau de lecture :

 

Tout ce qui vous prend la tête est ridicule.

« Faut-il que je l’répète pour que ça rentre dans ta tê-tête ? » – Les inconnus

Tout ce qui vous fait peur est RI-DI-CU-LE. Vous êtes aussi petit qu’une fourmi qui gesticule dans une forêt immense.

Rien de ce que vous aimeriez tenter et que vous croyez risqué, ne l’est !

Vous avez le droit d’essayer ce que vous voulez (bon, dans la légalité c’est mieux), c’est même pour ça que vous êtes là  !

D’ailleurs, en remettant à la fois votre existence en perspective dans cette immensité et en intégrant votre propre finitude (votre mort),

vous pourriez transformer le risque en chance !

Car vous  êtes dans ce que Stan Grof appelait un jeu cosmique.

Donc quand vous êtes envahi par le stress pour des trucs, il vous suffit de les remettre dans ce contexte bien plus grand.

Levez les yeux au ciel. Ou relisez ce texte de Carl Sagan.

Et vous verrez que votre niveau de stress non seulement descendra en flèche mais que vous allez relativiser énormément et vous permettre d’oser !

 

Qu’à un deuxième niveau de lecture plus élevé :

 

  L’Homme est en lien avec le cosmos et en fait partie.

Il est important de garder ce lien avec tout ce qui vit.

Car comme le dit un chaman d’Amérique centrale dans le film En quête de sens : « l’Homme moderne perd sa conscience, quand il perd le lien avec le Tout, qu’il oublie sa nature cosmique ».

Nous sommes donc interdépendants de toutes choses, à l’image des étoiles et du cosmos.

 

Les astrophysiciens ont d’ailleurs compris que le vide n’existait pas. Que l’univers était parcouru d’une matière noire ressemblant à un réseau d’informations. Et que cela ressemblait à une toile comme des « neurones » reliant tout, absolument toutes les choses qui existent, entre elles.

Le physicien Michio Kaku -l’un des scientifiques les plus importants de notre époque, l’un des créateurs et développeurs de la théorie révolutionnaire des cordes et qui est très respecté dans le monde entier- affirme même avoir développé une théorie qui pourrait pointer vers l’existence de Dieu.

Il dit qu’il a trouvé des preuves de l’action d’une force « qui gouverne tout » et il est venu à la conclusion que nous vivons dans une «Matrice».

 

Qu’à un dernier niveau de lecture (mais pas le moins important !)

 

earth photoNous sommes sur une toute petite planète fragile et qu’elle est notre seul lieu de vie possible.

La Terre est magnifique et nous sommes malheureusement en train de la détruire au point que nous allons nous détruire nous-mêmes.

C’est une chose très pragmatique à comprendre…

Alors que faites-vous pour en prendre soin ?

N’y aurait-il pas là un premier niveau d’action pour remettre du sens dans votre vie ?

Notre monde moderne nous fait souvent perdre conscience de notre véritable nature et de ce qui est véritablement important : La Vie. De ce fait, il est souvent difficile de prendre de la distance au quotidien avec nos problèmes et nos peurs. Retrouver la connexion avec la Nature et remettre les choses en perspective dans l’infiniment grand, offre une solution immédiate de distanciation. Cela permet aussi d’avantage de vivre notre vie en conscience et de contacter plus facilement notre mission individuelle au service du collectif.

 

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Quel métier ? Et si le problème c’était de choisir ?

Quel métier ? Et si le problème c’était de choisir ?

Mary Mann

Que faire ou ne pas faire : that is the question !

Vous ne savez pas quel métier choisir ? Tiraillé par de multiples intérêts et face au schéma d’hyperspécialisation du marché du travail, vous vous retrouvez face à un dilemme… Le choix du salariat ou de l’indépendance vous interpelle peut-être aussi, alors que le salariat prévaut et que l’entrepreneuriat est souvent décrié. Mais que choisir ? Et faut-il choisir ? Avoir de multiples intérêts est-il un problème inconciliable avec le monde professionnel ? Le salariat a-t-il toujours été la norme ? Voyons cela en détails…

Si vous n’êtes pas sûr de vouloir faire le même job ou d’être salarié pour le reste de votre vie, rassurez-vous, vous n’êtes pas seul !

À l’occasion d’un discours illuminant, l’écrivain et artiste Emilie Wapnick décrit le type de personnes qu’elle appelle « multi-potentialistes » : ceux qui exploitent toute une palette d’intérêts et de métiers pendant leur vie, et qui ne veulent surtout pas se limiter !

En êtes-vous un ?

Pour en avoir une idée, regardez cette vidéo. Pour choisir la langue du sous-titrage : cliquer sur la bulle rouge avec les 3 petits points qui se trouve en bas à droite de la vidéo.

Pourquoi choisir au fait ?

Selon une étude réalisée pour le salon des microentreprises (SME), en 2016, en France, 16 % des actifs entre 18 et 65 ans étaient des slasheurs, des travailleurs qui pratiquaient plusieurs activités en même temps.

Parmi eux, 77 % exerçaient leur deuxième métier dans un secteur complètement différent.

Est-ce de la dilettante ? Est-ce une obligation économique ? Ou plutôt une sorte de pied de nez aux codes éculés qui veulent que l’on se spécialise dans un seul métier pendant toute une existence ?

À la Renaissance, ceux qui cumulaient plusieurs expertises forçaient l’admiration et étaient souvent à l’origine de grandes avancées intellectuelles. On les appelait polymathes. Parmi eux, se trouvaient Descartes, Copernic, Léonard de Vinci ou encore Michel Ange…

Mais qu’en est-il de nos jours ? Les polymathes du 21e siècle sont-ils aussi encensés que leurs aînés ? Ou au contraire, subissent-ils des blocages qui les empêchent de slasher comme ils veulent ?

 

Quel métier faire dans la vie ?

Dans son discours, Emilie Wapnick nous rappelle la fameuse question qu’on nous posait à tout bout de champ dès le plus jeune âge :

« Qu’est-ce que tu veux faire quand tu seras grand ? ».

Hélas, cette question source de tant d’anxiété, a coupé les ailes à plus d’un rêveur.

Elle sous-entendrait qu’on devrait se résigner à ne choisir qu’un seul métier à VIE. C’est paralysant lorsqu’on a envie par exemple d’être à la fois pompier, pilote d’hélicoptère et vétérinaire…

À l’âge adulte, une fois les présentations faites, cette question devient :

« Qu’est-ce que tu fais dans la vie ? ».

Idem, cette tournure conduit à penser que seul un métier nous définit et qu’on ne peut en exercer qu’un seul dans la vie.

Pire.

Qu’il n’est pas normal de papillonner ou de vouloir changer de voie professionnelle ! On ressent alors la même angoisse que quand on était enfant. Et on se sent enfermé dans une boîte avec une étiquette sur le front.

Mais depuis quand un individu se réduit-il à une étiquette professionnelle alors qu’il possède plusieurs facettes et que sa curiosité intellectuelle le pousse à s’intéresser à de multiples sujets et activités, qu’ils soient aux antipodes ou complémentaires ?

Vous pouvez aimer et maîtriser plusieurs disciplines.

Mus par l’hyperactivité, certains polymathes sont des touche-à-tout invétérés. Ils exercent ces activités séparément pour éviter la routine.

Mais la plupart sont habités par une quête existentielle. Elle les pousse à s’intéresser à de nombreux sujets connexes pour trouver des réponses ou pour parfaire leur savoir-faire en l’abordant sous toutes les coutures.

Cette compréhension de but suprême est essentielle pour saisir le moteur de leur action. Car qu’on soit polymathe ou pas, ce qui compte pour être heureux professionnellement, c’est de comprendre sa motivation ultime afin de rester cohérent dans tout ce qu’on entreprend.

L’Homme de Vitruve, parmi les notes de Léonard de Vinci (fin du XVe siècle)

Léonard de Vinci par exemple, était boulimique de connaissances. Car le but qu’il poursuivait et ce qui sous-tendait toutes ses actions était de percer le principe de la Vie, et la loi à la fois de la nature et de l’univers qui régissait tout le vivant. De même, Descartes a poursuivi la Vérité et voulait révéler une science universelle. Aristote semblait avoir la même quête que De Vinci. Ces hommes possédaient de multiples compétences au service d’un but supérieur.

Aujourd’hui, on médiatise surtout des polymathes dans les arts : une personne qui est à la fois acteur, metteur en scène, scénariste et auteur par exemple.

Il en existe aussi dans les milieux scientifiques, comme M. Bobola : d’abord Docteur en Physique & Chimie, puis Biologiste, Psychanalyste, Anthropologue… Il explique que cette boulimie de connaissances était motivée par un besoin de comprendre la nature humaine dans tous ses aspects.

Il faut bien reconnaître qu’avoir un tel spectre d’intérêts stimule la créativité !

Mais la difficulté pour ces surdoués est qu’ils sont souvent des esprits libres. Ils remettent en cause des dogmes et inventent de nouvelles façons de faire. Ce qui ne fait pas toujours bon ménage au sein d’une entreprise et attire les jalousies. Ils ne trouvent donc généralement leur salut qu’en quittant le salariat.

 

Salariat ou entrepreneuriat ?

Le salariat : une norme ? Pas dans le passé…

Historiquement parlant, le salariat n’a pas toujours été la norme et son hégémonie est très récente.

Voyons d’abord l’origine du mot salariat : « ration de sel de soldat », « personne à la solde ou à gage », « personne engagée qui renonce provisoirement à sa liberté pour satisfaire une mission ».

Au XIXe siècle, le salariat était connoté péjorativement, on parlait même d’« indigne salariat » !

Ce n’est qu’à partir de 1890 que le droit du travail a progressé et que l’expression contrat de travail est apparue en 1901.

Avant, les métiers « dignes » des gens de métier (professions libérales, hommes de loi, médecins, charpentiers…) étaient régis par des corporations tandis que les gens de peine (journaliers, domestiques, manœuvres) n’avaient aucun statut ni protection.

Les premiers salariés de l’histoire n’avaient donc ni métier ni qualification. Au XIXe siècle, les ouvriers travaillaient dans des conditions déplorables, six jours par semaine et entre 12 et 15 heures par jour. Ils étaient néanmoins très peu payés.

Leurs lieux de travail n’étaient pas sécurisés et il y avait toujours des accidents. Olivier Marchand explique tout ceci avec une perspective historique dans son ouvrage « Salariat et non-salariat ».

Jusqu’au XIXe siècle, les salariés représentaient une classe minoritaire, souvent misérable et avec un statut très incertain : les gens louaient leurs services ponctuellement et les ancêtres des intérimaires s’appelaient journaliers (on louait leurs services à la journée.).

Pour beaucoup, les revenus irréguliers étaient une misère et permettaient tout juste de subsister, s’approchant plutôt de la corvée féodale. Au début du XIXe siècle, la France était d’ailleurs un pays majoritairement rural où artisans, paysans et petits commerçants formaient le gros de la population active.

En guise d’illustration, en 1851, sur l’ensemble des actifs, les salariés représentaient 48,3 % contre 89,2 % en 1997 ! C’est avec la révolution industrielle que le salariat a pris son essor notamment poussé par un besoin important d’ouvriers, et le statut a fini de se généraliser après la seconde guerre mondiale.

 

… et le salariat ne sera probablement plus la norme demain !

Or, l’avez-vous remarqué ? Le monde du travail est en pleine mutation.

laptop-900646_1920Au début du XXe siècle, la révolution industrielle a transformé les hommes en machines mono tâche et a conduit à l’hyperspécialisation.

Mais la révolution numérique et la complexité du monde moderne exigent une plus grande polyvalence, ce qui incite à nouveau à développer des connaissances généralistes.

Enfin, le chômage de masse et le désenchantement du monde professionnel ont finalement poussé nombre de travailleurs à étendre leur champ de compétences, voire à changer de métier. Et dans certains cas, plusieurs fois !

Forts de ces savoir-faire, beaucoup franchissent le pas de l’entrepreneuriat.

Aujourd’hui, les analyses le confirment : une révolution est en marche et le monde du travail de demain ne sera plus le même.

Le travail indépendant et l’entrepreneuriat progressent déjà et ont un bel avenir devant eux (surtout chez la génération Z pour qui la hiérarchie pyramidale ne résonne plus). Il y aura de plus en plus de travailleurs indépendants répondant à des tâches isolées et le travail sera lui aussi multiple et changeant.

D’où l’idée de ne pas mettre ses œufs dans le même panier en devenant slasher.

D’autre part, l’avenir appartiendra aux créatifs, aux artistes, car les tâches de production de masse, logiques ou physiques, seront de plus en plus effectuées par les robots. Or, jusqu’à preuve du contraire, les robots ne pourront jamais imaginer ou éprouver comme des humains.

Dernier point, je pense sincèrement qu’il va y avoir un retour à la terre et à une production locale. C’est déjà en marche (fermes d’avenir, boom de l’artisanat…) et cela est souhaitable éthiquement et écologiquement parlant ! 🙂

Alors pourquoi pas entrepreneur ?

Mais oui, après tout ?

Si vous ne trouvez pas votre place dans le salariat, pourquoi ne pas inventer votre emploi ou une nouvelle forme de travail, celle qui vous correspond et qui vous permettrait de rester pleinement vous-même ?

entrepreneur-1103719_1280Dans ce contexte économique qui impose toujours plus de « souplesse » et d’abus en tout genre, mais de moins en moins de rémunération ou de place pour les jeunes, pourquoi devriez-vous choisir une seule voie ?

Pourquoi ne pourriez-vous pas exprimer tout ce que vous êtes au travers de plusieurs talents, de manière isolée ou sous forme de synergie pour créer alors un service original et innovant ?

Et devenir votre propre patron !  Demain tous patrons ? Chiche !

C’est ainsi que Jacques Attali, dans son livre « Devenir Soi », voit la société et le monde du travail de demain : « N’attendez plus rien des dirigeants et créez votre activité ».

C’est également ainsi que Satish Kumar, auteur de « Tu es donc je suis », encourage ses étudiants chaque fois qu’ils lui demandent son avis à propos d’un choix de carrière : « Create your own business ! » leur répond-il.

L’économiste Jean-Marc Daniel, professeur à l’école de commerce ESCP Europe, confie que dans 50 ans, 50 % des travailleurs seront indépendants et qu’à l’avenir, il sera plus facile de trouver un client qu’un emploi !

Pascal Terrasse, Député de l’Ardèche, n’en pense pas moins. Interviewé en 2016, il mentionnait que le concept du travail avait bien changé depuis les Trente Glorieuses. En effet, la génération précédente (qui a connu un marché de l’emploi fluide) visait un « emploi à vie » dans une même entreprise. Tandis que celle des années 80 se préoccupait déjà de flexibilité et d’adaptabilité, afin de convenir à plusieurs employeurs et de faire face aux aléas de la vie.

Quant aux générations suivantes, selon lui, leurs aspirations ont sensiblement évolué.

Il déclarait : « La génération actuelle est plus en quête de sens, s’imagine plus indépendante, loin du salariat traditionnel, et se projette dans le concept du self-emploi […]

Le système économique n’érige désormais plus le salariat comme la norme et de nouvelles formes d’emplois apparaissent : auto-entrepreneurs, «crowdsourcing» rémunéré, indépendants, «slashers». Non seulement le mythe de l’entrepreneur – sorti de son garage – se démocratise dans la société, mais la nouvelle génération aspire à créer de la valeur différemment : social et solidaire, collaboratif, coopératif».

Une nouvelle relation au travail et de nouvelles formes d’emplois font donc leur apparition.

 

Nouvelle époque, nouvelle génération, nouvelles envies !

C’est vraiment un mouvement de fond…

quote-791953_1920Comme le dit Axelle Tessandier (manager faisant partie de la génération Y) lors d’une conférence Vitaelia 2015 : « L’entreprise pour ma génération ne fait plus rêver […]

Regardez autour de vous. Il y a un mouvement actuel “Do it yourself” (“Faites-le vous-même” : créez votre job). En fait, je pense qu’à l’avenir, il faudra créer son travail, et même le créer en entreprise quand vous êtes malheureux du cadre qu’on vous a donné : sortez du cadre et prouvez qu’il y a autre chose à faire […] J’ai des amis qui sont très heureux en entreprise, mais qui ont créé leur “cadre” à côté. L’entrepreneuriat n’est pas un rêve ni une liberté et il faut gérer l’incertain, donc ce n’est pas fait pour tout le monde. Il faut être prêt, être obsédé par un sens de liberté pour devenir entrepreneur ».

Aujourd’hui en France, le statut d’autoentrepreneur a changé le rapport à la création d’entreprise. Il y associe la notion de liberté, mais surtout de légèreté.

Alors, pourquoi ne pas essayer quelque chose qui vous ressemble ? Observez le monde, ce qui vous interpelle, ce qui vous attire, là où vous excellez, les besoins qui émergent et vous aurez peut-être une idée géniale !

Et comme le dit Emilie Wapnick, c’est souvent à l’intersection de deux univers apparemment étrangers que se créent parfois, de nouveaux concepts surprenants et intéressants.

Pour des idées inspirantes, regardez plutôt ici : https://www.konbini.com/fr/inspiration-2/ces-jeunes-qui-reinventent-leur-job/

Pourquoi pas déjà pendant les études ?

Créer son entreprise tout en poursuivant ses études est une vraie chance. Vous avez là l’occasion de développer votre projet et de faire l’apprentissage de l’indépendance dans un environnement sécurisé.

computer-1185626_1280Lancé à cet effet en 2014, le statut national d’étudiant entrepreneur (SNEE) est malheureusement peu connu et n’a été adopté que par un petit nombre d’étudiants (en savoir plus sur Le Monde Campus).

Principales qualités nécessaires pour devenir entrepreneur : être combatif, déterminé et optimiste. Mais il faut aussi ne pas avoir de problème avec l’argent !

Cet état d’esprit est indispensable pour mener de front cursus académique et responsabilités inhérentes à la gestion d’une start-up. Pourtant apprécié, le dispositif manque de visibilité : 4 étudiants sur 10 disent n’en avoir jamais entendu parler. Mais dès qu’ils en ont connaissance, plus de 30 % sont intéressés ! (Pour plus d’infos, voir mon onglet des liens utiles).

Si vous avez moins de 26 ans et que vous êtes étudiant porteur de projets et/ou entrepreneur, vous pouvez tenter votre chance pour gagner jusqu’à 10 000 € auprès de Innovons ensemble – Moovjee.

Pour les moins de 23 ans, si vous parlez anglais couramment et que vous vouliez arrêter vos études pour vous dédier corps et âme à votre projet de création d’entreprise, vous pouvez postuler à la fondation Thiel pour une bourse de 100 000 $ !

Ainsi, vous avez pu constater qu’avoir plusieurs centres d’intérêt professionnels n’était pas une tare et pouvait au contraire devenir un atout voire une spécificité. À condition de l’assumer. Vous pouvez choisir de rester dans le salariat et construire autre chose en dehors. Mais vous pouvez tout aussi bien opter pour l’entrepreneuriat exclusivement si vous sortez trop du cadre et que le monde de l’entreprise vous étouffe. Quoiqu’il en soit, que vous choisissiez le salariat ou l’entrepreneuriat, se décider pour un métier et pour sa forme d’exercice n’est jamais simple. C’est pourquoi il est toujours mieux de se faire aider pour trouver sa place et son axe de vie en menant une réflexion aboutie sur qui vous êtes et sur vos aspirations. Cela vous permettra d’articuler vos dons et vos compétences autour d’un métier ou d’activités qui prendront alors forme dans un profond alignement.

 

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

Se tromper de voie est la principale peur qui bloque une reconversion. Même si l’envie de changer de cap professionnel est là, cette peur persistante te retient. Elle est souvent démesurée. Découvre pourquoi la peur de se tromper de voie est illusoire et comment la surmonter pour aller vers le changement.

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Maryanne Manneville

-Reconversion Professionnelle en Quête de sens (Bilan de compétences spirituel en ligne)

-Thérapie brève

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

Vannes FR-56 Morbihan

Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

mm[@]marymann.fr 

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Top 5 des regrets des mourants

Top 5 des regrets des mourants

Mary Mann

Et vous, que vous direz vous ?

Nous comprenons le concept de la vie car son opposé existe : la mort. Cependant beaucoup d’entre nous n’ont pas réellement conscience qu’ils vont mourir un jour. Pour de vrai. Et ils continuent à vivre  « en zombies » comme s’ils avaient l’éternité devant eux. Quel regard porterons-nous alors sur les regrets et les peurs qui nous ont empêché de vivre vraiment et de nous réaliser ? Une infirmière australienne travaillant en service de soins palliatifs nous en donne un aperçu, en révélant quels sont les regrets les plus courants des personnes en fin de vie…

Bronnie Ware est infirmière depuis plusieurs années et vient en aide aux malades en soins palliatifs.

Elle a accompagné des patients lors des 12 dernières semaines de leur vie.

Pendant de longs mois, elle a minutieusement transcrit dans un blog les regrets qu’ils éprouvaient à l’approche de la mort.

Elle en a fait un livre qu’elle a simplement intitulé « Le top 5 des regrets du mourant » paru en 2011.

 

1 – J’aurais aimé avoir le courage de vivre ma vie comme je le voulais, et non pas comme les autres l’entendaient

 

« C’était le regret qu’ils avaient le plus en commun.

Quand les gens prennent conscience que leur vie est presque terminée et regardent derrière eux, il leur est plus facile de voir combien de rêves n’ont pas été réalisés.

La plupart des gens n’ont pas réalisé la moitié de leurs rêves et vont mourir en sachant que c’est une conséquence directe des choix qu’ils ont fait, ou pas.

La santé apporte une liberté dont très peu de gens se rendent compte, jusqu’à ce qu’ils ne l’aient plus ».

Beaucoup de choses influencent notre façon de vivre : notre famille, notre culture, notre entourage.

Nous nous conformons souvent à ce que l’on attend de nous ou à ce que l’on pense devoir faire pour coller à des schémas, sans exprimer sa propre personnalité.

Cela touche même le métier que nous choisissons.

Et si vous vous écoutiez et que vous viviez enfin votre vraie vie, celle qui vous convient et vous rendra heureux ?

 

2 – J’aurais aimé ne pas travailler aussi dur

 

« Ce souhait est venu de tous les hommes que j’ai soignés.

Ils n’ont pas assez vu leurs enfants grandir et n’ont pas passé suffisamment de temps avec leur femme.

Les femmes ont également exprimé ce regret, mais comme la plupart étaient issues d’une génération plus âgée, nombreuses d’entre elles n’ont pas été « soutien de famille ».

Tous les hommes regrettent d’avoir passé autant de temps dans leur vie à travailler ».

Comme le dit une célèbre chanson, le temps perdu ne se rattrape plus.

Alors autant avoir conscience de sa propre finitude dès à présent, et reconsidérer les priorités de son existence – tant qu’il en est encore temps !

 

3 – J’aurais aimé avoir le courage d’exprimer mes sentiments

 

« Beaucoup de gens refoulent leurs sentiments afin de maintenir l’entente et la paix avec les autres.

En conséquence, ils se sont installés dans une existence médiocre et n’ont jamais pu devenir ce qu’ils auraient aimé être.

Beaucoup de maladies sont développées ou entretenues par l’amertume qui habite les patients ».

Laisser filer un amour de peur d’être ridicule ou rejeté…, ce genre de regret peut vous hanter plus tard.

Mais en dehors de cette situation amoureuse, être vrai avec soi-même en prêtant attention à nos ressentis pour les exprimer dans le respect des autres, nous permet de vivre plus intensément et d’avoir des relations plus satisfaisantes et riches. 

 

4 – J’aurais aimé rester en contact avec mes amis

 

Souvent, ils se rendent compte trop tard qu’ils auraient pu profiter du soutien de leurs vieux amis dans les dernières semaines avant leur mort, mais il n’est jamais facile de les retrouver.

Les gens sont tellement absorbés par leur propre vie qu’ils mettent de côté au fil des années des amitiés précieuses.

Beaucoup regrettent de ne pas avoir fait assez d’effort et passé assez de temps pour les préserver. Les patients pensent souvent à leurs amis lorsqu’ils sont en train de mourir ».

L’être humain est fait pour vivre avec d’autres êtres et a besoin de contact, qu’ils soient physiques ou verbaux.

Aimer, résonner avec les autres. Notre immunité se renforce quand nous éprouvons de l’amour, de l’amitié, des moments de qualité avec d’autres personnes.

Ce sont ces qualités de relations qui resteront en mémoire à la fin de notre vie.

De nos jours, il n’a jamais été aussi facile de rester en contact avec ses amis !

Seul le temps peut vous en empêcher… sauf si vous décidez de le prendre !

 

5 – J’aurais aimé chercher à être plus heureux

 

« C’est un regret surprenant qu’ils avaient presque tous en commun.

Beaucoup d’entre eux ne s’étaient pas rendus compte que le bonheur peut-être un choix.

Ils sont restés coincés dans de vieux schémas et habitudes.

Le soi-disant « confort » dans lequel ils étaient installés les a empêchés d’envisager les choses autrement, « tétanisés dans leurs vies par la peur du changement ».

Faire des choix pour progressivement tracer les contours de sa vie, la vie n’est faite que de cela.

Et s’il le faut, affronter nos peurs et blocages afin de s’émanciper du regard d’autrui et de nos conditionnements.

Bien sûr, il y a des épreuves, mais à nous de décider de ce que l’on en fait, une fois l’orage passé. Se laisser abattre ou se relever riche d’un enseignement ?

Aller vers le bonheur est un état d’esprit : rester bloqué ? Ou agir et évoluer ?

Prendre et garder ce qui nous nourrit, et non ce qui nous vampirise et nous épuise : c’est là que le bonheur réside.

La réalisation de soi se trouve dans cette présence constante à soi-même, la pleine conscience de ce qui est bon pour nous, et dans la réponse apportée aux besoins qui surgissent de cette écoute.

Alors qu’est-ce qui vous rend vraiment heureux ?

Que vous direz-vous à la fin de votre vie ?

Reconversion : le mythe de la peur de se tromper de voie

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Donner un sens à sa vie : c’est lui donner une direction et une signification

Donner un sens à sa vie : c’est lui donner une direction et une signification

Mary Mann

J’ai trouvé ce texte de Sénèque sur internet, je le trouve très approprié à ma démarche.

Nous sommes constamment à des carrefours et devons définir notre vie en faisant des choix. Même le bonheur peut résulter d’un choix.

Ainsi par nos choix, notre vie prend forme et nous nous définissons à travers elle.

A nous de faire ces choix, soit dictés par le hasard, au gré du vent sans destination ou volonté ;

ou de choisir la direction dans laquelle nous souhaitons aller pour articuler notre vie, donnant ainsi une signification à l’ensemble.

 

 

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Réussir sa vie selon Attali

Réussir sa vie selon Attali

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Jacques Attali – Fred Dufour AFP

 

Morceaux choisis d’une interview de Jacques Attali au journal Le Monde :

« Réussir sa vie, c’est faire en sorte que le monde soit moins pire après soi.

Se demander systématiquement quel sera l’impact, dans vingt ans, de ce qu’on fait aujourd’hui.

Faire des choses d’intérêt général, car je pense que c’est un immense privilège de pouvoir rendre service.

En hébreu, on dit “ Tikkoun Olam ” : le monde est imparfait, notre rôle sur Terre est de le réparer »

 

En savoir plus sur lemonde.fr

 

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